2013-05-18 18:37
Le mot qui me vient tout de suite à la fin de ma lecture c’est BOULEVERSANT.
Franchement, j’ai vraiment pleuré comme une madeleine. Personnellement, je préfère les romans plus gais.
Dans les romans, je cherche un endroit où échapper à la vie.
Où voir des papillons voler accompagner de biches dans de grandes forêts à perte de vue. (C’est imagé hein...) Et ce n’est pas du tout l’ambiance du livre. Ce qu’ils n’ont pas pu nous prendre, c’est l’histoire de Lina et sa famille qui, un soir de Juin 1941 ce fond déporter par l’armée NKVD.
Et là commence la descente aux enfer. Comme je le disais plus haut, ce livre est bouleversant.
On découvre comment Lina, sa mère (Elenah), et son petit frère (Jonas) font pour vivre en Sibérie, les humiliations quotidiennes par le NKVD, le manque de nourriture, le malheur et le travail forcé.
En fait, je pense qu’on ne peut pas s’imaginer l’histoire de ce livre tant qu’on ne l’a pas lu. Je dois bien vous avouer que j’ai faillis abandonner au milieu du livre.
Parce que ce livre est tellement dur, mais dans un sens tellement beau.
Je ne savais pas du tout s’il fallait que je le continue ou pas.
Tout compte fait je l’ai continué et lu jusqu’à la fin, avec les yeux remplis de larmes.
Et pourtant, on va pas dire que je suis une insensible, mais il en faut beaucoup pour me faire pleurer.
Et ce livre à toucher la corde sensible et je pouvais plus m’arrêter de pleurer. Pendant tout le livre je me suis demandée, “mais qu’est-ce qu’ils ont fait pour mériter ça ?"
Et quand nous le savons enfin je me suis dit “Mais, ce n’est pas un crime, juste de l’entraide" Et un dernier mot sur l’histoire.
Ce livre m’a totalement révolté.
Comment peut on être aussi cruel envers des gens sans histoire ? On vie l’histoire par l’intermédiaire de Lina.
Cette jeune artiste de 16 ans avec son caractére, et ses convictions.
On voit à qu’elle point elle change dans le livre.
On voit une jeune fille qui a la hargne de vivre.
Qui veux survivre à tout prix.
Pour retrouver son père et Andrius, un jeune Lituanien, comme elle, déporter. Et justement, parlons en d’Andrius.
Moi j’ai vraiment adoré ce garçon.
Il est présent dans le camp, il est attentionné et tellement mignon. Et puis, j’ai envie de vous faire un petit topo sur Nikolaï Kretzky.
Un membre du NKVD.
C’est vrai que d’habitude c’est typique du personnage que j’aime pas.
Arrogant et un point sadique.
En plus, comme je le disais plus haut c’est un membre du NKVD.
Et c’est vrai que de ce fait, on se sent presque obligé de ne pas l’aimer.
Et pourtant...
Kretzky c’est un peu le gentil parmi les méchants.
C’est le genre de type qui fait son kéké devant les potes et quand il est tout seul on se rend compte que dans le fond il est gentil et qu’on l’aime bien.
Dès le départ, je savais qu’il allait se passer quelque chose avec se garde.
Parce qu’on appuyer souvent sur son personnage.
Et c’est vrai, qu’il m’a fait pleurer.
Voilà c’est dit.
Il m’a beaucoup fait pleurer.
Quand vous lirez vous comprendrez vraiment pourquoi. Au final, un très joli livre pleins d’émotions.
Et qu’ils faut tous l’avoir lu.