Quand Vita sexualis parut au Japon, en 1909, Mori Ôgai occupait une place exceptionnelle dans la médecine de son pays. Né en 1862, sa précocité l’avait fait médecin à dix-neuf ans ! On l’envoya donc se perfectionner en Europe; il y apprit l’allemand, l’anglais et le français, dont il truffe…