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Liste des livres

Allez, roulez ! de Carter Brown
1961
Carter Brown
Policier
3½ h
- Alors, c’est vous le copilote de Julie Adams, dans la Carrera Panamericana? grommelle le mécano.
- Exact, papa.
- En tout cas, c’est pas moi qui me risquerais à parier...
- A parier sur quoi?
- Sur celui de vous deux qui bousillera l’autre! Si ce n’est pas elle qui vous tue, c’est vous qui l’estourbirez. C’est reglé comme du papier à musique !
Au parfum de Carter Brown
1961
Carter Brown
Policier
3 h
- Et avant de mourir, la fille retourne le verre sens dessus dessous, m’explique la belle Arline.
- Pourquoi donc ?
- Pour dénoncer l’assassin, espèce d’idiot ! C’est le larbin qui l’a empoisonnée. Or il a l’habitude de poser les verres à l’en... vers, quand il les range dans le buffet...
- Oh ! Funérailles ! fais-je atterré.
Voilà ce qu’on appelle un indice, à la télé ! Et dire que dans l’émission, c’est moi qui incarne le fin limier, le célèbre inspecteur Rock !
Blague dans le coin de Carter Brown
1962
Carter Brown
Policier
2½ h
Al Burlington est mon nom.
Al Burlington, le roi des comiques burlesques ! A ma vue, le public vocifère et me lance des témoignages d’admiration : tomates, godasses, colifichets divers.
D’une intelligence rare ! Certains vous diront que, si j’ai réussi à venir à bout des gangs de Las Perlos, c’est grâce à une veine insolente mêlée à une insondable stupidité. Les gens comme moi font des envieux, forcément !
Du beau linge de Carter Brown
1961
Carter Brown
Policier
2 h
Un métier en or, la pub, pour un gars intelligent, dynamique, bien de sa personne, que les mignonnes s’arrachent et dont le cerveau en ébullition, fourmille d’idées géniales. Vous m’avez tout de suite reconnu, n’est-ce pas ? Tod Gaylor, le jeune loup qui ne fait pas de cadeaux, ni à ses amis, ni à ses créanciers, ni aux petits rigolos qui s’amusent à assassiner ses plus beaux mannequins, et en pleine représentation de collections encore. Ah, mais !
La tournée du patron de Carter Brown
1960
Carter Brown
Policier
3 h
— Je suis toujours gentille avec mes amis, et je me fais une joie de vous revoir vendredi, Marc !
— Vous le pensez vraiment ?
— Mais bien sûr ! Vous avez quelque chose qui m’attire !
— Vous aussi, chérie. Et croyez-moi ça n’a rien à voir avec les puits de pétrole.
— J’en suis bien aise.
— Je n’ai jamais entendu parler d’un puits de pétrole qui ait tant soit peu de sex-appeal dans une robe sans bretelles...
— Attention, dit-elle, je pourrais jaillir...
Le glas pour Rebecca de Carter Brown
1962
Carter Brown
Policier
2½ h
— Je suis Mortimer Dukes, me dit-il. Ordonnateur des Pompes Funèbres. Pauvre Madame Ellard!
— Vous venez pour l’enterrer? C’est très embêtant.
— Navrant, Monsieur!
— Ce qui est embêtant, dis-je, c’est que Madame Ellard n’est pas morte.
Mortimer vire au verdâtre :
— Il a dû y avoir une erreur épouvantable!
— Remettez-vous, dis-je. Et repassez la semaine prochaine. Si vous êtes à court de cadavres, j’en aurai peut-être un pour vous
Solo de baryton de Carter Brown
1961
Carter Brown
Policier
3 h
Je m’étais toujours dit que Miss Toots Yabach, la fameuse trompettiste de jazz, n’était pas capable de composer elle-même ses solos... pour en avoir le coeur net, je lui avais demandé une interview...
Je me présente donc chez elle à l’heure convenue, sonne et resonne... Pas de réponse !
Excédé, je donne un grand coup de poing dans la porte... Elle s’ouvre toute seule... Je m’avance jusqu’au living-room et aperçois deux jambes gainées de nylon qui dépassent sous le divan...
Trois têtes sous le même bonnet de Carter Brown
1962
Carter Brown
Policier
2½ h
Quand je me réveille, un peu paumé, je ne pose pas la classique question: « Où suis-je ? »
Je demande: « Qui Suis-je ? »
Mon « moi » est, en effet, multiple.
Il y a le « moi » qui tremble, le «moi» qui joue de la gâchette, le «moi» qui démonte les coups monté... Un seul point commun entre ces trois personnages : leur goût immodéré pour les belles créatures du sexe opposé.
Un coeur qui saigne de Carter Brown
1963
Carter Brown
Policier
2½ h
Mon vrai métier, c’est écrire. Accessoirement, et malgré moi, je suis devenu détective amateur... ça ne plaît pas du tout à l’inspecteur Casey qui m’interroge depuis des heures...
- A propos, dit-il soudain, j’ai lu votre livre.
- Qu’est-ce que vous en pensez ?
- Dégueulasse!
- Eh bien moi, dis-je, j’ai vu la façon dont vous menez votre enquête.
- Qu’est-ce que vous en pensez?
- Dégueulasse, dis-je d’une voix douce...
Une blonde à réactions de Carter Brown
1960
Carter Brown
Policier
2½ h
On a fait une enquête de moralité sur mon compte et ma moralité n’a pas satisfait mon candidat patron.
Nib de job !
Alors, moi aussi, je fais faire une enquête de moralité sur le compte de celui qui aurait pu être mon patron. Eh bien ! sa moralité est exemplaire, mais celle de sa femme ne l’est pas. Ce qui me ramène à mon candidat patron, qui me répond par une fin de non recevoir, car voilà... il n’est plus candidat que pour la morgue.
Un paquet de blondes de Carter Brown
1958
Al Wheeler (1)
Carter Brown
Policier
2½ h
Encore un charmant petit scandale à Hollywood, qu’on essaie d’étouffer. Al Wheeler va voir Georgia Brown, une drôle de bonne femme, qui prétend avoir des révélations à faire sur la mort suspecte d’un acteur, grand amateur de tendrons. Il appuie sur la sonnette de l’appartement de Georgia et soudain tout saute. La porte tombe à ses pieds. Une main est crispée sur la poignée. Une main aux ongles laqués rouge vif. Ça et un fragment de tibia. C’est plutôt mince pour mener une enquête.
Tu viens shérif ? de Carter Brown
1961
Al Wheeler (2)
Carter Brown
Policier
3 h
- C’est bien simple, shérif. Il est entré dans le bar où j’étais et il s’est effondré devant mon tabouret.
Lavers nous regarde tour à tour, Doc et moi, puis il articule sentencieusement :
- Il y a des gens qui semblent attirer les accidents... Wheeler, lui, c’est les cadavres. Pour peu qu’il y ait un candidat macchab dans un rayon d’une lieue, il faut qu’il vienne rendre le dernier soupir aux pieds de Wheeler !
