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Une Place à Prendre de J.K. Rowling
Date origine :
2012.09.28
ISBN :
9782246802631

Une Place à Prendre

2012
13 h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 13 h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

6 %22 %38 %53 %69 %84 %92 %
12 h10 h8 h6 h4 h2 h1 h
 
 
Bienvenue à Pagford, petite bourgade anglaise paisible et charmante : ses maisons cossues, son ancienne abbaye, sa place de marché pittoresque… et son lourd fardeau de secrets. Car derrière cette façade idyllique, Pagford est en proie aux tourmentes les plus violentes, et les conflits font rage sur tous les fronts, à la faveur de la mort soudaine de son plus éminent notable. Entre nantis et pauvres, enfants et parents, maris et femmes, ce sont des années de rancunes, de rancœurs, de haines et de mensonges, jusqu’alors soigneusement dissimulés, qui vont éclater au grand jour et, à l’occasion d’une élection municipale en apparence anodine, faire basculer Pagford dans la tragédie.
Attendue de tous, J.K. Rowling revient là où on ne l’attendait pas et signe, avec ce premier roman destiné à un public adulte, une fresque féroce et audacieuse, teintée d’humour noir et mettant en scène les grandes questions de notre temps.

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Les commentaires :

 
Un huis-clos à l’échelle d’une petite ville, mais j’ai eu du mal à accrocher entre tous les personnages. Il m’a fallu un moment pour ne plus trop me poser de question : qui est qui ? quel sont ses liens avec ?...
Et l’intrigue elle même ne m’a pas trop emballé, bref, je trouve qu’elle aurait du continuer sur Harry Potter !
 
Le roman débute quasiment par l’élément perturbateur : le décès inopiné de Barry Fairbrother, conseiller paroissial de Pagford. Au cataclysme que cela déclenche, évidemment, au sein de sa famille effondrée, J.K. Rowling ajoute petit à petit les effets du raz-de-marée que cette mort va déclencher au sein de la bourgade. Et le lecteur est loin d’imaginer, lorsqu’il débute sa lecture, les innombrables conséquences qu’aura le décès de ce personnage. Car si la bourgade feint la consternation et l’émoi, les vautours rôdent dans l’ombre et se préparent à fondre sur la place à prendre au conseil, tandis que le fragile équilibre qui maintenait la cité dans la paix jusque-là tombe peu à peu en lambeaux.
Une à une, les pièces du puzzle s’emboîtent, et on voit comment s’agencent les destins les uns aux côtés des autres. Il y a, bien sûr, les autres conseillers. Du ventripotent Howard, résident historique de Pagford se prenant pour le maire, à Parminder Jawanda, le médecin de famille du village en butte à la xénophobie de ses concitoyens, il y a un fossé, représenté par feu Barry Fairbrother. Car celui-ci et ses partisans (dont Parminder) œuvraient ardemment pour le maintien de la cité des Champs - perçue comme une zone de non-droit, proverbialement habitée par des junkies et autres rejetés de la société bien-pensante pagfordienne - et de sa clinique de désintoxication de Bellchapel, dans les bornes de Pagford. Le décès, provocant une vacance fortuite au sein du conseil met bien évidemment le feu aux poudres et lance les conseillers dans une grande campagne de recrutement (chaque banc souhaitant un poulain à ses couleurs).
A côté de toute cette agitation, il y a les adolescents, qui suivent péniblement les traces de leurs parents, et tentent de garder la tête hors de l’eau, dans l’atmosphère étouffante de la bourgade, comme dans n’importe quel autre patelin campagnard. Plus peut-être car, à Pagford, il n’y a que les apparences qui comptent. Les on-dit suffisent à faire et défaire les réputations, en un clin d’oeil. Et c’est bien là toute la question.
Passées quelques 200 premières pages servant à établir le décor et mettre en place les personnages, l’affaire se corse. Les langues se délient, les vieilles jalousies ressortent. Sous un vernis de bonnes manières, les habitants rivalisent d’ingéniosité pour mettre à bas leurs adversaires, afin de satisfaire des ambitions somme toutes peu élevées. C’est là que réside le coup de maître de J.K. Rowling : elle parvient à rendre captivantes les destinées pagfordiennes, alors qu’elles n’ont rien de particulièrement glorieux, ni même intéressant. Pourtant, sous la plume de l’auteur, on se passionne tour à tour pour l’épicier obèse, les femmes délaissées et, surtout, pour les adolescents par qui tout - et parfois le pire - semble arriver ; des attentes de leurs parents, de leurs espérances et de leurs frustrations ô combien dévorantes jaillissent des plans désespérés, qui contrarient l’ordre sagement établi par leurs aînés. Si certains personnages sont quelque peu stéréotypés, la plupart sonnent justes et vrais et portent parfaitement le complexe écheveau du récit. Il arrive un instant où l’on sent que chaque événement concourt à une catastrophe que l’on sent imminente, brutale et terrifiante. La tension monte crescendo, jusqu’au final, aussi terrible qu’émouvant. Avec cette chronique pagfordienne, J.K. Rowling plonge ses lecteurs dans les bassesses de l’esprit humain et n’épargne rien, au cours de cette sordide comédie de mœurs, dont la férocité n’égale que la cruauté. Dans un registre tour à tour noir, tragique, ou vaguement satirique, elle croque habilement un portrait peu flatteur, applicable à un grand nombre d’agglomérations. C’est à la fois révoltant et captivant. Dans un souci de vraisemblance, l’auteur n’hésite pas à avoir recours à un vocabulaire cru, voire grossièrement ostentatoire. C’en est déconcertant de réalisme et, pourtant, on continue de lire, proprement fasciné par ce portrait sans concessions. La fluidité et l’élégance de la plume y sont certainement pour beaucoup. Le style de l’auteur a gagné en maturité, et rend le livre aussi facile que plaisant à lire, malgré un sujet proprement dramatique. Bien qu’il soit dépourvu d’actions fracassantes, Une Place à prendre est un roman bouleversant, qu’il est difficile d’oublier une fois la dernière page tournée. Preuve, si besoin était, que J.K. Rowling est une conteuse confirmée, au talent certain, qu’il fut éminemment agréable de retrouver.
 
