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Pourquoi être heureux quand on peut être normal de Jeanette Winterson
Date france :
2012.05.3
Editeur :
ISBN :
9782879298702

Pourquoi être heureux quand on peut être normal

2012
4½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 4½ h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

8 %31 %54 %77 %
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La vie mode d’emploi
« J’ai lutté à mains nues quasiment toute ma vie. […] Je suis un écrivain ambitieux. J’ai essayé d’échapper à l’idée selon laquelle les femmes écrivent toujours sur “l’expérience” – dans les limites de ce qu’elles savent – contrairement aux hommes qui écrivent sur ce qui est grand et audacieux. Pourquoi une femme devrait-elle être cantonnée à quoi que ce soit par qui que ce soit ? »
Dans Pourquoi être heureux quand on peut être normal ?, sorti en Angleterre il y a quelques mois, le personnage n’en est plus un. Il s’agit de l’auteur, Jeanette Winterson. Elle écrit sans fard le « roman vrai » d’une vie : la rigueur mystique d’une mère adoptive à l’esprit étroit, l’Angleterre des années 60, les démons de la dépression. Comment devient-on écrivain alors qu’on se destinait à entrer dans les ordres ? Winterson nous raconte sa trajectoire hors du commun. Dans une maison interdite aux livres, elle a su malgré tout nourrir et préserver la toute-puissance de l’imaginaire.
Ce texte exceptionnel est surtout le récit d’une quête d’identité, celle de Jeanette et, à travers elle, de toutes les femmes engagées dans la bataille pour leur liberté. Mères, amantes, amies, écrivains, modèles, adorées ou honnies, Winterson leur rend hommage dans ces mémoires d’une jeune fille issue du prolétariat de Manchester.

Les commentaires :

 
Jeanette écrit à la façon des petits papiers qu’il reste des livres que sa mère adoptive a fait brûler. Croyante convaincue, il ne devait y avoir dans sa maison que la Bible. Alors quand Jeanette introduit de la littérature anglaise, sa mère, Mrs W, décide de les brûler. Il n’en restera que des bouts de récits divers. L’auteure écrit comme ceci, c’est à dire qu’il ne faut pas attendre une narration rectiligne. Elle ellipse, revient sur un épisode, coupe ses paragraphes pour ne pas avoir à les finir. Au départ, le récit tourne un peu en rond autour de son précédent roman (que je n’ai pas lu) “Les oranges ne sont pas les seuls fruits” qui a connu un immense succès en Angleterre. Puis l’auteure arrive à prendre le large, et le livre reprend souffle. Ouf.... Je ne suis malgré tout pas convaincue par ce roman. A cause essentiellement de sa forme. L’image que je retiendrai : Celle d’une petite fille obligée de dormir sur le pas de la porte, la nuit.
Alex-Mot-à-Mots
http://alexmotamots.wordpress.com
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