| Date france : |
1950 |
| Editeur : |
Un barrage contre le Pacifique
1950
5½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 5½ h pour lire ce livre.
Temps restant en fonction de l'avancement :
| 7 % | 26 % | 44 % | 63 % | 81 % |
| 5 h | 4 h | 3 h | 2 h | 1 h |
La mère et ses deux enfants, Joseph qui a vingt ans et Suzanne qui en a seize, vivent, ou plutôt survivent, dans leur bungalow à l’autre bout de la planète, une colonie française.
Leur concession est incultivable car envahie chaque année par l’océan et son sel qui brûle tout sur son passage.
Le barrage du titre est construit et détruit bien avant le début du roman, et ne sert que de vague fil rouge, un peu comme les mailles d’un filet qui serait la dernière chose à pourvoir retenir la santé mentale de la mère.
Car elle n’a pas toute sa raison cette mère, son esprit semble avoir été brûlé comme la terre par les marées, et l’on se demande ce qui la tient encore en vie si ce n’est la présence de ses enfants.
Ces enfants, jeunes adultes qui ne rêvent que de s’échapper de ce taudis, par tous les moyens mais sans trop savoir comment s’y prendre ni par où commencer.
Et comme dans toutes les histoires qui méritent d’être racontées, il suffira d’une rencontre pour que change leurs trois vies.
Leur concession est incultivable car envahie chaque année par l’océan et son sel qui brûle tout sur son passage.
Le barrage du titre est construit et détruit bien avant le début du roman, et ne sert que de vague fil rouge, un peu comme les mailles d’un filet qui serait la dernière chose à pourvoir retenir la santé mentale de la mère.
Car elle n’a pas toute sa raison cette mère, son esprit semble avoir été brûlé comme la terre par les marées, et l’on se demande ce qui la tient encore en vie si ce n’est la présence de ses enfants.
Ces enfants, jeunes adultes qui ne rêvent que de s’échapper de ce taudis, par tous les moyens mais sans trop savoir comment s’y prendre ni par où commencer.
Et comme dans toutes les histoires qui méritent d’être racontées, il suffira d’une rencontre pour que change leurs trois vies.
Les commentaires :
Cristy
2014-06-13 09:28
J’ai eu beaucoup de mal à me mettre dans l’histoire, le style de Marguerite Duras est ici très dur, en même temps, rien de plus normal, tellement ce qui arrive aux personnages est dur. J’ai trouvé cette lecture longue, j’ai eu une lecture plus fluide qu’après avoir lu un peu plus de la moitié du livre. D’ailleurs au début, j’ai cru que jamais je n’arriverai à finir le livre tellement j’ai eu de mal, je pense que ce début en découragerait plus d’un de continuer. J’ai tenu bon, parce que je n’aime pas commencer un livre sans le finir et qu’il y avait quand même quelques points qui ont réussi à piquer ma curiosité. Finalement, je ne regrette pas d’avoir finit ma lecture, une histoire dur, mais une histoire intéressante quand même. L’histoire d’expatriés français, qui se retrouvent dans la misère dans une vie coloniale, on en apprend aussi un peu plus sur la vie coloniale, dans ce livre en Indochine. C’est une histoire qui se veut autobiographique, Marguerite Duras ayant vécu en Indochine. Je ne sais pas quoi ajouter de plus pour ne pas spoiler l’histoire, je dirai juste que le titre est très bien choisis.
Cristy, capitaine du Navire dévoreur de livres