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Tous nos jours parfaits de Jennifer Niven
Date france :
2015.09.17
Traducteur :
Vanessa Rubio-Barreau
Editeur :
ISBN :
9782070663330

Tous nos jours parfaits

2015
Lecture conseillée à partir de 13 ans (si l'âge conseillé ne vous semble pas correcte, vous pouvez le signaler avec le triangle jaune, à droite quand vous êtes connectés)
6½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 6½ h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

2 %18 %35 %51 %67 %84 %
6 h5 h4 h3 h2 h1 h
 
 
Quand Violet et Finch se rencontrent, ils sont au bord du vide, en haut du clocher du lycée, décidés à en finir avec la vie. Finch est la “bête curieuse” de l’école. Il oscille entre les périodes d’accablement, dominées par des idées morbides et les phases “d’éveil” où il déborde d’énergie. De son côté, Violet avait tout pour elle. Mais neuf mois plus tôt, sa sœur adorée est morte dans un accident de voiture. La survivante a perdu pied, s’est isolée et s’est laissée submerger par la culpabilité. Pour Violet et Finch, c’est le début d’une histoire d’amour bouleversante : l’histoire d’une fille qui réapprend à vivre avec un garçon qui veut mourir.

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Les commentaires :

Je viens de prendre une énorme gifle. le genre qui vous fait reculer d’une demi-douzaine de pas et vous laisse complètement désemparée sur le bas-côté.
Dire que j’ai adoré Tous nos jours parfaits, serait bien en-deçà de la réalité. Je l’ai trouvé parfait. Comme son titre, comme ses personnages, comme ses émotions délivrées avec beaucoup de délicatesse. Son amour, ses folies, sa brutalité, sa tristesse.
Jennifer Niven a un don. Elle écrit comme elle ressent.
J’ai souri pendant la première moitié, et pleuré tout du long de la seconde. J’ai même pleuré à la page des remerciements, c’était la première fois que ça m’arrivait.
Ce qui m’a le plus touché dans ce livre, c’est ce qui se cachait derrière et que j’ai tout de suite reconnu comme étant du vécu. Parfois un roman est un roman, et parfois c’est un morceau d’histoire, une adaptation de la réalité. Les émotions décrites par Jennifer Niven étaient tellement palpables, tellement réalistes, qu’elles ne pouvaient pas être neuves. Elles avaient déjà servies, déjà été ressassées et recrachées. Elles avaient déjà vécues dans le coeur de son auteur.
Vous savez, c’est pour ces moments-là que j’aime autant lire, ceux où l’on se connecte à un auteur inconnu parce qu’on comprend ce qu’il ressent, et ce qu’il essaie de nous dire. Oui, ce sont ces moments de partage que j’aime le plus. L’histoire de Violet et Finch, de cette rencontre improbable entre deux survivants, au sommet d’un clocher, nous parle d’amour, de reconstruction, d’amitié, de deuil (celui de l’innocence et des gens que l’on aime), de familles et de comment apprendre à communiquer surtout.
A l’adolescence, la communication est l’outil le plus utile que nous ayons, et pourtant il reste toujours oublié sur l’établi. Et tandis que l’on se construit, que l’on se reconstruit comme Violet, ou qu’on se démolit comme Finch, on ne pense pas un seul instant que parler, se confier à des adultes, à des professionnels, à des gens qui pourront gérer ce flot incessant de questionnement, pourrait nous sauver la vie. C’est une époque, où paradoxalement nous sommes souvent très entourés par nos amis, et pourtant très seuls dans notre esprit. Je voudrais vous parler plus en détails de Violet et Finch, ces amoureux aux pieds d’argile qui se heurtent aux rudesses de la vie, mais j’ai peur. Peur de les perdre un peu si je vous les confie.
Alors je vais sans doute m’arrêter là, et y penser toute la journée, et peut-être même demain aussi. En espérant que vous saurez vous les approprier vous aussi, vous en faire des amis.
Sakalivres/Vanessa
www.sakalivres.com
Je connais assez bien la vie pour savoir qu’on ne peut pas compter sur les choses pour demeurer telles qu’elles sont, ou rester à portée de main, même si on ne souhaite que ça. On ne peut empêcher les gens de mourir. On ne peut empêcher les gens de partir. On ne peut pas s’empêcher soi-même de partir non plus.
 
Et je pense à ma propre épitaphe, pas encore rédigée, et à tous les endroits où j’aimerais me balader. Je ne suis plus enracinée, mais je m’écoule, comme de l’or. Je sens mille capacités fleurir en moi.
Sakalivres/Vanessa
www.sakalivres.com
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