Le blog de NousLisons.fr(Catégorie Service de Presse)

Vents froids nous ouvre deux fenêtres sur une Bolivie bien loin des clichés habituels, même si la drogue n’est jamais très loin des motivations ou des préoccupations.
Ces deux histoires, un peu courtes à mon goût, sont intéressantes par les réflexions et pensées des personnages principaux qu’elles révèlent. Pour ma part, j’aurais quand même préféré que l’auteur soit plus directif avec ses personnages au lieu de les laisser dériver à leur rythme.

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J’ai été un peu déçu par ce livre. Il avait un potentiel intéressant avec un gros travail sur la subjectivité de la mémoire et sa manipulation. De même l’auteur a un talent certain pour modifier l’angle de perception des faits et désigner un coupable différent en faisant évoluer cette perception.
Malheureusement il en fait trop. La géographie n’étant pas non plus bien maîtrisée, cela en fait, à mon avis un livre policier assez moyen.

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Une déception en tant que livre policier, mais pas désagréable à lire pour une romance historique...
Ce livre nous permet découvrir l’apartheid de la fin des années 60 ainsi que les grands événements qui se déroule à Cap Town : première greffe du coeur, les travaux forcés de Nelson Mandela. Malheureusement il s’agit plus d’une narration basée sur une idylle “parfaite” que d’une intrigue policière proprement dite.

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Ce livre aurait pu être intéressant... mais non !
D’une part je n’avais pas vu que c’était un policier basé sur une affaire réelle (Pékin, 1937), d’autre part la somme des descriptions rend la narration heurtée. Il m’a été difficile d’en venir à bout alors qu’il est assez court.

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Avec GoodBye Gandhi, Mélanie Talcott nous dévoile les disparités de l’Inde à travers une enquête policière dans le milieu humanitaire. Elle transcende l’enquête elle-même en développant les risques liés à l’humanitaire, à la fois en terme d’abus et de ressenti par les bénéficiaires. Ce policier philosophique est assez intéressant, à la fois par le cadre indien qu’il révèle et par les questions qu’il nous amène à nous poser.

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