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Gatsby le magnifique de Francis Scott Fitzgerald
Date france :
1946
Titre origine :
The Great Gatsby
Date origine :
1925
Traducteur :
Victor Llona
Editeur :
Licence :
70ans
Cette œuvre, au moins dans sa langue originale, est dans le domaine public pour les pays où la durée est fixée à 70 ans après la mort de l'auteur. (dont la France)

Gatsby le magnifique

1946
3½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 3½ h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

13 %42 %71 %
3 h2 h1 h
 
 
New York, années folles… Dans sa somptueuse demeure de Long Island, Jay Gatsby organise de fastueuses réceptions où les invités se pressent en foule. Mais leur hôte ne cherche à éblouir qu’une seule personne : Daisy Buchanan. Elle est élégante, riche, séduisante, mais elle est la femme d’un héritier millionnaire…
Avec ce texte devenu un classique, Francis Scott Fitzgerald, sur un air de jazz et une coupe de champagne à la main, met à nu le Rêve américain et écrit l’un des plus beaux romans du XXe siècle.
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Les commentaires :

Je ressors peu marquée et même assez déçue de cette lecture. Bien sûr, la prose est agréable, les scènes s’enchâssent bien, l’intrigue, assez dépouillée, atteint une portée universelle mais, pour tout dire, je me suis plutôt ennuyée. Seule l’apothéose du dernier chapitre est parvenue à me faire un peu vibrer. Francis Scott Fitzgerald raconte la tragédie d’une société à laquelle, comme son héros, il ne fut jamais complètement lié. Son narrateur fait le constat d’un monde terrible, sur le déclin, où l’on ne peut arriver autrement que par la naissance.
Pourquoi ce roman a-t-il remporté un si grand succès ? Peut-être à cause de sa simplicité savamment dosée. Tout passe par la suggestion, le passé trouble de Gatsby comme les tensions de la belle société américaine des années folles. En arrière-fond, la prohibition, la mafia, les excès d’un monde perturbé, à moitié renversé. Le scénario est un peu fou, étonnant, d’une certaine façon, mais le ton de Francis Scott Fitzgerald est si détaché que rien ne dérange un seul instant. Entre la thématique de l’amour impossible et celle de l’homme seul contre les calomnies de l’élite sociale, il y avait de quoi toucher durablement un très large public. La sortie d’une nouvelle adaptation et l’engouement autour de l’œuvre le prouvent. Gatsby est la pointe émergée de la bibliographie de l’auteur, une bonne entrée en matière, mais peut-être pas la meilleure approche de Francis Scott Fitzgerald. Après Les heureux et les damnés, dont la structure peu évidente ne pouvait toucher un large lectorat, l’écrivain de la génération perdue fait, avec son troisième roman, une synthèse brillante de tous les développements du second en utilisant, cette fois, un personnage auquel il est aisé de s’identifier (quand Anthony Patch est un rejeton de l’aristocratie la plus hautaine). Comme d’autres artistes de son époque, il continue de prendre sa revanche sur un milieu huppé où règnent les cultes de l’image et de l’argent, où le démon alcool avilit tout. Dans les deux cas, la conclusion est désespérée. Cependant, moins frontalement tragique, celle des Heureux et des damnés m’a laissée une impression bien plus glaçante. Au lieu de se concentrer sur le destin d’un homme, Francis Scott Fitzgerald condamne au surplace un monde tout entier, celui de Daisy et Tom, qui se délite de l’intérieur sans que personne – à part le lecteur – ne le constate clairement. Sans ce titre, je ne sais si la lecture de Gatsby m’aurait incitée à avancer plus loin. Il faut dire que la barre avait été mise assez haute dans mon esprit, et voir un résumé condensé du roman précédent, plus orienté vers la compassion me satisfait moins.
D’une manière encore plus subjective, je dirais que l’idée d’un amour cristallisé peine à balayer mon cynisme et que je préfère suivre par conséquent, un Anthony Patch constamment ivre, déprimé, désabusé, qu’un Jay Gatsby larmoyant collé aux basques d’une greluche.
En parlant de mes impressions autour de moi, j’ai d’ailleurs constaté que les autres admirateurs de l’auteur n’étaient pas davantage conquis par son « chef-d’œuvre ». Comme eux, je vous inciterais donc à ouvrir des romans plus délaissés et plus mordants si ce petit roman ne vous a pas convaincus.
 
