Je me suis un peu retrouvée en Capucine, et j’ai beaucoup aimé l’humour qui ponctuait cette nouvelle. Etant moi-même sous le charme du très sensuel Ian Somerhalder, je ne peux que compatir. A lire avec délectation, mais seulement pour les filles... ou les homos très portés sur Vampire Diaries!
Au milieu des piles que forment mes bouquins, je n’existe plus, je survis. Je parcours tellement de mondes, je rencontre tellement de gens, je ressens tellement d’émotions, là, entre ces lignes figées par l’immortalité, que je n’ai plus vraiment envie de les chercher en dehors. A quoi bon? Y existent-elles encore? Y auront-elles la même saveur? Non, bien sûr que non. Rien n’a la même saveur en dehors de ces pages que je tourne avidement, un jour après l’autre. Rien.