NousLisons.fr

Tout pour trouver votre prochaine lecture !

Connexion...
Pseudo :
Passe :
Connexion permanente :
Cocher cette case pour que votre connexion soit conservée même si vous fermez votre navigateur (pendant 3 mois).
Important : Ne la cochez pas si vous êtes plusieurs à utiliser cet ordinateur.
Nouveau passe Créer un compte
Jeux Dons Lecteurs Partenaires Blog
Les chaussures italiennes de Henning Mankell
Date origine :
2011
ISBN :
2757821628

Les chaussures italiennes

2011
6½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 6½ h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

2 %18 %35 %51 %67 %84 %
6 h5 h4 h3 h2 h1 h
 
 
A soixante-six ans, Fredrik Welin vit reclus depuis une décennie sur une île de la Baltique avec pour seule compagnie un chat et un chien et pour seules visites celles du facteur de l’archipel.
Depuis qu’une tragique erreur a brisé sa carrière de chirurgien, il s’est isolé des hommes. Pour se prouver qu’il est encore en vie, il creuse un trou dans la glace et s’y immerge chaque matin. Au solstice d’hiver, cette routine est interrompue par l’intrusion d’Harriet, la femme qu’il a aimée et abandonnée quarante ans plus tôt. Fredrik ne le sait pas encore, mais sa vie vient juste de recommencer.
Le temps de deux solstices d’hiver et d’un superbe solstice d’été, dans un espace compris entre une maison, une île, une forêt, une caravane, Henning Mankell nous révèle une facette peu connue de son talent avec ce récit sobre, intime, vibrant, sur les hommes et les femmes, la solitude et la peur, l’amour et la rédemption.         

Si vous avez aimé ce livre, ceux-ci peuvent vous plaire : Ces livres vous sont proposés car les lecteurs de NousLisons.fr qui ont aimé Les chaussures italiennes les ont également appréciés.

Les commentaires :

 
Premier livre que je lis de cet auteur et je commence par un roman et non un polar. Eh bien j’ai beaucoup apprécié. Il règne sur ce roman une vrai ambiance un peu oppressante et douloureuse. L’auteur nous amène avec une plume légère et envoûtante aux confins des âmes de ses protagonistes torturés, emplis de colère, de remords, de douleur. Il s’agit d’une histoire sombre que l’auteur aurait pu faire basculer à tout moment dans l’horreur sans jamais le faire et ça c’est fabuleux à lire, on est sur le fil tout du long de la lecture, le coeur se serre, la respiration se fait plus saccadée parce qu’on se laisse prendre dans ce lent déroulement à l’ambiance particulière insufflée par le décor dans lequel se déroule ces retrouvailles mouvementées et déroutantes. Henning Mankel sait si bien transcrire nos bassesses, nos sentiments inavoués, nos peurs, nos espoirs tout en traitant entre autres les sujets de l’abandon, la paternité, l’amour, la maladie, la vieillesse, la mort et le deuil. Cet ouvrage laisse un poids sur la poitrine, il faudra un peu de temps pour le digerer et cesser de cogiter sur les thèmes abordés.
 
J’ai emprunté ce livre à ma marraine, depuis un petit moment, et je dois dire qu’il me tentait depuis tout ce temps là. Le résumé me paraissait bien alléchant et me donnait incroyablement envie. Je ne vais pas vous le cacher, et si vous avez vu mon bilan de février vous le savez déjà, j’ai été plutôt déçue. Je m’attendais à autre chose, et je dois dire que le résumé m’a bien trompé. Ceci dit, je le précise dors et déjà, le fond est très intéressant, et je pense relire ce livre d’ici quelques années, voire quelques mois, quand je serais dans une phase optimale. Ayant plus eut envie de jeunesse ces derniers temps, je suis sûre et certaine de ne pas l’avoir lu au bon moment, puisqu’il donne pas mal matière à réfléchir. Néanmoins, lors de cette première lecture, je dois dire que je me suis plutôt ennuyée à certains moments, et je l’ai trouvé relativement long à démarrer en fin de compte. Du coup, j’ai dû m’accrocher, et l’envie n’y était pas toujours. J’ai d’ailleurs mis, je crois, une semaine pour le lire, donc bon, je crois que ça veut tout dire. Par contre, le fond en vaut vraiment la peine. L’auteur nous peint ici le portrait d’un personnage entouré par la solitude, qu’il le soit réellement ou non. De plus, la mort l’entoure. C’est assez troublant quand on y pense. On trouve ici aussi pas mal de mensonges, de secrets, ce qui est intéressant. Le personnage de Frederik ne m’a pas plus emballé que cela, pour être franche. Je ne m’y suis pas grandement attaché. Harriet, quant à elle, ne m’a plu qu’à moitié. Louise - je croit qu’elle s’appelle comme ça - la fille de Frederik, ne m’a pas totalement convaincue non plus. Par contre, j’ai eu un énorme coup de coeur pour Sima, une adolescente à la vie difficile, qui m’a profondément touchée. Cette chronique est relativement petite, pour la simple et bonne raison, qu’ayant dû me “forcer” pour le lire, n’aimant pas abandonner des livres, et surtout quand ils ne sont pas à moi, je n’ai pas noté grand-chose sur ma petite fiche bristol - oui je fais des fiches en notant tout ce que j’ai à dire sur ledit roman, histoire de ne pas oublier, ce qui me permet en fin de compte de poster mes chroniques X temps après. En somme : pas franchement emballée pour le coup, malgré un fond intéressant. Une relecture s’imposera, un jour. Ne vous arrêtez surtout pas à mon avis.
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
Accueil Jeux ebooks Gratuits Lecteurs FAQ Partenaires Contact Dons
(c) NousLisons.fr 2012-2024