Crimes masqués
2006
4½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 4½ h pour lire ce livre.
Temps restant en fonction de l'avancement :
| 9 % | 32 % | 55 % | 77 % |
| 4 h | 3 h | 2 h | 1 h |
Dans ce volume, qui réunit deux de ses romans, Tess Gerritsen déploie tout le talent auquel elle a habitué ses nombreux fans. Meurtres, faux-semblants, manipulation, piège mortel : les amateurs de suspense trouveront là de quoi passer des nuits blanches… Héroïne du premier roman, le Dr Kate Chesney se retrouve accusée d’une erreur médicale ayant entraîné la mort d’une patiente au cours d’une opération. Bien que tout la désigne comme la coupable, Kate, elle, demeure convaincue de n’avoir commis aucune négligence. Ce n’est qu’en découvrant les liens qui unissaient la malade à deux autres membres de l’hôpital, assassinés quelque temps plus tôt, que la jeune femme pressent la machination diabolique dont elle est victime…
Dans le second roman, Tess Gerritsen confronte cette fois une scientifique, Léa Fontaine, au mystérieux décès de son mari. Un décès survenu dans une chambre d’hôtel berlinoise, alors que le défunt était censé être à Londres pour affaires…
En même temps que la douleur, une foule de questions assaille Léa. Que faisait son mari en Allemagne ? Quelle double vie lui a-t-il cachée ? Poussée par un besoin désespéré de comprendre, elle part alors en Europe sur les traces de cet homme qu’elle connaissait si peu, sans imaginer le danger qu’elle encourt…
Dans le second roman, Tess Gerritsen confronte cette fois une scientifique, Léa Fontaine, au mystérieux décès de son mari. Un décès survenu dans une chambre d’hôtel berlinoise, alors que le défunt était censé être à Londres pour affaires…
En même temps que la douleur, une foule de questions assaille Léa. Que faisait son mari en Allemagne ? Quelle double vie lui a-t-il cachée ? Poussée par un besoin désespéré de comprendre, elle part alors en Europe sur les traces de cet homme qu’elle connaissait si peu, sans imaginer le danger qu’elle encourt…