- Quelle horrible fin ! soupire Doc.
Envoyez la soudure de Carter Brown
1959
Al Wheeler (3)
Carter Brown
Policier
3 h
Je fis des préparatifs hâtifs: scotch, eau gazeuse, cubes de glace, disque sur le pick-up, prêt à démarrer. Le dernier de la pile était “Les heures qui précèdent le jour”. Si Edna Bright restait assez longtemps pour l’entendre, l’affaire était dans le sac. Les femmes carburent au sentiment. Faites-les pleurer dans leur scotch et tout ce qu’il vous reste à faire, c’est de veiller que le whisky ne soit pas trop dilué.
A palir la nuit de Carter Brown
1959
Al Wheeler (4)
Carter Brown
Policier
3 h
Les esthéticiennes, ça se trouve en général dans les instituts de beauté. Il faut être flic excentrique dans mon genre pour aller les dénicher dans une entreprise de pompes funèbres. Et quand il s’agit d’une rousse à vous couper le souffle, c’est tout juste si on n’envie pas un tantinet les clients confiés à ses soins. Elle ne risque d’ailleurs pas de se retrouver au chômage, car les macchabées s’accumulent à pin City.
Ballet bleu de Carter Brown
1960
Al Wheeler (5)
Carter Brown
Policier
3 h
_ Ah, s’est écrié le capitaine Parker, le retour de l’enfant prodigue ! Va falloir tuer le veau gras...
_ Si c’est au lieutenant Hammond que vous pensez, répondis-je, il y a longtemps que ça aurait dû être fait. Pourquoi attendre une occasion exceptionnelle ?
_ Mais la voilà, cette occasion ! On fête le retour du lieutenant Wheeler, le poulet extravagant... saqué par le shérif et renvoyé à la maison mère! J’ai justement un meurtre pour vous: un meurtre sans cadavre !
Trois cadavres au pensionnat de Carter Brown
1959
Al Wheeler (7)
Carter Brown
Policier
2½ h
Al Wheeler a expliqué à un parterre de jolies personnes ce qu’est une enquête policière, puis il est passé aux travaux pratiques, pour l’édification non seulement des jeunes filles, mais du shérif, car, pour illustrer son exposé, il disposait de trois éléments intéressants et imprévus : une fausse morte, une vraie morte et un magicien volatilisé.
Dites-le avec des pruneaux de Carter Brown
1959
Al Wheeler (8)
Carter Brown
Policier
2½ h
- Vous pouvez me faire la cour, Al. Ça ne m’est encore jamais arrivée avec un policier. Mais faites preuve de tact, il faut que je m’habitue à l’idée de faire l’amour avec vous.
Une chose à laquelle Al Wheeler, lui, n’arrive pas à s’habituer, c’est à buter sur un cadavre toutes les fois qu’il fait une nouvelle conquête.
Une fois, deux fois, passe encore. Mais comme dit le Sergent Polnik dans sa profonde sagesse, trois, c’est trop.
Du soleil pour les caves de Carter Brown
1959
Al Wheeler (9)
Carter Brown
Policier
3 h
Une cure au soleil, ça donne bonne mine, et ça ne coûte pas cher… si vous la faites, modestement, sur votre balcon.
Mais si vous la faites sur la Montagne du Soleil, supervisé par le dieu Soleil en personne, et stimulé par les servantes du dieu Soleil, vous paierez – noblesse oblige – le prix fort et même, pour ne rien vous cacher, il vous en cuira !
Taille de croupière de Carter Brown
1959
Al Wheeler (10)
Carter Brown
Policier
3 h
- Lieutenant, annonça le sergent tout fiérot, j’ai un corps de femme sur les bras !
- Vous en avez parlé à Mme Polnik, au moins? répondis-je. Quand je pense qu’elle voulait s’offrir une deuxième lune de miel !
- C’est pas un corps comme vous pensez... c’est un cadavre, expliqua le sergent précipitamment. Quant à Mme Polnik, elle me donne assez de tintouin comme ça !
Du feu par les naseaux de Carter Brown
2014
Al Wheeler (11)
Carter Brown
Policier
3 h
Dehors, la nuit était vibrante et chaude, tout comme la blonde que j’avais laissée à la maison. Ça faisait un moment que je l’avais quittée et elle devait commencer à se sentir comme moi, moite et écoeurée. Car la morgue, à minuit, ce n’est pas précisément un lieu de rigolade.
Cash-Cash de Carter Brown
1960
Al Wheeler (12)
Carter Brown
Policier
2½ h
Elle avait choisi un eucalyptus d’Australie, un arbre droit et haut dont la cime se perdait dans le ciel nocturne.
Le corps se balançait au bout d’une très longue corde, un corps gracile, exposé à la lumière crue des projecteurs, qui faisaient luire la longue chevelure blonde. La désespérée était nue, d’une nudité virginale et touchante, et cette lumière impitoyable la frappait... comme un dernier outrage.
Au sentiment de Carter Brown
1960
Al Wheeler (13)
Carter Brown
Policier
2½ h
Une taille... comme ça ! Des hanches... comme ça !
Des chevilles... vous me comprenez !
Des yeux... vous ne pouvez comprendre !
Enfin, quoi... dans un sens... tout à fait entre nous... si quelqu’un devait mourir, il valait encore mieux que ce ne fut pas elle, mais la secrétaire !
Ferme ta malle de Carter Brown
1967
Al Wheeler (14)
Carter Brown
Policier
2½ h
Quand Al Wheeler n’est pas en quête d’une belle corrida, c’est elle qui vient à lui sous l’aspect d’une décapotable qui se précipite contre sa voiture à tombeau ouvert. La catastrophe est évitée de justesse. Des débris surgit une blonde à moitié nue qui tombe dans les bras du lieutenant...
« Faites-moi une petite fleur, supplie-t-elle; et moi je vous en ferai une grande... » Mais de la malle arrière au couvercle arraché pend une main inerte, la main d’un passager clandestin replié sur lui-même, la nuque trouée d’une balle.
Cible émouvante de Carter Brown
1960
Al Wheeler (15)
Carter Brown
Policier
3 h
Elle se faisait appeler Ange, elle avait des yeux de félin, et tout le monde sait que les chattes appartiennent à l’Empire du Démon. “D’autant qu’elle avait pour copain un matou prénommé Rickie avec lequel, semble-t-il, elle pratiquait l’art de l’assassinat.
Et le lieutenant Al Wheeler, habituel dompteur de filles, se demanda si cette fois il n’allait pas être mangé.
L'effeuilleur de Carter Brown
1966
Al Wheeler (16)
Carter Brown
Policier
3 h
Dolorès la Muette avait été ainsi surnommée parce qu’elle ne parlait qu’avec son corps.
Mais quelle éloquence onctueuse, vigoureuse, soyeuse, enjôleuse il avait, ce corps! Un seul inconvénient : ses mauvaises relations.
