| Date france : |
2017.08.16 |
| Editeur : | |
| ISBN : |
2246855888 |
La disparition de Josef Mengele
2017
3½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 3½ h pour lire ce livre.
Temps restant en fonction de l'avancement :
| 12 % | 41 % | 71 % |
| 3 h | 2 h | 1 h |
1949 : ancien médecin SS à Auschwitz, coupable d’expérimentations atroces sur les déportés, Josef Mengele s’enfuit en Argentine.
1979 : après trente ans de traque, il meurt mystérieusement au Brésil.
Caché derrière divers pseudonymes, protégé par ses réseaux et par l’argent de sa famille, soutenu à Buenos Aires par une communauté qui rêve du Quatrième Reich, Mengele croit d’abord pouvoir s’inventer une nouvelle vie... En Allemagne, l’heure est à la reconstruction, l’Argentine de Peron est bienveillante, le monde entier veut oublier. Mais la traque reprend, menée par le Mossad puis par le chasseur de nazis Simon Wiesenthal. Avec l’aide de sympathisants, Mengele trouve un temps refuge au Brésil, auprès d’un couple de Hongrois, dans une ferme reculée. Son errance ne connaîtra plus de répit. De planque en planque, entouré d’une meute de chiens, perché sur le mirador qu’il a fait construire pour guetter les dangers qui le menacent, isolé, déguisé, dévoré d’angoisse, Mengele finira noyé sur une plage brésilienne. Comment le médecin SS a-t-il pu passer entre les mailles du filet international trente ans durant ? De quelles complicités en Allemagne de l’Ouest et en Amérique du Sud a-t-il bénéficié ? L’histoire est inouïe, elle est dérangeante. La barbarie nazie y croise la modernité des années 1960 et 1970, et nos ambiguïtés occidentales : que faire des hommes qui ont commis le mal ? La disparition de Josef Mengele est une plongée au coeur des ténèbres. Anciens nazis, agents du Mossad, femmes cupides et dictateurs d’opérette évoluent dans un monde corrompu par le fanatisme, la realpolitik, l’argent et l’ambition. Voici l’odyssée dantesque de Josef Mengele en Amérique du Sud. Le roman-vrai de sa cavale après-guerre.
1979 : après trente ans de traque, il meurt mystérieusement au Brésil.
Caché derrière divers pseudonymes, protégé par ses réseaux et par l’argent de sa famille, soutenu à Buenos Aires par une communauté qui rêve du Quatrième Reich, Mengele croit d’abord pouvoir s’inventer une nouvelle vie... En Allemagne, l’heure est à la reconstruction, l’Argentine de Peron est bienveillante, le monde entier veut oublier. Mais la traque reprend, menée par le Mossad puis par le chasseur de nazis Simon Wiesenthal. Avec l’aide de sympathisants, Mengele trouve un temps refuge au Brésil, auprès d’un couple de Hongrois, dans une ferme reculée. Son errance ne connaîtra plus de répit. De planque en planque, entouré d’une meute de chiens, perché sur le mirador qu’il a fait construire pour guetter les dangers qui le menacent, isolé, déguisé, dévoré d’angoisse, Mengele finira noyé sur une plage brésilienne. Comment le médecin SS a-t-il pu passer entre les mailles du filet international trente ans durant ? De quelles complicités en Allemagne de l’Ouest et en Amérique du Sud a-t-il bénéficié ? L’histoire est inouïe, elle est dérangeante. La barbarie nazie y croise la modernité des années 1960 et 1970, et nos ambiguïtés occidentales : que faire des hommes qui ont commis le mal ? La disparition de Josef Mengele est une plongée au coeur des ténèbres. Anciens nazis, agents du Mossad, femmes cupides et dictateurs d’opérette évoluent dans un monde corrompu par le fanatisme, la realpolitik, l’argent et l’ambition. Voici l’odyssée dantesque de Josef Mengele en Amérique du Sud. Le roman-vrai de sa cavale après-guerre.
Les commentaires :
Malivriotheque
2018-05-07 05:55
Malgré les avis dithyrambiques que j’ai pu lire depuis sa sortie (biaisés par son prix Renaudot ?) et qui, en plus du sujet fort intrigant, m’avaient d’ailleurs donné envie de lire cet ouvrage, je n’ai pas pu finir La Disparition de Josef Mengele. Pourquoi ? Je ne suis toujours pas sûre.
L’écriture un brin boursouflée de comparaisons et de descriptions qui s’enchaînent parfois sans queue ni tête, la construction en courts chapitres, les détails de sa vie en Argentine, tous ses passages en Europe ainsi qu’une certaine lenteur dans “l’intrigue” m’ont laissée de marbre. Complètement.
Peut-être aurais-je voulu plus de traque. Ou de suspense, qui sait ? Le texte serait sûrement mieux passé s’il n’y avait pas eu autant de références complexes à l’Histoire parfois dures à suivre. On a la sensation qu’on ne peut comprendre tous les tenants et toutes les subtilités de ce livre qu’en connaissant bien tous les acteurs, les partis, les pouvoirs en jeu.
J’aurai néanmoins découvert le destin (du corps) d’Eva Perón (la page Wikipédia était quand même nettement plus claire), voire même le procédé de conservation mortuaire utilisé (le corps de Lénine encore exposé à Moscou ? Sérieux ???). J’aurai néanmoins appris où s’étaient cachés tous ces nazis, qu’il n’y a effectivement meilleur endroit pour se cacher après une dictature qu’une dictature.
Lecture manquée, mais sans regret. C’est le principal.
L’écriture un brin boursouflée de comparaisons et de descriptions qui s’enchaînent parfois sans queue ni tête, la construction en courts chapitres, les détails de sa vie en Argentine, tous ses passages en Europe ainsi qu’une certaine lenteur dans “l’intrigue” m’ont laissée de marbre. Complètement.
Peut-être aurais-je voulu plus de traque. Ou de suspense, qui sait ? Le texte serait sûrement mieux passé s’il n’y avait pas eu autant de références complexes à l’Histoire parfois dures à suivre. On a la sensation qu’on ne peut comprendre tous les tenants et toutes les subtilités de ce livre qu’en connaissant bien tous les acteurs, les partis, les pouvoirs en jeu.
J’aurai néanmoins découvert le destin (du corps) d’Eva Perón (la page Wikipédia était quand même nettement plus claire), voire même le procédé de conservation mortuaire utilisé (le corps de Lénine encore exposé à Moscou ? Sérieux ???). J’aurai néanmoins appris où s’étaient cachés tous ces nazis, qu’il n’y a effectivement meilleur endroit pour se cacher après une dictature qu’une dictature.
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