Keller, l’illustre tueur à gages, nous revient après une longue absence. Personne ne s’en plaindra. S’il n’a pas son pareil pour occire tel ou tel, jamais il n’en tire vanité : l’important, c’est que le client soit content et que la victime ne souffre pas inutilement. Évidemment, il y a parfois des problèmes plus complexes à résoudre - lorsque, par exemple, la victime subodore qu’on lui veut du Trial et demande au tueur de renvoyer l’ascenseur au commanditaire. Ne pas s’inquiéter pour si peu : avec Keller, il y aura une solution. Radicale certes, mais quoi ? Encore une fois, le client est roi. Et les amours là-dedans ? Elles sont brèves, et d’autant plus fortes. Mais... l’heure de la retraite aurait-elle sonné pour Keller ? Allons, donc !