Avec Mère à son bord, Parangon peut enfin retrouver son intégrité perdue, un visage, et peut-être même la vue. Il ne lui en faudra pas moins pour affronter la Vivacia, sur laquelle Kennit règne toujours en maître, au point qu’il fait d’Althéa, la propriétaire légitime de la vivenef, sa prisonnière ! Mais il faut croire que la chance insolente qui a si bien servi le pirate jusqu’ici l’a quitté : la flotte jamaillienne, bien décidée à ne pas le laisser retenir plus longtemps le gouverneur Gosco et Malta en otages, lui fait échec. Tintaglia, le dernier dragon de Clochetinte, toujours à la recherche de cette dernière, vient elle aussi déranger ses plans. Quant aux serpents, il n’auraient pas pu trouver meilleur moment pour le laisser tomber...