Charles Sambrat n’aimait pas la guerre. En mai 1942, il dirigeait tranquillement son usine dans le Dauphiné et meublait ses loisirs d’aventures faciles. Jérôme, son ami, son complice, son contraire, luttait contre les nazis, organisait des filières d’évasion. Son arrivée à l’improviste, en…