Ça fait toujours un peu mal de se reconnaître dans certains travers du clone... Heureusement que Pierre Bordage n’y va pas avec le dos de la cuillère, ça permet de relativiser et de mettre de la distance avec les clones en général.
Dommage aussi qu’il n’ait pas réussi à éviter par trois fois l’appel des sirènes du fantastique. Je pense que le roman serait resté aussi fort sans ces petits ajouts surnaturels.