Quelques assassins, plusieurs marlous, deux ou trois escrocs. Plus une cousine qui adorait se flanquer par la fenêtre d’un quinzième étage.
Une tigresse dans le moteur de Carter Brown
1967
Al Wheeler (17)
Carter Brown
Policier
3 h
« J’avais justement envie d’un homme quand j’ai entendu votre coup de sonnette. J’ouvre. Et vous voilà : un homme ! Votre nom, je ne veux pas le savoir. D’ici une demi-heure, vous serez reparti, un peu flagada peut-être, mais comblé. Et moi, j’aurais déjà tout oublié... Allons, une grosse bise...»
Au cours de ses enquêtes, Wheeler a eu l’occasion de tomber sur des filles sensationnelles, mais jamais aussi féroces, aussi dangereuses, que Tania l’indomptable.
Sauvons la farce de Carter Brown
1967
Al Wheeler (18)
Carter Brown
Policier
3 h
De drôles de corps, les Suspects auxquels Al Wheeler avait affaire. Un inspecteur tonitruant, spécialisé dans les farces et attrapes et les gadgets pornos.
La jeune patronne d’une boutique chic qui vendait trop cher pour prospérer. La Présidente des Filles des Pionniers de l’Ouest (tout un programme 0 Plus le cadavre d’un ancien taulard qui aurait mieux fait de rester à l’ombre.
L'Ange aux ailes de plomb de Carter Brown
1963
Al Wheeler (19)
Carter Brown
Policier
2½ h
Ce sont quatre vieux copains, anciens pilotes de guerre et têtes brûlées, qui aiment se retrouver de temps en temps pour faire de l’avion. Soudain l’appareil explose en plein ciel avec un des gars seul à son bord. Mais qui voulait-on en réalité supprimer ? Le lieutenant de police Al Wheeler avait une mascotte pour dénouer ce mystère. Une fille appelée l’Ange. On lui tape sur les fesses pour qu’elle vous porte chance.
Le tronc, s.v.p. de Carter Brown
1963
Al Wheeler (20)
Carter Brown
Policier
2½ h
Pour une belle tête, c’est une belle tête. Très virile. De longs cheveux noirs, ondulés. Un petit sourire légèrement méprisant. Qu’est-ce qui peut bien l’amuser, le gars, depuis cinq ans qu’il sourit ainsi ?
L’employé de la morgue replace l’énorme bocal sur son étagère et la tête se balance un moment dans le formol.
Ça me fait penser à ma tante Clemmie. Pour les conserves en bocaux, elle était imbattable. Je me demande ce qu’elle aurait dit de celle-là.
Diaphane en diable de Carter Brown
1963
Al Wheeler (21)
Carter Brown
Policier
2½ h
- Qu’est-ce qu’un chasseur de fantômes pouvait bien faire avec un thermomètre et une boîte de Kleenex ? Il voulait prendre la température du spectre et lui moucher le nez s’il était enrhumé ?
- Bougre d’âne, c’était un thermomètre mural, rugit le shérif. Allez-y, rigolez ! vous verrez les journaux quand ils annonceront que nous cavalons après le fantôme d’une fille morte depuis cent ans et qui se serait brusquement matérialisée en un sauvage loup gris Après ça, je, suis bon pour la camisole de force
Continuez le massacre de Carter Brown
1963
Al Wheeler (22)
Carter Brown
Policier
3 h
Récapitulons, Wheeler: d’après vous, la maison du crime appartient à l’unique rescapé d’un numéro de duettistes. Une femme-serpent, une femme-canon, un prestidigitateur et un comique y habitent aussi.
Vous avez été obligés de décamper, car la femme-canon s’amusait à promener le sergent Polnik dans les bras, comme un petit bébé... Je ne conteste point votre fécondité... animale, Wheeler ; mais je n’aurais jamais cru qu’elle allait vous monter à la tête et contaminer votre imagination !
Le valseur énigmatique de Carter Brown
1963
Al Wheeler (23)
Carter Brown
Policier
2½ h
Ça ne me déplairait pas de rencontrer la personne qui a posé pour ce portrait, vue de dos, dans le plus simple appareil, comme on dit...
Mais, je me demande quel est le critique grincheux qui a tracé une grande croix rouge sur la toile... rouge sang, pour être précis, et ça, ce n’est pas une figure de rhétorique.
Du sang, il y en a d’ailleurs plein l’atelier de feu Hardacre, le peintre mondain, dont le cadavre gît présentement sur le tapis, derrière le divan... Décidément, la vie d’artiste, ce n’est pas toujours rose!
A la santé de Satan de Carter Brown
1964
Al Wheeler (24)
Carter Brown
Policier
2½ h
Il y des couleurs qu’Al Wheeler, le fameux lieutenant de police, n’aime pas du tout. Le noir, par exemple. Quand il s’agit de messes noires, où des masques noirs sacrifient des donzelles terrorisées, à la lueur de quatre chandeliers noirs, et en présence de mirontons “noircis” au vin... rouge. Ces noirs mystères, Al Wheeler n’y voit que du bleu, et ça le fait rire jaune. La couleur noire, Al Whéeler ne l’apprécie que dans les soutiens-gorge.
La ronflette de Carter Brown
1965
Al Wheeler (25)
Carter Brown
Policier
2½ h
Si tous les macchabées étaient aussi appétissants, tout le monde voudrait se faire croque-mort !
Elle portait un coquin petit suaire de soie noire diaphane, qui ne cachait rien du tout, et quand elle se leva dans son cercueil en disant “Hello, boys !” avec un grand sourire, je vous jure qu’elle obtint un beau succès. L’autre cadavre, un vrai celui-là, avec petit trou rond au milieu du front, devait crever de jalousie dans le cercueil voisin.
Mais aussi qu’est-ce qu’il était venu faire ici ?
Le bal des osselets de Carter Brown
1965
Al Wheeler (26)
Carter Brown
Policier
2½ h
Savez-vous comment on détermine si un pendu s’est donné la mort volontairement ou s’il s’agit d’un meurtre camouflé en suicide?
Al Wheeler va se faire un plaisir de vous l’apprendre tout en présentant la fine équipe de danseurs réunie au fond des bois par une héritière nymphomane.
Mais quand le papa milliardaire, qu’on croyait mort et enterré, décide de sortir du tombeau, la panique s’empare du corps de ballets roses qui exécute alors une extraordinaire danse macabre, au rythme des lügers et des colts.
De poil et de poudre de Carter Brown
1965
Al Wheeler (27)
Carter Brown
Policier
2½ h
Comme dit Polnik, une affaire de meurtre ça commence toujours par un macchabée.
L’ennui, c’est qu’on ne sait jamais où ça va vous mener, surtout quand le cadavre est celui d’une blonde qu’on a pris soin de tuer plusieurs fois, quand la superbe rousse ment comme elle respire, et que la brune est plus frigide qu’un ice-cream.
