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Vivants de Isaac Marion
Date france :
2011.10.21
Editeur :
ISBN :
9782352945277

Vivants

2011
5 h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 5 h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

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R a une vie compliquée. Il n’a pas de nom, pas de souvenirs ni de pouls. Mais il rêve.
R est un zombie et il est un peu différent.
Dans les ruines d’une ville à l’abandon, R rencontre une fille. Elle s’appelle Julie et elle est aux antipodes de ce qu’il connaît. Elle est vivante, palpitante. C’est un jaillissement de couleurs dans un camaïeu de gris. Sans vraiment savoir pourquoi, R choisit de ne pas la tuer. Et c’est le début d’une étrange relation, à la fois tendre et dangereuse.
Jamais cela n’était arrivé. R bafoue les règles des Vivants et des Morts et défie la logique, mais il ne peut plus se contenter d’une existence vouée à la mort. Il veut respirer à nouveau, il veut vivre, et Julie va l’aider. Mais leur monde ne se laissera pas transformer sans combattre.

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Les commentaires :

 
R ne se souvient plus de son nom, mange des êtres vivants pour se nourrir et marche d’un pas lent et saccadé. R est un zombie.
Mais R n’est pas un zombie ordinaire, il parle. Pas beaucoup, quelques mots, des phrases simples, mais il parle. Peu de zombies parlent et encore moins réfléchissent à leur condition.
Comment être un zombie et aimer les êtres vivants ? R va essayer de le découvrir et de changer ainsi le destin de l’humanité. Vivants est un livre original et déroutant. On est ici loin de l’habituel combat entre les êtres vivants et les zombies. Dans Vivants, l’auteur va nous mettre dans la peau d’un mort. Il s’attache à nous montrer le quotidien maintes fois retranscrit des zombies, de leurs repas à leurs errements sans but. On retrouve tout les codes habituels mais pas que. On apprend à les comprendre et, comme souvent dans la vie, rien n’est jamais tout blanc ou tout noir. C’est avec étonnement qu’on s’attache très vite à R et à certains de ses congénères. Il y a un très bon équilibre entre la découverte du décor, l’action et l’histoire d’amour. J’ai bien aimé la réflexion sur la nature humaine et ses incorrigibles défauts.  Les personnages sont très bien dépeints avec une mention spéciale pour R.
La gestion de ses questionnements et de ses peurs est parfaitement maîtrisée, ce qui rend le personnage sympathique et attachant. Et rendre attachant un zombie en train de manger un cerveau humain est quand même une vraie performance ! Pour conclure, Vivants est bien plus qu’un roman à la sauce zombie. C’est une ode à la tolérance et une belle histoire d’amour. Si vous n’êtes pas trop impressionnés par les zombies, je vous recommande chaudement Vivants ! Note : 8,5/10
Olivier

Shakespeare: Comment un homme si jeune peut-il avoir des yeux si vieux?
Le Docteur: Je lis beaucoup.
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Ce livre m’avait fait de l’œil dès sa sortie et il était dans ma PAL depuis un bon moment donc. Puis la sortie du film m’a poussé à enfin le lire. J’en ressort assez mitigé mais pas déçue. J’avoue m’être fait trompé par la bande-annonce du film qui annonce une histoire assez comique, le livre ne l’est pas du tout. Il est sombre, grave, teinté de minces espoirs. Ce fut ma première déception, je n’ai pas réussi à me plonger dans ce mode post-apocalyptique, je n’ai pas frémis, ris, pleuré avec les personnages, les scènes d’horreur ne m’ont pas fait tressaillir. Malgré ça j’ai passé un bon moment de lecture mais pas mémorable. Les personnages sont intéressants et ont de multiples facettes. J’ai beaucoup aimé R et Julie même si leur histoire ne m’a pas touché. Le personnage qui m’a fait sourire de temps à autre est M, le zombie coureur de jupons, j’ai aussi bien aimé Nora et son franc-parler. Dans ce livre, R n’est pas le seul narrateur. Il y a aussi Perry Kelvin, et au début j’ai beaucoup aimé ses interventions mais au fur et à mesure elles sont de moins en moins intéressantes selon moi et non justifiées. Le style d’écriture est assez particulier, nous sommes plongés dans l’esprit de R et celui-ci est plein de métaphores et belles phrases sur la vie, l’espoir... C’est agréable mais pas forcément ce que je préfère, et je pense que c’est pour cela que j’ai eu du mal à rentrer dans l’histoire. Cependant le monde mis en place par Isaac Marion est très bien élaboré et nous avons au fil du livre des indications sur le passé, sur la reconstruction du monde après l’épidémie, comment les humains et les zombies se sont organisés, coincés dans des stades et des aéroports. C’est ce que j’ai le plus apprécié, découvrir ces modes de vies, ternes et sans espoirs, pour les voir ensuite bouleversés. Et donc voila une lecture mitigé mais plus porté vers le positif, je suis déçue de ne pas avoir réussir à me plonger réellement dans le livre et à m’identifier aux personnages. Mais j’ai aimé l’univers crée par l’auteur et le dénouement de l’histoire, même si c’est un peu rapide. J’aurai aimé une fin plus élaborée, plus longue. Même si ce livre ne m’a pas marqué, c’est mon premier roman de zombie et j’en garde une note positive. Je suis pressée de voir le film, apparemment différent du livre, et de faire le parallèle entre les deux.
 
