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Le chardonneret de Donna Tartt
Date france :
2014.01.09
Titre origine :
The Goldfinch
Date origine :
2013
Traducteur :
Édith Soonckindt
Editeur :
Collection :
ISBN :
9782259223270

Le chardonneret

2014
22 h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 22 h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

4 %18 %32 %45 %59 %73 %86 %95 %
21 h18 h15 h12 h9 h6 h3 h1 h
 
 
Theo Decker a treize ans. Il vit les derniers instants de sa vie d’enfant. Survivant miraculeux d’une explosion gigantesque en plein New York, il se retrouve seul dans la ville, orphelin, et se réfugie chez les parents d’un ami pour échapper aux services sociaux. Mais cette situation ne pourra être que temporaire. Désormais Theo va comprendre très jeune, qu’il ne peut compter que sur lui-même. Tout ce qui lui reste de cette journée où il a perdu sa mère, c’est un tableau, une toile de maître minuscule, envoûtante, infiniment précieuse et qu’il n’a pas le droit de posséder. Mais il ne peut plus s’en détacher. Et elle va l’entraîner dans les mondes souterrains et mystérieux de l’art.
La maîtrise du suspens et le foisonnement de l’intrigue sont les deux signatures de Donna Tartt. Son écriture coule, précise et magnifique, collée aux pas de son héros, d’un rebondissement à un autre, sans jamais lâcher le lecteur. Ce nouveau grand roman est une nouvelle prouesse, dans une Amérique hantée par ses démons, esclave de ses obsessions et consumée par ses ambitions.
Roman d’initiation à la Dickens, portrait féroce et actuel d’un pays, rythmé comme un thriller et profondément intime, Le Chardonneret condense en dix ans d’écriture et plus de 600 pages, tous les talents et toute l’aura de Donna Tartt.

Les commentaires :

 
Pffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff…………………………………… Mais pourquoi tout ce tapage ? Ce livre est d’une lenteur quasi incomparable ! Rien, absolument rien ne se passe sur des dizaines et des dizaines de pages (et l’édition anglaise originale est loin d’aligner seulement trois phrases par page) ! L’on raconte que c’est un chef-d’œuvre, l’on compare même Tartt à Dickens, mais d’où sortent ces âneries ?? Trouvez-vous cela normal que sur un livre de 800 pages, il ne se soit toujours rien passé au bout de la moitié ? Crie-t-on au génie littéraire parce que l’auteur ne publie un livre que tous les dix ans ? La fan-base de Tartt est-elle tellement conséquente que c’est plutôt à elle qu’il faudrait attribuer les ventes monstres de cet ouvrage ? Le titre lui-même est quasi mensonger puisqu’il n’est fait mention du tableau qu’une fois toutes les cent pages ou presque… !
J’ai abandonné à la page 398, et pourtant j’ai rarement autant essayé de continuer malgré un avis négatif personnel se renforçant jour après jour. Je voulais comprendre l’engouement général, les milliers de critiques dithyrambiques, tout le tralala autour de cette nouvelle publication. Eh bien c’est plat, c’est lent, c’est chiant. Autant dire que le « rythmé comme un thriller » de l’éditeur tombe comme une mouche dans la choucroute. Les personnages ne sont absolument pas accrocheurs avec leurs déboires alcooliques et monétaires et leurs arnaques. L’action n’arrive pas, les descriptions n’ont rien de dickensien, l’intrigue du tableau dévie sur la vie du personnage principal et ne sert finalement que de prétexte sub-narratif, nous laissant ainsi avec le destin brisé de Theo suite au décès de sa mère. BASTA !
La fin quant à elle est déprimante, je suis allée y faire un tour : la résolution du devenir du tableau est d’une simplicité tellement naïve et logique qu’il y a de quoi se dire, après 750 pages : « Tout ça pour ça ?? ». Ce serait donc cela, le « thrilling suspense » annoncé en quatrième de couverture ? Quelle perte de temps, et surtout quelle déception.
A ceux qui avanceraient l’argument que je ne suis pas allée assez loin pour l’apprécier, je répondrais à la question posée plus haut : non, ce n’est pas normal d’attendre 400 pages voire plus qu’il se passe quelque chose. Cela signifie tout simplement que la moitié du livre ne sert à rien, sans compter que la fin se révèle fortement insatisfaisante.
« Plus c’est gros » ne veut pas dire « mieux c’est ». « Plus c’est rare » ne veut pas dire « mieux c’est ». Et ce n’est pas parce que 10 000 fans ont dit que c’était bien, que « c’est bien ». Point.
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