Un cinquième tome très attendu pour ma part. Une fois de plus, avec Cassandra O’Donnell on a jamais le temps de s’ennuyer, il n’y a aucun temps mort et aucune fioritures.
Quel plaisir de retrouver Rebecca et sa bande même si j’ai un peu regretté de ne pas beaucoup voir Raphaël et Bruce mais l’univers est tellement riche et tous les personnages consistants qu’on ne peut pas tout avoir.
Le tome commence de façon explosive avec un combat entre Rebecca et sa grand-mère qu’elle fuie depuis des années et qui se termine par une trêve. Depuis le temps que Rebecca nous parle de son peuple, les Vikaris, je suis heureuse de pouvoir les voir de plus près.
Que de vieilles mémés avec des tricots soient aussi éloignés de l’image qu’elles renvoient m’a fait beaucoup rire. J’ai adoré Madeleine et Clotilde qui sont hilarantes et attachantes. Et c’est avec plaisir que l’on apprend que Madeleine va rester comme assistante de Rebecca.
J’ai trouvé intéressant le fait que sa fille, Léonora, prenne de plus en plus de place et qu’avec ses pouvoirs elle puisse apporté son soutien à sa mère.
De même que dans sa vie sentimentale avec la mise en place d’une sorte de triangle amoureux avec William et Ariel qui sont craquants aussi bien l’un que l’autre. J’ai hâte de découvrir comment tout ça va évoluer. De plus, à la fin on apprend que Léo a été marqué par la déesse de la mort et a supprimé sa marque de Raphaël.
Pour Rebecca, on en est toujours au même point. Elle veut rester autonome, aime Raphaël, même si elle apprend que c’est peut-être un demi-dieu, elle ne peut pas se passer de Bruce et Ali lui avoue son amour. C’est vraiment une veinarde cette Rebecca.
Question action, comme toujours, il y a un ennemi, et pas des moindres celui-là, il y a des meurtres, Rebecca enquête, le trouve et le tue. Toujours autant d’efficacité.
Mais c’est vraiment les interactions entre les personnages que j’apprécie dans cette série et comme d’habitude on attend la suite avec impatience.