Descente de cave de Carter Brown
1966
Al Wheeler (28)
Carter Brown
Policier
2½ h
Si moi, Al Wheeler, le plus futé, le plus séduisant des lieutenants de police, je me déguisais en père Noël, ce ne serait pas pour aller assassiner un copain, même si c’était en même temps mon plus dangereux ennemi. Non, je descendrais par la cheminée dans la chambre d’une mignonne et, si elle était bien sage, je lui ferais cadeau de... moi !
Le marteau de Thor de Carter Brown
1966
Al Wheeler (29)
Carter Brown
Policier
3½ h
Le coup de la veuve éplorée, Al Wheeler, ça le faisait plutôt rigoler? En quoi il avait tort : La mort de Sam faisait partie d’un scénario qui allait conduire un fringant lieutenant de police au banc des accusés sous des inculpations aussi diverses qu’infamantes. De quoi vous dégoûter de l’humanité pour un bout de temps !
Call-girl serenade de Carter Brown
1967
Al Wheeler (30)
Carter Brown
Policier
3 h
Ce que j’apprécie chez mon patron, le shérif Lavers, c’est que c’est un imbécile doublé d’un crâneur et triplé d’une peau de vache.
Ainsi, à cette histoire de call-girl assassinée, de proxénète disparu et d’affairistes-gangsters dont je m’occupe en ce moment, je suis sûr qu’il ne comprendra rien - en tant qu’imbécile -, qu’il me fichera à la porte - en tant que peau de vache -, mais que, quand j’aurai résolu le mystère, il s’en attribuera - en tant que crâneur - toute la gloire.
Coup de tête de Carter Brown
1967
Al Wheeler (31)
Carter Brown
Policier
2½ h
Une vraie illusionniste, cette fille. Elle vous servait un grand verre de scotch, et aussitôt on la voyait blonde, superbe et très peu habillée. Alors je n’eus plus qu’une envie : vérifier, de très près, si c’était bien une illusion, en oubliant mon devoir de policier, et le cadavre du bonhomme qui, dans la pièce à côté, s’était brisé le crâne avec son propre buste en marbre !
Le cercueil capitonné de Carter Brown
1968
Al Wheeler (32)
Carter Brown
Policier
3 h
Le Temple de l’Amour ! Ça, c’est un bâtiment idoine pour exciter l’imagination de notre vieil ami le lieutenant Al Wheeler, aussi renommé pour ses astuces policières que pour ses prouesses à l’horizontale. D’autant plus que, dans ce temple, on trouve des cercueils chics où dorment de ravissantes femmes vêtues de leur seule peau. On y trouve aussi de vilains renifleurs de poudre blanche.
Billets de faire-part de Carter Brown
1969
Al Wheeler (33)
Carter Brown
Policier
2½ h
On a beau s’appeler Al Wheeler, ça vous en file un coup quand on repêche sous vos yeux le cadavre d’une jolie rousse qui n’était pas insensible à vos charmes. Tracy, elle s’appelait. Du moins c’est ce qu’Al Wheeler croyait, jusqu’à ce qu’il rencontre la vraie Tracy qui va entraîner notre Lieutenant favori dans les combines insensées de Las Vegas et lui faire perdre ses dernières illusions sur les femmes. Car il en avait encore, figurez-vous.
Remets ton péplum de Carter Brown
1970
Al Wheeler (34)
Carter Brown
Policier
2 h
Le portrait d’une femme pas habillée, du tout, c’est de l’art !
Quatre portraits de femmes pas habillées, du tout, on pourrait, bien sûr, dire que c’est les quat’z arts...
Sauf que le peintre est mort assassiné, et que le lieutenant Al Wheeler aura bien du mal à découvrir son meurtrier...
Surtout que ça le distrait de sa tâche, les femmes pas habillées, du tout... Qu’elles soient sur toile ou dans les toiles !
Cascade rouge de Carter Brown
1976
Al Wheeler (36)
Carter Brown
Policier
2½ h
La blonde Goldie Baker est installée dans la douche, toute nue. C’est comme ça que Al Wheeler la découvre. Il aurait aimé avoir avec elle une conversation à coeur ouvert, mais c’est déjà fait, car elle a sous le sein gauche un vilain trou causé par une balle de revolver. Et voilà c’est parti! Wheeler se trouve embarqué dans une histoire insensée, où il risque de laisser des plumes. Mais c’est un coriace, toujours très tendre avec les dames.
Ah...les garces ! de Carter Brown
1976
Al Wheeler (37)
Carter Brown
Policier
2½ h
Une fille superbe, nue, nonchalamment étendue sur le lit... avec un joli trou rond dans la tempe gauche.
Al Wheeler l’a vue, de ses yeux vue. Là-dessus, voilà Mickey et Donald qui s’amènent et kidnappent le cadavre. Du coup, Al commence à se demander s’il ne devrait pas aller consulter un oculiste, ou peut-être même un psychiatre et un bon !
Fais pas le clown ! de Carter Brown
1973
Al Wheeler (39)
Carter Brown
Policier
2½ h
Le clown avait l’air de rire d’une énorme plaisanterie, mais à y regarder dé plus près, on voyait qu’il avait la gorge tranchée d’une oreille à l’autre et qu’il riait un peu trop rouge! Les cadavres ont commencé à s’accumuler sous mes pas. Et j’ai tâché de penser à des objets plus séduisants. J’avais le choix d’ailleurs : de la brune Mme Janos à la rousse Mme Shepley, toutes cherchaient à s’arracher mes faveurs. Jusqu’à l’apparition d’un deuxième clown animé des plus mauvaises intentions.
En cabane, papa ! de Carter Brown
1976
Al Wheeler (40)
Carter Brown
Policier
2½ h
Cette femme-là a de la classe.
Elle est restée des années en prison sans rien dire sur ses complices et, maintenant qu’on lui a assassiné sa fille, elle se fait fort de retrouver le salopard en question.
Je vous jure, moi, Al Wheeler, lieutenant de police et Don Juan de banlieue, si seulement elle avait trente ans de moins, je crois bien que bon !
A corps et à cris de Carter Brown
1976
Al Wheeler (41)
Carter Brown
Policier
2½ h
Dans un hôtel, on découvre une femme qui baigne dans une mare de sang. Elle voulait, paraît-il, se suicider : on s’en est chargé pour elle.
Peu après, on sort un second cadavre de la flotte où il a mariné quelque temps.
Pour AI Wheeler, c’est un vrai bain de gourance.
Dans ce histoires de bonnes femmes sapho-masochistes. ça finit toujours très mal.
Mais comptez sur Wheeler, il sait naviguer en eau trouble.
Ma tête sur le billard de Carter Brown
1977
Al Wheeler (42)
Carter Brown
Policier
2 h
C’était une beauté toute vêtue de soie et de dentelle noires, qui n’avait que deux ennuis, mais d’importance : “elle” s’appelait John Drury, et John Drury était une “poupée” passablement refroidie. Il appartenait au lieutenant Al Wheeler d’élucider ce mystère et, en une seule nuit, il allait fréquenter un drôle de monde et se faire poursuivre à la fois par des filles faciles et par des tueurs à la détente plus facile encore.
