La peau dure
1967
7½ h
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Rosita, Charles Desperrin ne l’avait épousée que contraint et forcé. Bien sûr, les sept années passées près d’elle en Toscane n’ont pas été un bagne, mais sa vraie vie a commencé à son retour en France et son grand amour date de cette soirée de 1923 où il s’est heurté dans l’ombre à Kali.
Et voici que quatre ans de bonheur et de peinture inspirée s’achèvent brutalement parce que Rosita a retrouvé sa trace et que Kali s’est enfuie en découvrant le passé de Charles... Où, comment retrouver Kali ? Charles a beau se faire jeter à grand tapage en prison, elle ne donne toujours pas signe de vie. C’est pénible, mais à cinquante ans Charles a la peau dure.
Ces amours-là sont mortes, la peinture reste. Il en rapprend le goût dans la Sologne de son enfance, auprès de sa mère Adèle, en compagnie du curé de la Chapelotte et de Didine Oliveira. Plus solide, plus vivant, plus créateur que jamais dans un monde qui va replonger dans la guerre. Et un jour Charles, à quatre-vingt-dix ans, prendra non les pinceaux mais la plume pour raconter son existence, cette prodigieuse vie d’un païen éclatante d’entrain, de couleurs et d’imagination.