Cette femme “perdue” - pour elle-même ? Pour l’homme qui l’aime, et qu’elle ne cesse de quitter ? - est ce qu’on appelle une femme fatale : singulièrement belle, vénéneuse, fragile, cruelle, insaisissable... Ici, elle se prénomme Violette, comme l’illustre “Traviata” de Verdi. Et ceux qui…