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L'homme du lac de Arnaldur Indridason
Date france :
2008
Date origine :
2004.03.9
Editeur :

L'homme du lac

2008
7 h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 7 h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

15 %29 %43 %58 %72 %86 %
6 h5 h4 h3 h2 h1 h
 
 
Il dormait au fond d’un lac depuis soixante ans. Il aura fallu un tremblement de terre pour que l’eau se retire et dévoile son squelette, lesté par un émetteur radio recouvert d’inscriptions en caractères cyrilliques à demi effacés. Qui est donc l’homme du lac ? L’enquête révélera au commissaire Erlendur le destin tragique d’étudiants islandais confrontés aux rouages implacables de la Stasi.

Les commentaires :

 
Encore un bouquin que j’ai acheté il y a presque quinze ans quand je n’avais pas encore compris ce que j’aimais ou non en littérature. Le pitch avait pourtant l’air sympa, sauf que le pitch est mieux écrit que le livre. Quand on cite sur la 4ème de couv’ pour attirer l’oeil la phrase “Le lac lui-même avait voulu dévoiler ce crime.”, on est en droit de s’attendre à une forme de poésie métaphorique de la nature en parallèle du crime commis, l’Islande étant en plus connue pour offrir d’incroyables paysages dans un environnement fortement influencé par sa position géographique.
La poésie s’arrêtera là, le texte est loin d’être de qualité : des dialogues répétitifs et assez tirés par les cheveux pour certains, une prose sans réel style, elle-même fort redondante, des personnages assez lisses avec certaines situations qui auraient pu être bien plus poussées, une construction bancale et une fin assez extraordinaire dans sa banalité. Passons sur les noms islandais archi-compliqués à lire/dire pour un lecteur non-habitué : ils font partie du folklore de ces “polars venus du froid” qui ont gagné en succès au début des années 2000 mais qui restent quand même une niche bien spéciale pour un public averti.
Et puis les amis, n’oublions pas les nombreuses fautes diverses et variées, de grammaire, d’orthographe, de conjugaison, de syntaxe même qui jalonnent le récit. A la première erreur (page 3 tout de même...), on peut se dire que c’est une faute d’étourdissement, mais il paraît vite assez clair que c’est en fait dû à de l’incompétence sûrement doublée d’un je-m’en-foutisme. Je sais, je suis plus ou moins la seule à toujours m’égosiller dans le vide au sujet des fautes, dans cet océan de personnes professionnelles ou non qui n’en ont “strictement rien à carrer” et me taxent de “grammar Nazi” (tant qu’à faire, alors que c’est pas moi qui suis en faute mais c’est moi qui me fais insulter). Néanmoins, y en a marre de voir du travail bâclé, lequel n’est pas gratuit en plus.
Bref, je m’égosille, mais qui prendra acte ?
J’oublierai ce livre et cet auteur. Et ça tombe bien : après 14 ans sur mes étagères, c’était mon dernier Indriðason...
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