En Italie et en Angleterre, une nouvelle enquête de Jonathan Argyll autour des oeuvres majeures de la Renaissance, où se croisent, entre autres, un policier incompris, un mystérieux voleur surnommé Giotto et une retraitée cleptomane...
À Rome et en Angleterre, dans le Norfolk.
À Rome, le général Bottando est responsable de la brigade contre le vol d’oeuvres d’art. Depuis plus de trente ans, il soupçonne un homme, qu’il a surnommé Giotto, d’avoir subtilisé des pièces de grande valeur datant de l’époque Renaissance. Un voleur de génie sur lequel il entend bien mettre un jour la main. Or, au sein même de la brigade officie Corrando Argan, rival de Bottando, qui n’a que mépris pour les théories de son collègue et se soucie plus de manoeuvres politiciennes que de son métier de policier. Voilà que l’enquête est rouverte suite à la lettre d’une femme qui semble s’accuser d’un vol naguère attribué à Giotto. Après avoir recueilli le témoignage surprenant de cette Mme Fancelli, Flavia, l’assistante de Bottando, pense tenir une piste possible en la personne d’un dénommé Forster. Mais inutile d’imaginer poursuivre en Angleterre une enquête qu’Argan considèrera comme une perte de temps et une dépense inutile. Bottando se tourne alors vers Jonathan Argyll, le fiancé de Flavia, dont les nombreuses relations dans le monde de l’art devraient lui permettre de localiser l’individu en question.
À son arrivée dans le Norfolk, la mort accidentelle de ce témoin principal complique encore l’enquête de Jonathan et l’aide de Flavia ne lui sera décidément pas superflue...