Une femme et trois enfants sont sauvagement tués à coups de hache. Un drame familial où le mari, qui s’est suicidé, serait le coupable...
Chargé de l’enquête, Victor Lessard n’y croit pas. Pour résoudre cette affaire, il suivra des pistes où s’entremêlent pédophilie, drogue, sectes et même satanisme. Avec cette enquête de Lessard, Martin Michaud s’impose en maître du polar québécois. Une intrigue admirablement bien ficelée qui débouche sur une fin magistrale. Concernant “La chorale du diable” : Dans ce qui a tout l’air d’être un drame familial, une femme et ses trois enfants sont sauvagement tués à coups de hache. L’auteur présumé du carnage, le mari, s’est suicidé après s’être tranché la langue. Mais est-ce bien ce qui s’est passé ? Deux jours après, une alerte AMBER est déclenchée à l’échelle de la province de Québec : une jeune fille dévoilant ses charmes sur Internet a été kidnappée. Par qui ? Pourquoi ? Deux énigmes que vont s’attacher à résoudre en parallèle deux policiers au style rentre-dedans : Victor Lessard qui, sans compter les cadavres laissés derrière lui, en voit d’autres surgir de son passé, enlaidis par le temps ; et Jacinthe Taillon, son ancienne coéquipière à la Section des crimes majeurs, qui lui voue une haine infernale. Naviguant à travers le fanatisme religieux et la perversité de démons ordinaires, ils vont s’engager dans une valse à quatre temps diabolique entre Montréal, Sherbrooke, Val-d’Or et... le Vatican. Jusqu’à découvrir le secret terrifiant de la chorale du diable.