Mon cher patron, Johnny Rio, avait décidé de me faire “doubler” une grande vedette de la chanson. Moi, Mavis Seidlitz, l’as des détectives femelles.
D’accord, je ne sais pas chanter, mais j’ai de la silhouette, croyez-moi ! Si j’avais su que pour ma peine, on me ferait faire la connaissance d’un affreux zombie un tantinet sado, et qu’en plus on me tatouerait, sur une fesse, l’image d’une sinistre araignée, j’y aurais réfléchi à deux fois. Mais je ne réfléchis jamais. Personne ne m’a appris.