La grosse rigolade, quoi !
Pralines 38 de Carter Brown
1976
Al Wheeler (43)
Carter Brown
Policier
2½ h
Le lieutenant Al Wheeler marche littéralement sur les cadavres. Façon comme une autre de faire des ravages, alors qu’il préfère de beaucoup que les filles pâmées lui tombent dans les bras. Ça lui arrive aussi, bien sûr. De la ravissante petite soubrette d’occasion à la femme du monde interlope, il a le choix. Mais il a également affaire à un maître chanteur qui connaît la musique même s’il n’a pas la voix très juste.
Le cochon qui rêvasse de Carter Brown
1978
Al Wheeler (44)
Carter Brown
Policier
2 h
Le cochon qui rêvasse, quand il ne sommeille pas, on voit à peu près le genre de rêve qu’il fait. (Et moi, Al Wheeler, lieutenant de police, croyez bien qu’en ce domaine, je suis un fameux rêveur.)
Mais quand le cochon tue des mignonnes après les avoir méchamment abîmée, ce n’est plus un cochon, c’est un dingue, et son rêve n’est plus qu’un cauchemar ! C’est ainsi qu’Al Wheeler partit à la chasse aux dingues, dans la jungle des obsédés.
Le violeur et la voyeuse de Carter Brown
1978
Al Wheeler (45)
Carter Brown
Policier
2 h
Toujours content de lui et fier défenseur de la malheureuse violée, le lieutenant Wheeler se fait refaire comme un bleu. Ce qui l’amène, contraint et forcé, à étudier de près le viol sous toutes ses formes, le kidnapping d’une fille à papa aux goûts particuliers et les sombres méandres des amours ancillaires, avec l’aide d’une poupée Barbie à la cuisse plus qu’hospitalière.
Hou les vilaines ! de Carter Brown
1980
Al Wheeler (46)
Carter Brown
Policier
2 h
Il y avait un séduisant quinquagénaire qui adorait épouser les jeunes filles vierges. Il y avait le lieutenant de police bien connu, Al Wheeler. Lui n’épousait pas. Il adorait... euh... se divertir avec des filles pas vierges du tout. Tous deux se rencontrèrent devant le fantôme d’une morte assassinée qui avait gagné sa vie en posant pour des magazines pornos. Vous savez, ces photos édifiantes où la dame reçoit une fessée, ou bien la flanque à un monsieur.
C'est pas triste ! de Carter Brown
1981
Al Wheeler (47)
Carter Brown
Policier
2½ h
A la suite du meurtre d’une tante, Al Wheeler enquête dans les milieux homos. Et il avance sur des talons aiguilles. De clubs privés en studios de photos pornos. Wheeler, malgré son physique, ne remporte pas un franc succès dans cette faune. Personnellement, il préfère toujours les blondes - les vraies - mais n’épouse pas les brunes.
Tous au pageot ! de Carter Brown
1982
Al Wheeler (48)
Carter Brown
Policier
2½ h
Les gens sont parfois d’un dévouement extraordinaire. La richissime Minerva Trent veut remettre à tout prix un antiquaire pédéraste dans. le droit chemin, c’est-à-dire celui de son lit. Mais elle n’arrive pas à ses fins, car il est assassiné, pour des raisons de fric, bien entendu. Al Wheeler, qui n’y connaît rien en antiquaille, sait très bien apprécier le galbe des dames contemporaines... même les moins cotées sur le marché. Qui dit mieux?
Le péché capiteux de Carter Brown
1984
Al Wheeler (49)
Carter Brown
Policier
2½ h
L’amour et les affaires, ça ne devrait pas se mélanger. On risque des tuyaux crevés, des ruines imprévisibles, des chantages, et des cascades d’assassinats. Surtout quand les affaires sont un tantinet véreuses et l’amour résolument vénal. D’où ce conseil du lieutenant Wheeler, le séduisant policier, aux P.-D.G. que tenterait la faridon : « Si vous voulez garder votre fric, ne fricotez qu’à la maison. »
Ma cabale à Macao de Carter Brown
1965
Andy Kane (1)
Carter Brown
Policier
2½ h
Il y a Mao et Mao. Ce Mao-ci ne ressemble pas du tout à l’autre. Il aime les filles, les bijoux, et possède un vrai château sur les hauteurs de Hong Kong. Il détient également un aigle. Un aigle Inca. D’une valeur inestimable. Quand j’ai essayé de le lui voler, il a réagi comme une douzaine de requins à qui on voudrait subtiliser un gigot. Mais je l’ai eu quand même, ce pauvre Mao !
Miss Transe de Carter Brown
1960
Danny Boyd (1)
Carter Brown
Policier
3 h
Le détective Boyd s’est pris les pieds dans les mailles d’un maillot de bain... d’un maillot de la marque Mermite.
La marque en question organise un concours qui désignera la plus belle fille dans le plus beau maillot... à condition, bien sûr, que cette belle fille soit en vie, le jour de la finale. Car les concurrentes, hélas ! tombent comme des mouches et le détective a maille à partir avec quelques tigresses et autant de requins.
Pièce à tiroirs de Carter Brown
1959
Danny Boyd (2)
Carter Brown
Policier
2½ h
Vous connaissez Hamlet, de Shakespeare ? Personnellement, je préférerais qu’on mette ça en bandes dessinées. Enfin! Toujours est il que moi, Danny Boyd, le détective au profil irrésistible, j’étais chargé par une charmante créature de flanquer son époux dans une cellule capitonnée. C’était un grand acteur shakespearien en passe de yoyoter dangereusement : hors de la scène, il se prenait pour Hamlet et il croyait que sa femme était sa mère et qu’elle voulait l’empoisonner. Compliqué, non ?
La tournée des cocottes de Carter Brown
1978
Danny Boyd (3)
Carter Brown
Policier
3 h
Danny Boyd, le privé au profil grec, retrouve la fille disparue d’un gros trafiquant de drogues aujourd’hui à la retraite. Les retrouvailles entre père et fille devraient se passer dans la joie. Eh bien, pas du tout. Boyd a encore affaire à un tas de cadavres planqués dans des placards à balais. Il joue à la main chaude pour récupérer des macchabées tout froids. Brrr !...
Bouche, que veux-tu ? de Carter Brown
1960
Danny Boyd (4)
Carter Brown
Policier
2½ h
Elle est belle, follement riche et probablement dingue. C’est ce que tout le monde prétend. Elle m’a raconté que son papa, un fier salaud, méditait de zigouiller tous ses enfants pour hériter d’eux. Original, non? Parait-il que son petit frère y est déjà passé, et elle m’a chargé d’aller kidnapper sa petite sœur séquestrée dans une ferme. J’y vais, je trouve la sœur en bonne santé. Pourtant en visitant la porcherie, je tombe sur un cochon - un vrai, à quatre pattes et avec un groin - en train de dévorer une main d’homme !