Ce livre m’a été offert par Priceminister dans le cadre des matchs littéraires. Je dois avouer que malgré quelques avis survolés, je ne savais pas à quoi m’attendre... J.K. Rowling est forcément associée à Harry Potter et comme il est rare qu’un écrivain change de catégorie je m’attendais à un univers plus ou moins identique... et je me suis fait avoir comme la plupart des lecteurs... Je pourrais dire que je suis déçue mais ce serait un effroyable mensonge... Ce livre écrit avec génie m’a transporté dans un village où les secrets révélés font très mal.... Ce livre n’est pas plein de bons sentiments, il décrit les hommes tel qu’ils sont et le seul qui semble bon meurt au début de l’oeuvre... Quelques points négatifs ? Une longue liste de personnages un peu difficile à resituer d’une apparition sur l’autre et surtout un début un peu long (sur un livre de 700 pages c’est gênant parce qu’on hésite à continuer). Le fond “politique” de l’oeuvre ne m’a en rien dérangée malgré mon aversion pour toutes ces questions et mon manque d’intérêt dans ce domaine.
 
Bof. Mon avis aurait pu n’être constitué de ce seul mot, mais il faut bien que je vous dise le comment du pourquoi, et je peux vous dire que ça m’en coûte beaucoup. Parlons d’abord du début. Ça ce présentait plutôt bien: le scénario était plutôt original, les personnages semblaient être diversifiés et approfondis, les premiers chapitres étaient accrocheurs. Mais mon enthousiasme n’a pas duré longtemps. Les chapitres commençaient à entrer dans une sorte de routine, même si, je l’avoue, ça ne m’a pas trop gêné.  En revanche, ce qui m’a gêné, ce sont les personnages.   Premièrement, il y en a beaucoup trop. On est obligé de chercher dans ses souvenirs pour ce rappeler qui est qui, ses relations avec un tel, ses liens de parenté avec un autre. En plus, certain surnom n’arrangent pas les choses: Stuart Wall qui est appelé Fats, alors qu’il n’est même pas gros... Bref. J’arrive quand même à comprendre qu’autant de personnages soit indispensable pour la suite de l’intrigue.
Deuxièmement, il y a peu de descriptions physique et celles qui sont présentent ne sont pas très explicite, du coup, j’ai eu beaucoup de mal à me représenter les personnages.
Troisièmement, si les personnages ne sont pas beaucoup décrit physiquement, ils le sont moralement. Malheureusement, ils sont un peu cliché à mon gout (une junkie, un père violent, le souffre-douleur du lycée, un gérant d’épicerie obèse...) et parfois, en plus, ils ne sont pas assez abouti. Prenons par exemple le père de famille violent. Il ne veux pas que ses fils touchent à son ordinateur, par contre, il laisse l’un d’eux prendre son vélo de course pour aller retrouver son copain. Ou alors, Fats. Après une longue tirade comme quoi il est prêt à tout pour être authentique (ce qui signifie ne pas réfléchir, agir sur l’instant, préférer la violence physique plutôt que mental, toujours dire la vérité...), l’auteure nous pond la pire chose qu’elle aurait pu dire pour achever son meilleur personnage: il réfléchi à la façon dont il allait annoncer les choses à son meilleur ami, ou alors aux meilleurs façons dont il pourrait usée pour se moquer de son père. En plus, lui qui prétendait toujours dire la vérité, ne mentait pas, mais la cachait et tournait la conversation pour ne pas répondre directement aux questions. 
A mon avis, c’est à cause de ces personnages que l’histoire n’est pas aussi bien qu’elle aurait dut l’être. J’ai été agréablement surprise à la fin, je pensais que tout aurait bien fini, mais non, la fin est tout simplement chaotique. Un peu trop même, ce qui enlève encore une fois le côté réaliste de l’histoire. Conclusion, malgré les nombreux points négatif que j’ai cité plus haut, il faut quand même que je vous dise que je ne me suis jamais ennuyé, il y a toujours quelque chose de nouveau qui se passe.
De plus, malgré que Rowling ai détruit Fats à coup d’“inauthenticité”, je n’ai pas pu adoré littéralement ce personnage, mais j’ai réussi à bien aimé Krystal, ou encore Sukhvinder.
Ce livre nous prouve tout de même que J.K. Rowling peut écrire des romans plus adulte qu’Harry Potter.
 