R est mort, mais il vit encore, c’est un zombie. Il habite un aéroport avec ses congénères. Parfois, ils ont faim. Ils se rendent alors dans la ville d’à-côté pour manger… des vivants. Durant les expéditions, les morts tombent sur des vivants, les dévorent, et ramènent des cadavres encore chauds pour ceux qui ne peuvent se rendre en ville. Un jour, c’est un groupe d’adolescents qu’ils rencontrent. Dans la boucherie qui s’ensuit, R sauve une vivante, Julie. Il la cache et la ramène chez lui. R est amoureux de Julie, de sa vie qui palpite en elle, et de la vie bien sûr. Le récit est écrit à la première personne, R narrant sa vie au jour le jour, ce qu’il fait et entreprend, ce qu’il pense et ses sentiments naissants pour une vivante. R rêve aussi, un fait particulier pour un non-vivant. R est un être différent, comme quelques autres morts comme lui, il a une conscience et il pense avoir la solution au problème de l’humanité, espèce en voie d’extinction, mais ne sait comment la trouver. Ce roman, c’est un Roméo et Juliette post-apocalyptique, un amour impossible entre deux personnages différents, un zombie, qui se repaît de chair fraîche et de morceaux de cerveau pour vivre, et une vivante, recluse dans un gigantesque stade où s’entassent les survivants d’une épidémie. Un amour impossible qui prend racine dans l’espoir de deux êtres diamétralement opposés. Ce roman, c’est aussi un avenir sombre promis à l’humanité alors que des hommes et des femmes, derniers bastions d’une civilisation moderne, tentent de survivre et de faire renaître la vie par tous les moyens. Moyens qui leur feront préférer la violence à l’éducation, les armes à l’amour. Revenir à des méthodes préhistoriques sont a priori le seul espoir. Mais la conscience de R, les rêves qu’il fait, empruntés à ces victimes, lui laissent entrevoir un avenir serein. Comme si l’humanité enfermée dans sa propre survie, serait sauvée par l’ennemi qui l’y aura poussé. L’auteur, Isaac Marion, écrit là un premier roman bien travaillé, abouti. Son écriture est aussi maîtrisée bien que trop littéraire pour un zombie, et reste agréable à la lecture. Nous sommes loin d’un roman type de zombie avec beaucoup de sang ou des descriptions gores. Bien que certaines scènes, nécessaires par le contexte particulier d’une épidémie de zombies, l’atout ne se trouve dans pas dans l’horreur et les morceaux sanguinolents arrachés, mais dans l’approche sentimentale entre les deux êtres que sont R et Julie, R comme Roméo et Julie comme… Juliette bien sûr ! Ce Vivants est un classique revisité, avec beaucoup plus d’optimisme, avec toujours du romantisme, en trois actes. Une belle lecture pleine d’espoir loin des clichés du genre.
 
Bonjour, moi qui n’ai pas l’habitude de lire des histoires de zombies.
J’ai vraiment beaucoup aimé celui-ci et je vais beaucoup plus m’intéresser a ce genre de livre maintenant, s’ils sont tous de cette qualité. Car dans ce livre j’ai trouvé de la romance, de l’humour et même une réflexion sur le genre humain.
Ce livre m’a fait passer un très bon moment.
 
J’ai passé un bon moment en lisant Warm Bodies que je conseille vivement.
je ne suis pas branchée zombie mais je peux dire que je ne suis pas déçue du voyage.
Ce livre est fin, drôle et poétique.
Une vrai leçon de tolérance !
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