Paréo Parade de Carter Brown
1960
Danny Boyd (5)
Carter Brown
Policier
3½ h
« Je brûle tellement de faire votre connaissance, Monsieur Boyd, conclut Blanche Arlington au téléphone, que je vous prie de m’excuser : il faut que j’aille passer tout de suite mon paréo ignifugé, à triple garniture d’amiante ! »
Elle raccroche brusquement. Je me précipite chez elle. La porte est entrebâillée. J’entre. Personne. Ah ! si, dans la chambre du fond, sur une natte de bambou, repose Blanche Arlington. Je suppose tout au moins que c’est elle, car elle n’est pas en état de me démentir : elle a la gorge tranchée.
Y a du tirage de Carter Brown
1961
Danny Boyd (6)
Carter Brown
Policier
3 h
Vous connaissez la technique Boyd? Douceur... Doigté... Candeur... J’assomme les témoins rétifs et j’injurie les clients cascadeurs. Quant aux tueurs nerveux, je m’arrange pour tirer le premier. Avec ça. un profil ciselé dont je me sers pour causer aux dames. Enfin! quand je dis causer !..
On se tape la tête de Carter Brown
1961
Danny Boyd (7)
Carter Brown
Policier
3 h
Je ne fais pas partie des services de la fourrière, aussi, quand on m’a appelé pour enquêter sur l’assassinat d’un; chien, ai-je été tenté d’envoyer balader le client.
Mais pardon ! C’était une cliente !
Des seins olympiens, une taille minuscule, des hanches généreuses, des jambes passionnantes et la voix d’une cantatrice.
« Elle doit chanter Salomé et exécuter, en prime, la danse des Sept Voiles, me dis-je tout en lui présentant mon meilleur profil.
Cabot pour cabot, vive l’Opéra. »
Les diams de la couronne de Carter Brown
1963
Danny Boyd (9)
Carter Brown
Policier
2½ h
La rousse ramasse son vison et le ferme pudiquement sur ses chastes seins.
- Lieutenant, la prochaine fois que M. Boyd pensera avoir retrouvé les vrais diamants, ne vous dérangez pas. Envoyez plutôt deux hommes avec une camisole de force. Elle sort en tortillant de la croupe. Le lieutenant Schell me regarde, effondré.
- Deux couronnes en strass !
- En tout cas, le cadavre, lui, n’est pas en toc, dis-je, histoire de le réconforter.
Voleuse de santé de Carter Brown
1966
Danny Boyd (10)
Carter Brown
Policier
2½ h
J’ai beau m’appeler Danny Boyd, je sens mon profil se décomposer quand la charmante me balance :
- Cinq mille dollars pour retrouver mon assassin !
C’est bien la première fois que je suis engagé par un fantôme ! Deux mois plus tard, j’apprends que l’assassin est un bon gros requin des mers du Sud. Allez donc leur passer les menottes, à ces bestiaux ! A moins que le requin ait deux bras, deux jambes, et fume le cigare...
Une nymphe de perdue de Carter Brown
1965
Danny Boyd (11)
Carter Brown
Policier
3 h
L’Orient au sommet des gratte-ciel de Manhattan, les plus belles odalisques dans leurs danses lascives sous les yeux des beys, pachas et autres caïds à narguilé, voilà ce que découvre Danny Boyd quand on le charge de récupérer un joli paquet de diamants qui se sont évaporés entre Paris et New York.
Mais avec une équipe de tueurs à ses trousses, pas question pour le fougueux privé de faire du charme.
Nettoyage à chaud de Carter Brown
1964
Danny Boyd (12)
Carter Brown
Policier
2½ h
Dix mille dollars : voilà ce qu’on propose à Danny Boyd pour supprimer un certain Jonathan Cook. L’affaire a beau lui être presentée par une Chinoise aux yeux saphir, le fougueux privé refuse et s’en va prévenir l’intéressé qu’on en veut à ses jours. Trop tard !
Il le trouve égorgé, en train de prendre un véritable bain de sang dans sa baignoire. Boyd est alors emporté dans un tourbillon de mésaventures et apprend que, si le crime ne paie pas, c’est parfois l’honnêteté qui tue.
Tout sur le paletot ! de Carter Brown
1967
Danny Boyd (16)
Carter Brown
Policier
3 h
Qu’est-ce qui lui a pris, à l’assassin, d’aller occire un ancien truand qui habite tout juste au-dessus de chez moi ? Qui est-ce qui m’a flanqué dans les pattes une ravissante brune chaperonnée par une paire d’oncles pas commodes du tout et qui ne sont peut-être pas ses oncles ? Pourquoi tous ces gorilles, ces larbins homicides, ces veuves trop joyeuses, ces morts qui marchent ?
Le singe est au parfum de Carter Brown
1968
Danny Boyd (17)
Carter Brown
Policier
2½ h
Toujours verni, Danny Boyd croit avoir trouvé un boulot dans ses cordes. Sa cliente, directrice d’une fabrique de parfums, le reçoit en bikini, dans sa piscine, mais ce n’est pas pour l’inviter à barboter en sa compagnie. La belle se plaint de contrefaçon.
Sur les chapeaux de roue de Carter Brown
1970
Danny Boyd (19)
Carter Brown
Policier
2 h
C’est bien la première fois qu’on m’engage pour enquêter sur la mort d’un milliardaire avant que le meurtre soit commis ! Quant à la “victime”, elle a le culot de me designer les suspects en leur presence. Et quand je réussis à echapper à une blonde qui n’aime pas les soutiens-gorge, c’est pour tomber dans les bras d’un flic qui n’aime pas les détectives prives. La vie n’est pas rose tous les jours pour Danny Boyd.
Un jeu de folles de Carter Brown
1971
Danny Boyd (21)
Carter Brown
Policier
2½ h
Vrai, cette Marcia Burgess, voilà encore une bonne femme qui n’est pas piquée des vers. Ce n’est pas comme ses prétendants qui ont tous la sale manie de clamser quelques jours avant le mariage. Comme cette hécatombe finit tout de même par l’inquiéter, elle engage Danny Boyd pour élucider ce mystère. Elle aurait mieux fait de retenir lés services de douze hôpitaux, psychiatriques.
Psychosexie de Carter Brown
1972
Danny Boyd (22)
Carter Brown
Policier
2½ h
On connaissait déjà de nombreux traitements pour soigner les dingues. Mais le docteur Landel a trouvé une thérapeutique révolutionnaire pour calmer les nymphomanes : il colle un solide gaillard dans le lit de ses patientes. La cure des miracles, quoi !... Faut croire tout de même que tout ne va pas parfaitement dans cette clinique, pour que le praticien fasse appel à Danny Boyd qui lui se porterait volontaire pour jouer les infirmiers bénévoles. Allons, la chair n’est pas triste du tout quand elle ne sert pas de cible à des flingueurs professionnels.
Manhattan cow-boy de Carter Brown
1977
Danny Boyd (24)
Carter Brown
Policier
2½ h
Les cow-boys féminins, il faut s’en méfier, par principe.
