| Date france : |
2012 |
| Editeur : |
Le Cavalier Noir
2012
Lecture conseillée à partir de 9 ans (si l'âge conseillé ne vous semble pas correcte, vous pouvez le signaler avec le triangle jaune, à droite quand vous êtes connectés)
4½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 4½ h pour lire ce livre.
Temps restant en fonction de l'avancement :
| 9 % | 32 % | 55 % | 77 % |
| 4 h | 3 h | 2 h | 1 h |
Maximilian Von Abbetz, le Cavalier Noir, est issu d’une famille autrichienne richissime, ayant su tirer profit du nazisme. Orgueilleux, cynique et charismatique, il ne fréquente que l’élite. Il jouit d’une popularité inquiétante, d’un pouvoir de séduction surnaturel qui ne laisse personne insensible, hormis sa jeune sœur qui, souffrant de cécité, restera la seule à l’aimer pour ce qu’il est réellement. Son don réside dans son apparence, qui prend les traits de l’objet de désir de celui qui le regarde. Adulé, vénéré, il pousse les êtres qui l’entourent aux pires exactions. Personne ne semble connaître son véritable visage, si tant est qu’il en ait un.
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Les commentaires :
Mzelle Amandine
2013-06-30 18:54
Je dois vous avouer, qu’au départ, je ne m’attendais pas du tout à autant aimer ce livre.
Mais ce tome m’a totalement transportée. Dans ce tome 3 on découvre Maximilian Von Abbetz, cavalier noir.
Maximilian vie dans une famille riche qui doit sa richesse au nazisme, il est indifférent à tout ce qui l’entoure et aime répandre le mal autour de lui.
Mais Maximilian a une soeur jumelle avec qui il entretient des relations fusionnelles et qui le fait rester dans le “Droit chemin”. Dans la première partie on découvre la vie de Maximilian.
Entre un père autoritaire, une mère totalement effacée et une soeur pire qu’une peste on plante tout de suite le décor.
Et surtout l’ambiance.
L’ambiance qui règne dans ce manoir est glauque.
On prend son petit-déjeuner dans le silence, on interrompt pas le père quand il parle même s’il raconte une ânerie aussi grosse que le monde.
Et c’est vrai que c’est en partie pour ça que je n’ai pas aimé le père.
La façon dont il agit, dont il parle, j’avais vraiment envie de lui mettre une baffe à chaque fois que je le voyer. Et puis au milieu on a Maximilian.
Et c’est vrai que je l’ai vraiment beaucoup aimé.
Lui et ses railleries, ses petits piques.
C’est vrai qu’à certains moments j’ai vraiment bien rigolé. Et puis on a la suite. A la fin de la première partie, Maximilian découvre son nouveau pouvoir.
Au départ, il ne comprend pas vraiment ce qui lui arrive.
Puis, petit à petit, il apprend à maitriser se pouvoir.
En faisant des expériences assez cruels. Et c’est dans cette partie que tous commence vraiment.
La vie de Maximilian change radicalement.
Et même si on ne le connait pas beaucoup, on ressent comme une certaine mélancolie pour sa “Vie d’avant”. C’est à ce moment que la tragédie et les révélations s’enchaînent.
Et c’est vrai qu’à certain moment j’avais juste les yeux gros comme des soucoupes en train d’halluciner.
J’étais à la limite du choquer. Je vais bien vous avouer que la fin m’a beaucoup fait pleurer.
On découvre un Maximilian plus sensible, mais aussi plus cruel que jamais. J’ai vraiment beaucoup aimé ce livre.
Pour l’instant, il est mon tome préférait de la saga.
Mais ce tome m’a totalement transportée. Dans ce tome 3 on découvre Maximilian Von Abbetz, cavalier noir.
Maximilian vie dans une famille riche qui doit sa richesse au nazisme, il est indifférent à tout ce qui l’entoure et aime répandre le mal autour de lui.
Mais Maximilian a une soeur jumelle avec qui il entretient des relations fusionnelles et qui le fait rester dans le “Droit chemin”. Dans la première partie on découvre la vie de Maximilian.
Entre un père autoritaire, une mère totalement effacée et une soeur pire qu’une peste on plante tout de suite le décor.
Et surtout l’ambiance.
L’ambiance qui règne dans ce manoir est glauque.
On prend son petit-déjeuner dans le silence, on interrompt pas le père quand il parle même s’il raconte une ânerie aussi grosse que le monde.
Et c’est vrai que c’est en partie pour ça que je n’ai pas aimé le père.
La façon dont il agit, dont il parle, j’avais vraiment envie de lui mettre une baffe à chaque fois que je le voyer. Et puis au milieu on a Maximilian.
Et c’est vrai que je l’ai vraiment beaucoup aimé.
Lui et ses railleries, ses petits piques.
C’est vrai qu’à certains moments j’ai vraiment bien rigolé. Et puis on a la suite. A la fin de la première partie, Maximilian découvre son nouveau pouvoir.
Au départ, il ne comprend pas vraiment ce qui lui arrive.
Puis, petit à petit, il apprend à maitriser se pouvoir.
En faisant des expériences assez cruels. Et c’est dans cette partie que tous commence vraiment.
La vie de Maximilian change radicalement.
Et même si on ne le connait pas beaucoup, on ressent comme une certaine mélancolie pour sa “Vie d’avant”. C’est à ce moment que la tragédie et les révélations s’enchaînent.
Et c’est vrai qu’à certain moment j’avais juste les yeux gros comme des soucoupes en train d’halluciner.
J’étais à la limite du choquer. Je vais bien vous avouer que la fin m’a beaucoup fait pleurer.
On découvre un Maximilian plus sensible, mais aussi plus cruel que jamais. J’ai vraiment beaucoup aimé ce livre.
Pour l’instant, il est mon tome préférait de la saga.