J’ai envie de pleurer sur cette humanité qui refuse d’être humaine, pleurer sur ces malheureux prêts à défier tous les dangers, toutes les souffrances pour goûter quelques miettes de bonheur. Pleurer sur les fous qui refusent de partager les richesses, les terres et le savoir. Ni les possessions ni le pouvoir ne rendent heureux.