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Harry Potter et l'enfant maudit de J.K. Rowling
Date france :
2016.10.14
Editeur :
ISBN :
9782075074209

Harry Potter et l'enfant maudit

2016
3½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 3½ h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

17 %44 %72 %
3 h2 h1 h
 
 
L’action de la pièce se déroule dix-neuf ans après les évènements du livre Harry Potter et les Reliques de la Mort et suit les aventures d’Harry Potter, désormais employé au Ministère de la Magie, et de son plus jeune fils, Albus Severus Potter. Être Harry Potter n’a jamais été facile et ne l’est pas davantage depuis qu’il travaille au coeur des secrets du ministère de la Magie. Marié et père de trois enfants, Harry se débat avec un passé qui refuse de le laisser en paix, tandis que son fils Albus affronte le poids d’un héritage familial dont il n’a jamais voulu. Quand passé et présent s’entremêlent dangereusement, père et fils se retrouvent face à une dure vérité : les ténèbres surviennent parfois des endroits les plus inattendus.

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Les commentaires :

 
Une blague, ce livre ! On dirait une fanfiction mal écrite par un auteur qui a eu la flemme d’écrire autre chose que des dialogues et s’est donc tourné vers la forme théâtrale. Suite à ce constat, on en vient à se poser/faire plusieurs questions/réflexions tout à fait légitimes :
1 : Pourquoi avoir publié cette “fanfiction"-là et pas une autre ? Parce que niveau qualité et suspense, on repassera...
2 : Quand on voit le nombre incalculable de décors demandés, d’effets spéciaux magiques ou précisions sur les sentiments internes et pensées des personnages en didascalie, y a de quoi se dire que ce qu’on lit n’est pas une pièce de théâtre mais un scénario pour un film. Et en plus on ne peut s’empêcher, comme je l’ai déjà mentionné, de penser à de la pure fainéantise littéraire, quand les trois quart des didascalies auraient pu être transformées en vraie prose. C’est tout simplement du foutage de gueule. Mais revenons aux exigences scénaristiques de l’auteur : il m’a semblé quasi impossible de reproduire tous les jeux de scène demandés. Je rappelle qu’on n’a qu’une seule scène au théâtre, qu’on ne peut pas arrêter le temps et le retourner visuellement (entre les jeux de scène voulus et ce qui est faisable pour les adapter, y a un gouffre monumental), qu’on ne peut pas faire sortir des lumières partout de baguettes magiques ni répondre à tous les sorts envoyés (ou alors ça doit ressembler à des effets spéciaux des années 20, genre très artisanal), ni qu’on peut faire nager des personnages sur la scène en simulant un lac (ou on revient encore à un simulacre tout pourri qui ressemble à rien), etc etc... En gros, plus on lit ce truc, plus on hallucine et on se demande franchement à quoi la pièce peut bien ressembler une fois montée (certainement à quelque chose très loin de l’effet visuel des films).
3 : Ahh, les stéréotypes ne manquent pas dans cette production. Si l’idée d’aborder le poids de la célébrité des parents sur les enfants est intéressante, la façon dont la chose a été effectuée semble souvent grotesque et lourdingue. Les fils de Drago et Harry meilleurs amis du monde ? Voldemort qui a eu un enfant avec Bellatrix ? (WTF, juste... nan... je peux pas... imaginer... NANNN !!!) Le personnage de Scorpius qui doit toujours avoir les répliques drôles ? Soupir.... Au final beaucoup de bla bla, avec des parents qui s’interrogent sur leurs relations avec leurs enfants (je dis pas que c’est ridicule, je dis juste que c’est stéréotypé et donc chiant à lire), qui sont d’ailleurs toujours tous en couple depuis leur premier bisou à la bataille de Poudlard, visiblement tous mariés et parents très jeunes (idyllique, non ? M’enfin, ce serait briser la “magie” que de voir la vraie vie intervenir dans ces mignons petits couples qu’on a suivis pendant 7 bouquins)...
4 : Et puis, et puis... N’oublions pas les constants retours en arrière, pures citations à répétition de passages des romans originaux, qui sont souvent très lourds. Seul celui de la fin, quand Harry assiste au meurtre de ses parents et voit Hagrid vaut le coup, tout simplement parce qu’on ne l’a jamais vu. Mais nous faire revivre TROIS FOIS les épreuves du Tournoi des Trois Sorciers avec les cris des fans des trois écoles... Non, merci.
5 : Enfin, apprécions les didascalies super bien écrites qui commencent pour plus de la moitié par “And” (je suppute donc “Et” en français, pourquoi se faire ch--- sur la traduction ?). J’en suis encore toute retournée tellement c’est poétique et super recherché.
En bref, c’est souvent cousu de fil blanc, c’est souvent ridicule, c’est souvent chiant. Pourquoi alors ? Pour le fric ? Au final, ce qui se voulait être un complément à une saga pour assouvir la nostalgie et le manque des fans et plus ou moins refermer un chapitre à moitié commencé dans la toute fin du tome 7 de Rowling casse en réalité tout le mythe HP.
On le lit par curiosité, mais on est carrément déçu et on oublie vite. Parce que franchement, ça vaut mieux.
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