A la fin du tome 1 nous avions laissé l’Andéhir dans un état instable, les guerres et les alliances, bonnes ou mauvaises, se préparaient.
Dès le début de ce tome 2, Ekas Samarlande révèle les enjeux. Mensonges et traîtrises continuent un temps, mais progressivement, les méchants sortent de l’ombre, les traîtres tombent. La lutte ouverte peut commencer et les vraies alliances se constituer. Les ennemis d’hier redeviennent alliés pour combattre les vrais méchants.
Ce tome continue la quête, ce n’est pas un thriller où tout se passe à la fin, quoi que... Ici dès la moitié du livre, les camps sont définis, les batailles foisonnent sur tout le continent d’Andéhir, l’auteur n’hésite pas à sacrifier ses personnages.
En parallèle de ces batailles, la quête continue pour saper la base de pouvoir du méchant.
Et là, j’ai eu comme une inquiétude : les pages fondaient sous ma main droite et la fin me semblait pourtant encore bien lointaine. Etait-ce bien le dernier tome de la saga ?
Sous spoiler, je peux vous confirmer que c’est bien la fin de la saga, mais que cette fin va vraiment se nicher dans les toutes dernières pages, avec un deus ex machina qui est beaucoup trop “deus” à mon goût !
Malgré le bémol précédent sur le deus ex machina,
Le miroir des âmes est une lecture agréable, entraînante qui devrait plaire aux fans d’héroïc fantasy.