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Pays de neige de Yasunari Kawabata
Date france :
1960
Editeur :

Pays de neige

1960
3½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 3½ h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

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À trois reprises, Shimamura se retire dans une petite station thermale, au coeur des montagnes, pour y vivre un amour fou en même temps qu’une purification. Chaque image a un sens, l’empire des signes se révèle à la fois net et suggéré. Le spectacle des bois d’érable à l’approche de l’automne désigne à l’homme sa propre fragilité. « Le rideau des montagnes, à l’arrière-plan, déployait déjà les riches teintes de l’automne sous le soleil couchant, ses rousseurs et ses rouilles, devant lesquelles, pour Shimamura, cette unique touche d’un vert timide, paradoxalement, prenait la teinte même de la mort. »
Yasunari Kawabata, le plus grand écrivain japonais contemporain, a obtenu le prix Nobel de littérature en 1968.

Les commentaires :

 
Quelle musicalité dans l’écriture ! Quel hommage cristallin à la Nature, décrite à travers des images pures et subtiles tout en délicatesse !
Et pourtant, tout le reste (dialogues, “intrigue”) laissent de marbre. Où est l’ “amour fou” dont parle le synopsis ? Komako est une drama queen aussi énervante et fatigante que Holly Golightly dans Petit déjeuner chez Tiffany, jeune, qui aime la picole, à tendance névrosée... Y a de quoi comprendre que Shimamura ne soit pas plus attiré que ça, lui qui finalement ne la voit qu’à travers les éléments de son corps alliés à ceux de la nature. Quel poète, ce Shimamura !
Il n’y a pas vraiment d’histoire, pas vraiment de fil conducteur. L’on ne comprendra jamais le lien ambigu qui unissait Yokô à Komako, ni celui entre le “fiancé” et cette dernière. La part de mystère reste un jeu pour l’auteur, qui ne cesse de nous perdre dans des comparaisons et métaphores avec la Nature et les éléments. La fin sans fin me laisse pantoise et je ne retiendrai de cet ouvrage que la douce mélodie des magnifiques descriptions de Mother Nature sous son voile blanc d’hiver. Est-ce que tous les romans japonais sont comme ça ??
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