Les escrocs aussi, surtout quand ils passent leur temps à rigoler, entre deux arnaques. Il faut également se méfier des honnêtes filles jalouses de leur belle-doche, ainsi que des putains repenties qui ont marida la grosse galette. Bref, dans cette histoire, l’ami Danny Boyd a été obligé de se méfier tellement qu’il a failli ne pas avoir le temps de se farcir la seule fille sympa de la bande.
Dommage qu’elle était un peu nympho... Dommage ?
La môme fouettard de Carter Brown
1977
Danny Boyd (25)
Carter Brown
Policier
2 h
Au cours de sa carrière de privé, Danny Boyd a déjà eu de nombreuses occasions de recevoir des coups, sans se faire défigurer, grâce au ciel. Son beau profil, pensez En mission à Santo Bahia, il doit se mettre à la recherche d’une fille disparue, qui serait peut-être même morte assassinée Or c’est la “victime” en personne qui le charge de cette curieuse enquête. C’est aussi le plus joli fantôme qu’il ait eu l’occasion d’approcher.
Allez donc vous étonner qu’il frôle la mort à tout instant
Le tortillard des pauvres de Carter Brown
1978
Danny Boyd (26)
Carter Brown
Policier
2½ h
A Santo Bahia, il faut au moins posséder son poids en or et quelques diamants gros comme des rahat-loukoums pour ne pas passer pour indigents. Ce pauvre Broderick faisait partie de la classe au-dessus. Danny Boyd le découvre perché sur un énorme lustre rustique, la gorge tranchée, ce qui l’empêche de sourire. C’est ça, le monde des affaires. On sait faire des coups de bourse, mais surtout des coups en vache.
Les frangines en folie de Carter Brown
1978
Danny Boyd (27)
Carter Brown
Policier
2½ h
Elle se dépouille de ses frusques avec une aisance stupéfiante et, cinq secondes plus tard, elle est devant moi nue comme un ver.
Intégralement bronzée, couleur de miel doré. Elle est naturellement blonde, ça, je peux le garantir.
Et c’est comme ça que moi, Danny Boyd, suis embarqué dans un drôle de groupe où on ne sait pas très bien qui est qui, à part les cadavres, évidemment.
La veuve pognon de Carter Brown
1978
Danny Boyd (28)
Carter Brown
Policier
2 h
Tout un drôle de monde rapplique à Santo Bahia, dans le sillage d’une veuve à peine éplorée qui est surtout très inquiète de récupérer deux cent mille dollars qu’a planqués son défunt mari Mais où ? Toute la question est là. Et Danny Boyd a beau se creuser la cervelle, la cachette de la cassette demeure introuvable. Mais attention ! Tout comme les trains, un cadavre peut en cacher un autre !
La jumelle en cavale de Carter Brown
1979
Danny Boyd (29)
Carter Brown
Policier
2 h
Boyd n’est pas homme à cracher sur les cinq mille dollars de provision qu’on lui propose, même si, au départ, l’affaire lui paraît foireuse : il s’agit de retrouver une soeur jumelle disparue qui est peut-être, morte - et, dans ce cas, son assassin. Danny Boyd part à la recherche de pas mal de fantômes, mais toujours poursuivi par une meute de filles bien vivantes, elles, qui apparemment ne supportent ni culotte ni soutien-gorge. Une suite de douces violences, quoi !
Rocking chéries de Carter Brown
1981
Danny Boyd (30)
Carter Brown
Policier
2½ h
Quand Doudouce, la grande vedette du rock dur et de la chanson porno, engage Danny Boyd parce qu’elle est menacée de mort, il croit à un coup de pub. Mais le régisseur de sa tourné est étranglé et il commence à prendre la chose au sérieux, encore plus que Doudouce et ses deux tendres amies qui n’ont que faire des bonshommes, enfin, selon les jours.
Cash-sex de Carter Brown
1983
Danny Boyd (31)
Carter Brown
Policier
2½ h
Danny Boyd dispose de cinq noms pour retrouver Michelle, pour le compte d’une morte. Ça lui suffit amplement pour se retrouver à poil et au plume plus souvent qu’à son tour, ce qui ne plaît pas à tout le monde, surtout pas à quelques vilains messieurs et dames qui ont d’autres idées. Lesquelles vont à l’encontre de la civilité puérile et honnête et de la morale élémentaire.
Oeil de sphinx de Carter Brown
1962
Larry Baker (1)
Carter Brown
Policier
2½ h
Grand, maigre, le visage cadavérique, les yeux plus froids que les pieds d’un esquimau, le chapeau rabattu sur les yeux, il se planta devant Eddie.
- C’est Charlie qui m’en-voie, déclara-t-il. Charlie, il en a marre...
D’un geste négligent, il ôta les lunettes qui chaussaient le nez d’Eddie, les fit tomber sur le tapis et, soigneusement, écrasa les deux verres sous sa semelle.
Le diable incarné de Carter Brown
1965
Larry Baker (3)
Carter Brown
Policier
2½ h
Quand on est le roi de l’aluminium, on peut tout se permettre : par exemple de se faire bâtir en plein Pacifique une réplique exacte du Château d’If, avec oubliettes, fantômes, masques de fer, esprits frappeurs, fous, faux fous et quelques fofolles en sus.
Mais Eugene Westcott, le roi en question, est-il bien le frère de son frère fou, ou son propre frère, Carl, qui se fait passer pour Eugene tandis que Carl se prend pour Eugene... ?
Un vrai casse-tête, je vous jure, au propre comme au figuré !
Vampiriques fredaines de Carter Brown
2014
Larry Baker (4)
Carter Brown
Policier
3 h
Que feriez-vous si vous étiez pourchassé par une meute de cadavres ambulants, dans le labyrinthe de passages secrets du château des Maléfices ? Vous vous enfonceriez dans le mur, qui pivoterait sous votre poussée Et j’atterris sur le lit de la belle Imogène, vêtue de son seul parfum, qui s’écrie avec un soupir d’extase. Le bâtard ! Le Bâtard est revenu Moi, Larry Baker, le spécialiste des scénarios d’épouvante, me faire traiter de bâtard !
La fosse aux sorcières de Carter Brown
1968
Larry Baker (5)
Carter Brown
Policier
3 h
« L’épouser ? qui parle de mariage, grands dieux ? Tout ce que je vous demande, Mr Baker, c’est de déflorer cette petite en vitesse, pour la soustraire aux griffes du démon et empêcher les esprits maudits de célébrer leur répugnant sabbat sur le corps sans tache de la pauvre Elaine! »
Le tango des oubliettes de Carter Brown
1977
Larry Baker (7)
Carter Brown
Policier
2½ h
C’est bien parce que Slivka et Baker, deux vrais cinglés de cinéma, n’avaient aucun contrat en Amérique qu’ils partent pour l’Angleterre où les attendent un châtelain, producteur de films, et son épouse qui rêve de devenir star. C’est le fantôme de la maison qui écrit le scénario.