je n’ai pas pu le lâcher !! J’en entendais parler depuis longtemps et puis c’est un classique donc je me devais de lire. Il est court et se lit facilement, la plume de l’auteur est juste sublime ce qui n’aide en rien à ne as dévorer le livre. Je suis tombée de haut en voyant que ce livre n’était pas axé que sur Gatsby ! Et oui, le narrateur c’est Nick Carraway, un trentenaire plutôt étrange qui nous raconte l’histoire de Jay Gatsby.
Du côté des autres personnages, j’ai longtemps trouvé Tom détestable mais à la fin c’était plus de la pitié ! Sa femme Daisy est juste insupportable !
Je trouve dommage la relation entre Jordan et Nick. Elle méritait une meilleure fin je pense ... J’ai aimé en apprendre plus sur Gatsby au goutte-à-goutte. En effet, c’est long à venir et puis c’est distillé par petit bout entre d’autres choses. Mais j’ai aimé ça justement parce que c’est que qui a fait que je suis rentrée totalement dans ce livre. En effet, on se pose beaucoup de question sur qui est cet homme mystérieux. Puis les réponses arrivent petit à petit, une fois que Nick fait vraiment partie de sa vie !  La fin de ce livre m’a troublée .... En effet, elle fait réfléchir à l’existence humaine et nous fait poser tout un tas de questions ! On se rend compte que les gens ont profité de lui toute sa vie et ça fait mal au coeur de se dire qu’au final il n’a que Nick et son père ! J’ai trouvé cet homme touchant. Il a été trahi par cette femme qu’il aime et toute sa vie n’a été qu’une quête de ce sentiment qu’il avait éprouvé au côté de cette femme. Et quand on voit la fin, on se demande qu’est-ce que cette femme lui aura apporté sinon, beaucoup de malheur et d’embrouilles. L’extrait qui plaît : « Et tandis que j’étais là, assis, à ruminer sur ce vieux monde mystérieux, je songeai à l’émerveillement de Gatsby le premier jour où il repéra la lumière verte à l’extrémité de la jetée de Daisy. Le chemin avait été long jusqu’à cette pelouse bleutée et le rêve avait du lui paraître si proche qu’il pouvait difficilement lui échapper. Il n’avait pas compris qu’il était déjà derrière lui, perdu quelque part dans l’immensité de l’obscurité au-delà de la ville, là où dans la nuit défilaient les champs noirs de la nation. “
- Page 222 - Pour résumer, je vous conseille vraiment cette lecture qui fut un vrai coup de coeur pour moi :D 
 
Gatsby le magnifique est un roman à la première personne, Nick Carraway, qui habite la maison voisine à celle de Jay Gatsby. Dans les années aux Etats-Unis, où les fortunes se font et se défont, Nick essayent de s’insérer sans beaucoup de conviction dans les milieux aisés de la banlieue New-Yorkaise. Il se lie d’amitié avec Gatsby qui organise de fastueuses soirées et tente de retrouver son premier amour. Ce roman traite de l’insouciance de gens riches à cette époque où aux Etats-Unis. Le personnage de Nick est très peu approfondi, laissant la part belle aux autres personnages qui orbitent autour de son ami Jay Gatsby. Des secrets enfouis, des rumeurs font de cet homme un mystère pour toute la jet-set de l’époque. L’auteur prouve encore une fois quel talent il avait grâce à son écriture légère et… insouciante, nous faisant ressentir encore plus intensément le caractère si particulier et l’ambiance débauchée de cette époque dans ce milieu de jeunes riches à qui tout réussit. Ce roman est presque comme un témoignage des Etats-Unis des années 20 et 30 et j’ai eu beaucoup de plaisir à le lire et à retrouver des similitudes avec De l’eau pour les éléphants de Sara Gruen. L’auteur nous raconte aussi le rêve américain grâce à ce Jay Gatsby qui démarre de rien et arrive à devenir un homme influent au point d’arriver à truquer le championnat de baseball. Ce rêve que tous les résidents de ce grand pays ont mais que peu parviennent à réaliser, et cette jalousie aussi des nantis nés avec une cuillère en argent dans la bouche. Un beau roman sur la société américaine qui se lira facilement, rapidement et avec beaucoup de plaisir. Un auteur qui ne déçoit jamais et qui dans cette traduction inédite nous permettra de le retrouver avec un nouvel intérêt.
 
Mon envie de lire ce livre est arrivée en même temps que la sortie du film. En effet, le plus possible, j’essaie de lire le roman avant d’aller voir l’adaptation. J’avais un peu peur car je ne suis pas très littérature classique en temps normal, ma lecture de “L’attrape cœurs” fut assez laborieuse. Mais même si Gatsby ne fut pas un coup de cœur, ce fut un livre très agréable. La principale barrière à la lecture pour moi fut le langage utilisé, c’est en effet assez soutenu avec un vocabulaire spécifique à la vie des années 20 à New York. Cependant une fois l’habitude prise j’ai pu plonger dans le livre. La première partie est plus difficile à comprendre et à apprécier que la deuxième, bien plus mouvementée. Le roman est raconté du point de vue de Nick Carraway, que j’ai beaucoup aimé. Plus que Gatsby au final. Il est réaliste et sincère et suivre son aventure et ses rencontres fut un plaisir. J’ai notamment beaucoup aimé son histoire avec Jordan Baker, qui fut selon moi une des meilleure partie du livre.  Mais Nick et Jordan ne sont pas uniquement ceux sur qui l’histoire se concentre. Il y a Gatsby, Daisy et Tom. J’ai eu beaucoup plus de mal avec ce trio, selon moi beaucoup trop stéréotypée, surtout Daisy. Gatsby conserve une part de mystère et on ne sait jamais comment il va réagir. Ce manque de transparence est surement ce qui m’a freiné avec ce personnage, mais c’est son trait de caractère principal, qui fait la force du roman. Daisy fut selon moi insupportable la plupart du temps, et je n’ai pas forcément compris Gatsby et son amour si fort pour elle.  Les 100 dernières pages du livre sont très prenantes. Malheureusement je connaissais déjà la fin de l’histoire, ce qui m’a retiré une bonne part de suspens. Cependant ce fut très intéressant de voir les réactions des différents personnages à cette fin, confirmant tout mes pressentiments sur Daisy. Gatsby, Le Magnifique est un roman court, intense, poétique, réaliste que je conseille pour découvrir l’ambiance des années 20.
 
En bref, le début est un peu lent mais ça vaut le coup de s’accrocher pour découvrir Gatsby.
Francis Scott Fitzgerald livre, à travers cette histoire et ce personnage, une morale intéressante qui n’a pas pris une ride. La fin est surprenante mais donne une ampleur encore plus grande à ce roman devenu culte désormais. 
Bloggueuse livresque à ses heures perdues... (http://rizdeuxzzz.canalblog.com)
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