Si c'était à refaire

Bon. J’ai déjà lu d’autres livres de Marc Levy il y a très longtemps et je me rappelle ne pas avoir été vraiment convaincue. Je crois que je vais arrêter d’essayer de retenter l’expérience. Si c’était à refaire me semblait bien. La bibliothécaire m’a dit l’avoir beaucoup aimé. Un euphémisme de dire que j’ai été déçue…
Au début, l’histoire se déroule tranquillement. Rien vraiment qui permet de dire que la lecture est exceptionnelle. Le style d’écriture est simple et le fond de l’histoire, banal. Plusieurs fois, j’ai trouvé qu’il y avait des longueurs. Des moments inintéressants ou tout simplement futiles. De plus, j’ai deviné à l’avance beaucoup des « punchs » de l’intrigue qui s’étirait. Je n’ai pas aimé les personnages principaux non plus, je les ai trouvé prévisibles et très stéréotypés. Le collègue en pleine déchéance qui jalouse la star du journal (le personnage principal), l’amie d’enfance qui revient et qui lui demande de ne pas lui briser le coeur, le meilleur ami coureur de jupons, la patronne du journal qui est louche… J’ai aimé les quelques pages où l’intrigue se déroule en Argentine. Le contexte tropical, peut-être. J’ai aimé le personnage du policier à la retraite qui semblait vraiment sympathique. Par contre, la chose qui m’a le plus déçu est la fin. Cette lecture, bien que parfois un peu longue, n’a pas été un supplice non plus. J’ai bien aimé plusieurs moments, mais la fin m’a laissé un arrière gout amer. C’est peut-être aussi pourquoi ma note n’est pas très élevée. Je ne vous gâcherai pas la fin, mais j’ai refermé le livre très frustrée. J’ai l’impression que Marc Levy a bâclé le dernier chapitre et c’est quelque chose qui me déplaît grandement. Le plus important, dans un roman (à mon avis), c’est le début et la fin. Le début incite le lecteur à lire et donne le ton au livre. La fin laisse une dernière impression au lecteur et marque l’esprit. Peut-être que le milieu mérite plus qu’un 4.5/10, mais pour moi, la fin ne mérite pas plus. C’est ce qui me vient en premier lorsque je repense à ce livre. Peut-être que les fans de Marc Levy sauront mieux apprécier ce livre que moi.

Quand j’ai lu le résumé ça ne ma pas plus tenté que ça mais j’ai plutôt apprécié.
On remarque que l’auteur à fait beaucoup de recherche pour écrire son livre, du coup on en apprend beaucoup aussi de notre côté grâce à ça, et c’est très plaisant. Au début on rencontre notre personnage dans son quotidienne jusqu’à son assassinat, puis on le suit dans son enquête, on réussi à s’attaché à lui plus facilement que je le pensait, et j’ai bien aimé découvrir la personnalité de son meilleur ami Simon qui très marrante dans un sens. on s’intéresse a tout les thème abordés dont les conséquences des enquêtes et articles des journalistes.
d’après ce que j’ai compris on y retrouve un référence de son autre romance et si c’était vrai, comme j’ai prévu de lire ce lire plus tard je l’a comprendrai cette référence.
Bien sûr, on se pose des questions peu à peu au fils des informations apportées pour savoir qui est le meurtrier , donc on connais le fin mot de l’histoire seulement à la fin au dernière page.
Et la fin, est plutôt sadique et nous laisse sur notre faim.
Mais je ne peut que dire de ce livre, qu’il est sympa à lire mais il n’est pas exceptionnel.

Que feriez-vous si on vous donnait une chance de retourner en arrière et de recommencer les choses ?
Voilà ce qui arrive à Andrew Stilman, reporter au New York Times. Après une agression mortelle, il se réveille deux mois plus tôt. Il va donc essayer de modifier ses erreurs et surtout de savoir qui l’a poignardé. Encore une fois la magie a opéré sur moi. Pour moi ce roman est un mélange entre “Et si c’était vrai” pour le côté surnaturel, le dyptique “le premier jour / la première nuit” pour le côté aventure, à cela vous rajoutez une bonne dose de suspense ainsi qu’une leçon d’histoire sur l’Argentine. Tous les ingrédients étaient réunis pour que je passe un bon moment. Aventure, amour et humour (les répartis entre Andrew et son ami Simon sont tout simplement excellentes), une lecture très agréable.

Voilà, j’ai terminé pour la deuxième fois ce livre. Un grand plaisir de m’être replongée dedans. Les premiers chapitres sont consacrés sur la vie d’Andrew avant de s’effondrer ce 9 juillet 2012. Nous n’avons pas beaucoup de détails sur sa vie et fort heureusement, puisque il revit sa vie après son agression. C’est donc après son agression, propulsé deux mois en arrière, que l’histoire devient plus prenante et plus intéressant. Andrew va revivre les mêmes événements (ou presque) et en plus essayer de chercher qui est son mystérieux agresseur. J’ai été émue par l’histoire de M. Capenta et l’enfant qu’il avait adopté en Chine. Enfant qui s’avère avoir été volé à ses parents. Des vies bouleversées par un article écrit par Andrew. Je n’en dis pas plus pour vous laissez découvrir cette histoire. J’ai aussi été très touchée par l’enquête que mène Andrew en Argentine. On apprend ce qui s’est passé dans ce pays pendant la dictature de 1976 à 1983. Et surtout l’histoire de Raphaël, Isabella et leur fille Maria Luz. D’autres vies qui ont été bouleversées. Ses passages sont pour moi les passages les plus émouvants de ce livre. L’histoire d’Andrew, je ne peux pas vous en parler, de peur de vous dévoiler trop de choses. J’ai été déçus dont se termine le livre après ma première lecture. J’ai changé d’avis à ma seconde lecture. Finalement, c’est une bonne fin pour se livre, et on est libre de s’imaginer un après...