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J'étais là de Gayle Forman
Date france :
2015.09.9
Titre origine :
I was here
Traducteur :
Luc Rigoureau
Editeur :
ISBN :
9782012256590

J'étais là

2015
4½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 4½ h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

13 %35 %57 %78 %
4 h3 h2 h1 h
 
 
Par l’auteur de Si je reste… Après le suicide de sa meilleure amie Meg, Cody est sous le choc. Elle était là. Même si Meg et elle s’étaient éloignées depuis quelque temps, elle avait toujours été là pour son amie. Comment avait-elle pu ne pas s’apercevoir que Meg allait si mal ? Pourquoi Meg ne lui avait-elle rien dit ? Quand elle se rend à Seattle à la fac de Meg pour récupérer les affaires de Meg, Cody découvre qu’il y a beaucoup de choses d’elle qu’elle ignorait. Beaucoup de choses qu’elle aurait aimé savoir. Au sujet de ses colocataires, par exemple, le genre de filles que Cody ne rencontrerait certainement pas dans sa petite ville paumée dans l’état de Washington. Ou encore de Ben McAllister, le garçon à la guitare et au sourire narquois qui a brisé le cœur de Meg. Mais surtout, Cody trouve un fichier informatique crypté qui transforme toutes ses certitudes au sujet de la mort de Meg en insupportables questions…

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Les commentaires :

 
C’est le troisième roman de Gayle Forman que je lis.
Le premier m’avait bouleversée (Si je reste), le second m’avait beaucoup déçue (Là où j’irais), et je dois dire que ce roman tendrait à effacer ma précédente expérience avec l’auteur. Même si ce n’est pas un coup de coeur, j’ai beaucoup aimé l’univers de Meg et Cody. Leur petit bled paumé dont il faut absolument s’extraire pour ne pas s’enliser, sa population aux quotidiens usés et aux rêves avortés, la famille imparfaite de Meg qui pourtant brille comme une pépite aux yeux de Cody, sans père et délaissée par sa mère. L’histoire débute avec le mail de suicide de Meg. Froid, impersonnel, le genre d’ultime message qui ne répond en rien aux questions que le suicide d’un être cher peut laisser.
Nous découvrons donc Cody plongée dans la première phase du Deuil : le choc. Considérée par les parents de Meg, comme un membre de la famille, Cody se voit confiée la délicate mission de se rendre sur le campus où vivait Meg, afin d’y récupérer ses quelques affaires. Commence alors la valse tourbillonnante des doutes et des questions inhérentes à ce type de drame, alors que Cody découvre peu à peu les réalités de l’existence de Meg, qu’elle jalousait depuis son admission en fac, et dont elle s’était éloignée.
Au fil du livre, alors que les pages s’égrènent, que des liens se nouent et qu’une enquête se construit, on suit Cody à travers ces différentes étapes du Deuil jusqu’à l’acceptation finale. C’est un roman prenant, remarquablement bien écrit et relativement juste et bien proportionné dans ses émotions, ce qui n’est pas toujours évident lorsque l’on traite du suicide d’une adolescente.
Je pense être réconciliée avec Gayle Forman, qui m’avait laissée dubitative avec Là où j’irais.
Elle a ce petit truc en plus qui me donne toujours envie de la lire, ce petit côté moralisateur, qui vous assène en permanence cette vérité : La vie n’est que le reflet des couleurs qu’on lui donne.*



* Citation de l’Abbé Pierre
Sakalivres/Vanessa
www.sakalivres.com
 
- [...] Tout le monde connaît ça. Tout le monde a ses mauvais jours, imagine en finir. Sais-tu pourquoi mon père qualifie le suicide de péché? [...]
- Parce que c’est un meurtre, je soupire. Parce que seul Dieu a le droit de se décider quand ton moment est venu. Parce que voler une vie, c’est voler Dieu.
Je me contente de répéter comme un perroquet les horreurs que les gens ont sorties au sujet de Meg. Richard secoue la tête, cependant.
- Non. Parce que c’est tuer l’espoir. C’est ça le péché. Tout ce qui tue l’espoir en est un.
Sakalivres/Vanessa
www.sakalivres.com
 
- [...] Tout le monde connaît ça. Tout le monde a ses mauvais jours, imagine en finir. Sais-tu pourquoi mon père qualifie le suicide de péché? [...]
- Parce que c’est un meurtre, je soupire. Parce que seul Dieu a le droit de se décider quand ton moment est venu. Parce que voler une vie, c’est voler Dieu.
Je me contente de répéter comme un perroquet les horreurs que les gens ont sorties au sujet de Meg. Richard secoue la tête, cependant.
- Non. Parce que c’est tuer l’espoir. C’est ça le péché. Tout ce qui tue l’espoir en est un.
Sakalivres/Vanessa
www.sakalivres.com
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