2014-06-13 09:29
C’est un livre que m’a offert ma sœur. Je ne sais pas si je l’aurais acheté moi-même. Peut-être que si, j’avais entendu de bonnes critiques au sujet de Douglas Kennedy, j’aurais surement finit par lire un de ces livres. Voilà qui est fait, avec La Poursuite du bonheur. Et quelle lecture... j’ai été prise dès les premières pages par les mots de l’auteur, il sait nous intéresser dès le début et garder notre attention. Dans ce livre nous avons l’histoire de Kate et Sara, qui sont liées par un homme, Jack Malone, le père de Kate. Le récit de Sara est le récit qui occupe la plus grande place dans ce roman, et celui que j’ai préféré. Le peu d’histoire de Kate qu’on lit, est indispensable je pense, mais fade à côté de l’histoire de Sara. Son histoire, c’est plus qu’une histoire d’amour, c’est l’histoire d’une vie. L’histoire d’une jeune femme qui recherche l’indépendance, alors que la norme à son époque et de se marier à un bon partie, et de rester bien gentiment à la maison pour s’occupe de son foyer. A travers les yeux de Sara, on en apprend plus sur la vie aux États-Unis, et plus précisément à Manhattan dans les années 40 et 50. J’ai appris un fait historique que je ne connaissais pas qu’on appelle le maccarthysme. C’est une chasse aux sorcières : une chasse à toutes les personnes qui étaient liées, de près ou de loin, à un moment de leur vie, au partie communiste. Après la guerre, ces personnes étaient chassées. Une vrai terreur régnait, personne ne voulait être lié à ce partie, par peur de subir les pressions du gouvernement. Ce livre est l’un des meilleurs livres que j’ai lu, je suis très contente que ma sœur est eu l’idée de me l’offrir. Une lecture que je ne peux que recommander.
Cristy, capitaine du Navire dévoreur de livres