Alain Jouffroy, à la parution du livre, écrivait : « Il faut lire Mandiargues, comme il a fallu lire Baudelaire, Apollinaire et Breton. Il faut le lire, parce que c’est un très grand écrivain, qui sait prodigieusement manipuler les mots, et parce que c’est un homme doué d’une perception aiguë…