Non, franchement non, moi Donavan qui passe ma vie à rigoler, il faut que, lors d’un séjour en Angleterre, on vienne m’importuner en voulant à tout prix me coller dans les pattes le cadavre d’une fille que je n’avais vue qu’une fois, courant toute nue en pleine campagne, poursuivie par un type à cheval, une cravache à la main. Les méthodes de cosaques, je n’apprécie pas du tout. Quand on est chevalier d’industrie, autant être entouré de jolies filles, histoire de vivre en beauté, en cavalier seul.