« Toute ma vie, j’ai eu peur de me perdre dans ma passion pour la France. Alors j’ai longtemps porté un masque de romancier. Je corrigeais le réel par écrit au lieu de le remanier. Je publiais pour ne pas agir politiquement, par confort et, disons-le, couardise.
Pour jeter le masque, manquait…