La dernière des Stanfield
2017
6½ h
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« Je m’appelle Eleanor-Rigby. Ma vie a changé un matin alors que j’ouvrais mon courrier. Une lettre anonyme m’apprenait que ma mère avait commis un crime trente-cinq ans plus tôt. L’auteur de cette lettre me donnait rendez-vous dans un bar de pêcheurs sur le port de Baltimore et m’ordonnait de ne parler de cette histoire à personne. J’avais enterré Maman à Londres au début du printemps ; l’été s’achevait et j’étais encore loin d’avoir fait mon deuil. Qu’auriez-vous fait à ma place ? Probablement la même erreur que moi. » Eleanor-Rigby est journaliste au magazine National Geographic, elle vit à Londres. Un matin, en rentrant de voyage, elle reçoit une lettre anonyme lui apprenant que sa mère a eu un passé criminel. George-Harrison est ébéniste, il vit dans les Cantons-de-l’Est au Québec. Un matin, il reçoit une lettre anonyme accusant sa mère des mêmes faits. Eleanor-Rigby et George-Harrison ne se connaissent pas. L’auteur des lettres leur donne à chacun rendez-vous dans un bar de pêcheurs sur le port de Baltimore. À Baltimore, le corbeau est absent. George-Harrison et Eleanor-Rigby se rencontrent en découvrant, accrochée au mur du bar, une photo de leurs mères ensemble, quand elles avaient trente ans. Quel est le lien qui les unit ? Quel crime ont-elles commis ? Qui est le corbeau et quelles sont ses intentions ? La Dernière des Stanfield nous entraîne au cœur d’un mystère qui hante trois générations, de la France occupée de l’été 1944 à Baltimore dans la liberté des années 80, jusqu’à Londres et Montréal de nos jours.