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Charlotte de David Foenkinos
Date france :
2014.08.22
Editeur :
Collection :
ISBN :
9782070145683

Charlotte

2014
2½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 2½ h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

17 %58 %
2 h1 h
 
 
Ce roman retrace la vie de Charlotte Salomon, artiste peintre morte à vingt-six ans alors qu’elle était enceinte. Après une enfance à Berlin marquée par une tragédie familiale, Charlotte est exclue progressivement par les nazis de toutes les sphères de la société allemande. Elle vit une passion amoureuse fondatrice, avant de devoir tout quitter pour se réfugier en France. Exilée, elle entreprend la composition d’une oeuvre picturale autobiographique d’une modernité fascinante. Se sachant en danger, elle confie ses dessins à son médecin en lui disant : “C’est toute ma vie”. Portrait saisissant d’une femme exceptionnelle, évocation d’un destin tragique, Charlotte est aussi le récit d’une quête. Celle d’un écrivain hanté par une artiste, et qui part à sa recherche.

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Les commentaires :

L’Avis de Laeti Mon histoire avec le livre: Je suis une grande fan de David Foenkinos. J’aime son écriture et j’essaie de lire chacun de ses romans. Il était donc évident que Charlotte attérisse entre mes mains, surtout après avoir entendu tout le bien qu’il en était dit. Mes impressions: J’ai adoré. J’ai été ému, touché, bouleversé par cette lecture. L’histoire de Charlotte est tellement tragique. Le livre se lit très bien puisqu’il s’agit d’une succession de courtes phrases, souvent poétiques, qui nous emportent dans la vie de cette peintre au destin dramatique. Ce livre, finaliste au prix Goncourt est vraiment beau et je suis restée quelques jours empreinte de la vie Charlotte.  
L’extrait que je retiens: “Il a des théories sur le rangement des livres.
Notamment celle du bon voisinage
Le livre que l’on cherche n’est pas forcément celui que l’on doit lire.
Il faut regarder celui d’à côté" "Voilà.
Ce que je voulais te dire.
Nous sommes un très beau début."
 
Quelle déception, la lecture de ce roman !
Bon, j’ai compris pourquoi l’auteur revenait à la ligne à chaque phrase. OK. Mais cela n’a pas suffit à faire surgir une émotion particulière.
D’abord parce que l’auteur est omniprésent dans les lignes qu’il écrit sur une artiste. C’est bien qu’il soit allé sur les pas même de Charlotte, qu’il ait vue sa maison ou son collège. J’en suis ravie pour lui, mais et après ?
Charlotte a lu Dostoïevski et Kafka : super ! Qu’est-ce qu’elle en retire ? Qu’est-ce que cela lui a apporté ?
Charlotte peint dans des couleurs chaudes, mais impossible de trouver une description de son geste, de son “phrasé”, de ce qui fait la particularité de ses toiles. Si vous voulez le savoir, consulter Google.
L’univers familiale et les suicides de ses branches féminines sont également rabâchées. Mais qu’est-ce que cela apporte de profondeur à la réflexion de l’artiste ?
Au final, un roman bien plat qui va jusque dans la chambre à gaz avec Charlotte et son gros ventre.
L’image que je retiendrai :
Celle du don des toiles de Charlotte Salomon au Musée historique juif d’Amsterdam qui ne l’expose même pas en permanence.
Alex-Mot-à-Mots
http://alexmotamots.wordpress.com
 
Si j’avais su de quoi parlait précisément le dernier roman de Foenkinos je ne l’aurais pas lu. Tout simplement parce que lire une énième fois un récit sur la déportation, la peur, l’injustice, la barbarie, ne m’est plus supportable. Impossible pour moi de revoir La liste de Schindler ou Au nom de tous les miens, sans solliciter mes glandes lacrymales à grande échelle. Mais voilà, Foenkinos est pour moi synonyme de légèreté et je me suis précipitée sans me méfier…Heureusement car je serais passée à côté d’un magnifique livre.
Les critiques n’ont pas été tendres à l’égard de ce livre : superficiel, écrit dans l’optique du prix Goncourt, tentative échouée de s’acheter une crédibilité littéraire… Et bien, je ne suis pas du tout d’accord avec cela. Tout d’abord soulignons le fait que Foenkinos a changé de style d’écriture pour ce roman, tout en gardant ce qui fait sa marque. Ainsi, comme il l’explique lui même, il a écrit ce livre comme une prose, un poème dédié tout entier à Charlotte. Les phrases sont courtes, parfois sans verbes. Au départ, ça surprend ! Mais je me suis très vite habituée et surtout j’ai retrouvé ce que j’aime chez cet auteur : le sens de la formule.
David Foenkinos est passé à côté du prix Goncourt mais a eu le prix Renaudot.
Peu importe le prix, pourvu qu’on ait le plaisir, et avec ce roman poignant et émouvant, c’est un pari gagné.
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