Ce qu’il raconte… Un notable meurt à Pagford, petite bourgade en apparence idyllique et sa place est à prendre. Ce roman est une comédie de moeurs, une tragédie teintée d’humour noir, une satire féroce de nos hypocrisies sociales et intimes. Mon avis sur tout… ou presque tout… Bon… certes un peu déçue après toute la pub qui a été faite autour de ce roman mais sympathique à lire tout de même. J’ai bien eu envie à plusieurs reprises de taper sur les têtes des uns… de secouer les autres… Cela reste un bon roman de 800 pages !!!! Bonne lecture à toutes et tous !!!
 
Page 413 : stop, j’arrête. J’ai déjà bien du mérite d’en être parvenu à la moitié.
"Comédie de mœurs, tragédie teintée d’humour noir, satire féroce de nos hypocrisies sociales et intimes” dit la 4ème de couv’. Attendez, je la réécris rien que pour vous : Cancans ; bla-blas à outrance ; potinland ; petite ville où tout le monde se connaît et où une guerre des égos fait rage ; roman où en fait rien ne se passe ; simagrées dignes du théâtre de boulevard qui te donnent juste envie de t’arracher les cheveux tellement t’en a rien à cirer de ce que pense tel ou tel personnage ; vaudeville qui démarre sur le décès d’un personnage qui en amène plus d’un à péter plus haut que ses fesses ; satire sociale ratée et ultra chiante aux interminables dialogues inutiles et aux digressions à relents “courant de conscience” ingérable tant on s’en fout des avis de Trucmuche, des caprices de Chose ou des manigances de Machine ; mélange loin d’être un compliment de Dolce agonia de Nancy Huston et de “De la beauté” de Zadie Smith...
Comment J.K. Rowling a-t-elle pu passer de Harry Potter à ça ??? J’en reste choquée tellement c’est nul. Au bout de 413 pages, on n’a que des tergiversations qui n’ont quasi rien à voir avec la fameuse place à prendre. Honnêtement, ça ne vaut même pas de voir l’adaptation en mini série, l’histoire en elle-même et ses personnages sont juste imbuvables, l’action est ultra lente voire inexistante ! Paraît-il que ça change une fois passés les 3/4 du récit. Je n’aurai pas “la chance” de savoir comment, le résultat après tout ça c’est que je m’en fiche royalement.
Un livre pareil avec de surcroît 800 pages de vase n’a pas lieu d’être. On publie parce que c’est Rowling. On adapte parce que c’est Rowling. Ses milliards, elle ne se les fait pas avec ça. Moi, je n’ai pas rigolé avec cette “classe moyenne très drôle” “si hilarante” parce qu’elle est blindée de “gens prétentieux” (Wikipédia), j’ai souffert. La narration est agaçante au possible, les conversations ennuyeuses, le style oubliable. On dirait tout simplement un roman de gare anglais, le genre de truc qu’on achète en promo à 2£ avant de monter dans le train mais qu’on n’ouvre même pas au final parce que le smartphone est plus intéressant.
Ah bon sang, je démarre fort l’année moi... Ma seule concession va à une traduction de l’oralité quasi irréprochable (dur par contre de passer outre une “magnifique” anacoluthe dès l’ouverture page 5...). Je ne veux plus perdre mon temps avec des ragots. Si je fuis la chose dans la vie, je ne vois pas pourquoi je me farcirais la version écrite.
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