| Date france : |
2011.10.5 |
| Traducteur : |
Nathalie Bauer |
| Editeur : | |
| ISBN : |
9782709635196 |
Blanche comme le lait, rouge comme le sang
2011
3½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 3½ h pour lire ce livre.
Temps restant en fonction de l'avancement :
| 12 % | 41 % | 71 % |
| 3 h | 2 h | 1 h |
Leo est un adolescent de seize ans comme tant d’autres : il aime ses copains, le foot, les virées en scooter, et vit en symbiose parfaite avec son iPod. Les heures de cours sont pour lui une torture, et les professeurs constituent « une espèce protégée qui, on l’espère, s’éteindra définitivement ». Ainsi, lorsque se présente un nouveau remplaçant d’histoire et de philo, il n’en attend rien de bon. Mais le jeune professeur est différent : une lumière brille dans ses yeux quand il explique, quand il incite les élèves à vivre intensément, à poursuivre un rêve.
Leo sent en lui la force d’un lion, mais il a un ennemi effrayant : le blanc. Le blanc, c’est l’absence ; dans sa vie, tout ce qui concerne la privation et la perte est blanc. Le rouge, en revanche, est la couleur de l’amour, de la passion, du sang. Les cheveux de Beatrice sont roux. Oui, car Leo a un rêve qui se nomme Beatrice, même si elle l’ignore encore. Leo a aussi une réalité, plus proche et, comme toutes les présences proches, difficile à distinguer : son amie Silvia. Leo découvre que Beatrice est malade et que sa maladie est en rapport avec ce blanc qui l’effraie tant. Il lui faudra creuser en lui, saigner et renaître pour comprendre que les rêves ne peuvent pas mourir et trouver le courage de croire en quelque chose de plus grand.
Se fondant sur une relecture moderne et vitale de la grande tradition classique, Allessandro D’Avenia s’allie avec le jeune professeur de lycée - métier de l’auteur - pour offrir énergiquement au lecteur plus ou moins jeune des réponses qui, comme toutes les réponses vraies, ne se veulent pas définitives, mais ne sont ni hésitantes ni résignées
Leo sent en lui la force d’un lion, mais il a un ennemi effrayant : le blanc. Le blanc, c’est l’absence ; dans sa vie, tout ce qui concerne la privation et la perte est blanc. Le rouge, en revanche, est la couleur de l’amour, de la passion, du sang. Les cheveux de Beatrice sont roux. Oui, car Leo a un rêve qui se nomme Beatrice, même si elle l’ignore encore. Leo a aussi une réalité, plus proche et, comme toutes les présences proches, difficile à distinguer : son amie Silvia. Leo découvre que Beatrice est malade et que sa maladie est en rapport avec ce blanc qui l’effraie tant. Il lui faudra creuser en lui, saigner et renaître pour comprendre que les rêves ne peuvent pas mourir et trouver le courage de croire en quelque chose de plus grand.
Se fondant sur une relecture moderne et vitale de la grande tradition classique, Allessandro D’Avenia s’allie avec le jeune professeur de lycée - métier de l’auteur - pour offrir énergiquement au lecteur plus ou moins jeune des réponses qui, comme toutes les réponses vraies, ne se veulent pas définitives, mais ne sont ni hésitantes ni résignées
Les commentaires :
littérature
2013-02-11 15:23
Il s’agit là du premier livre que je lis pour le prix des Lecteurs livre de poche. Il fait donc bien entendu partie de la sélection de février 2013. Il ne m’a fallu que deux jours pour lire les 288 pages de ce roman qui me laisse perplexe... Le résumé sur la quatrième de couverture me promettait un moment inoubliable qui ne s’est pas concrétisé. Leo est un élève de seconde qui découvre la vie comme tout adolescent, l’influence de son professeur de philosophie qu’il nomme “Le Rêveur” est immense. Il faut savoir que ce roman traite de thèmes très forts : l’amour, la trahison, la maladie, la mort,.... Et pourtant je n’ai pas versé de larmes ni même été réellement touchée par ce personnage qui ne comprend rien et surtout ne voit rien.... Pour conclure ? Une écriture magnifique mais qui manque un peu de sentiments...