Hilarant. Mais certains acteurs ne tiennent qu’un tout petit bout de rôle car ils meurent pour de bon avant le premier tour de manivelle.
Le fol amour de Mavis de Carter Brown
1965
Mavis Seidlitz (1)
Carter Brown
Policier
2½ h
Quand je fais craquer la bretelle de mon soutien-gorge, je me dis toujours : « Mavis, il va t’arriver quelque chose d’extraordinaire aujourd’hui ! »
Ça ne rate pas. Deux heures après, dans le bureau de Johnny, un magnat d’Hollywood me propose une affaire inouïe : me substituer à la célèbre star Cora Korina qui refuse, au dernier moment, de faire en Angleterre le grand voyage publicitaire annoncé. De modeste secrétaire, me voilà muée pour quelques semaines en une grande vedette !
Mavis se dévisse de Carter Brown
1961
Mavis Seidlitz (3)
Carter Brown
Policier
3½ h
Le jour où cette brune sculpturale vint me trouver au bureau pour me convier à passer huit jours avec ses invités, dans une île de Floride, je me dis : « Mon vieux Johnny Rio, réjouis-toi. Pour une fois, au moins, tu vas pouvoir joindre l’utile à l’agréable! » Malheureusement, je n’avais oublié qu’une chose : la jalousie de mon associée... Des tas de gens voulurent m’empêcher d’aller dans l’île.
Mais cette farfelue de Mavis... à elle le pompon!
Jamais de Mavis ! de Carter Brown
1961
Mavis Seidlitz (4)
Carter Brown
Policier
2½ h
Ce jour-là, à La Nouvelle-Orléans, en plein carnaval, je venais de faire sauter deux crochets de mon bustier, ce qui est toujours de mauvais augure. Le chasseur de l’hôtel s’amène avec un paquet pour Miss Mavis Seidlitz. Je défais l’emballage et qu’est-ce que je découvre ?
Une jolie petite poupée qui me ressemble d’une façon extraordinaire.
C’est mignon comme tout.
Seulement, on lui a enfoncé une épingle dans le cœur et sur l’épingle brillé une goutte de sang…
La bergère en colère de Carter Brown
1961
Mavis Seidlitz (5)
Carter Brown
Policier
2½ h
Me voici donc à Mexico.
Par la fenêtre de ma chambre d’hôtel, je contemple le bâtiment d’en face, où ont lieu les courses de taureaux, et je trouve ça tellement romantique que je pousse un gros soupir... Et crac! Je casse une des bretelles de mon soutien-gorge.
Ça, c’est un présage. C’est ce qui se produit chaque fois qu’il va m’arriver une chose importante, dramatique ou délicieuse.
On verra bien ce coup-ci !
Un brin d'apocalypse de Carter Brown
1959
Mavis Seidlitz (6)
Carter Brown
Policier
3 h
II incarnait l’idéal des filles en mal de mari, celui dont on rêve vers 3 heures du matin, une fois qu’on a compris qu’une tasse de lait bien chaud ne saurait soulager votre vague à l’âme... Je le regardai — une seule fois — et poussai un soupir — un seul.
Je portais un soutien-gorge sans épaulettes. Une chance! Rien ne céda... sinon mes dernières résistances.
Adios, chiquita ! de Carter Brown
1960
Mavis Seidlitz (7)
Carter Brown
Policier
3 h
- Vos cheveux sont toujours tissés d’or, vos yeux bleus pleins de tendres promesses, vos douces lèvres...
- N’en jetez plus, ma baignoire est pleine! lui dis-je.
Et d’abord qu’est-ce que vous faites ici ?
- C’est pour affaires que je suis là, Mavis, dit-il. Mais quand les dieux, dans leur bonté, me laissent entrevoir la perfection de vos jambes, j’oublie, pour un instant, le cadavre au fond de ma malle arrière...
Demain, on tue de Carter Brown
1960
Mavis Seidlitz (8)
Carter Brown
Policier
3 h
- Je suis marchand d’objets d’art, déclara le vieux monsieur.
Oh, dis-je, je vois ça !
En somme, vous voulez me faire poser pour des photos artistiques, vêtue d’un beau sourire et, à l’occasion, d’une jarretière ?
- Je vous en prie ! coassa-t-il, en clignotant comme un poteau de signalisation déréglé. Je suis antiquaire et on me menace de mort !
-Et moi, répliquai-je avec à propos, je suis agent confidentiel et tout à votre service.
Télé-mélo de Carter Brown
1961
Mavis Seidlitz (9)
Carter Brown
Policier
3 h
- Ça fait quatre ans que tu tournes des Westerns, s’écria M. Bliss, et tu ne sais pas encore que, lorsqu’il est touché, le héros se contente de vaciller un peu, mais sans jamais tomber par terre ! L’autre avait l’air de s’en foutre éperdument.
II resta à plat ventre dans l’herbe, sans broncher.
- Lee, tu m’entends, reprit M. Bliss qui, de la pointe du pied, retourna l’acteur sur le dos. Lee portait une chemise bleue. Il me fallut bien cinq secondes, pour comprendre pourquoi le devant était maintenant teint en vermillon...
Sans voiles de Carter Brown
1965
Mavis Seidlitz (10)
Carter Brown
Policier
3½ h
Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire pour gagner son boeuf! Me voici en planque dans une boîte de striptease passablement à la redresse. Et comme couverture, je suis obligée de me… découvrir, ça va de soi! Une vocation d’effeuilleuse, quoi!
Quel cirque! voilà que je tombe sur une strippeuse poignardée dans sa loge et sur un tueur qui cherche à me descendre, moi aussi. Seulement, il ne se doute pas, le balafré, que d’une façon ou d’une autre, Mavis finit toujours par l’avoir, son bonhomme!
A coups de gaffes de Carter Brown
1968
Mavis Seidlitz (11)
Carter Brown
Policier
2½ h
Terrible, le lit du Prince : vous appuyez sur un bouton et vous obtenez au choix le bercement des vagues sur fond de rock ’n’ roll, la voie lactée en cinemascope ou une symphonie de parfums exotiques. Seulement le Prince possède aussi un géant de cauchemar, un nommé Ali prêt à faire un tas de misères à la pauvre Mavis qui ne tarde pas à savoir que Capri est un repère d’obsédés toujours disposés à lui pincer les fesses dès qu’elle a le dos tourné.
Mavis et le vice de Carter Brown
1973
Mavis Seidlitz (12)
Carter Brown
Policier
2½ h
Vous vous souvenez de moi ? Mavis, « la » détective privée qui a toujours des ennuis avec ses dessous ? Eh bien, ce coup-ci, c’est ma peau elle-même qui a failli avoir des ennuis. A cause d’un certain Astaroth, Prince des Ténèbres et vicelard patenté. D’autant que pendant presque toute cette aventure, elle est restée à l’air, ma peau. Voui, Madame !
C'est vous le zombie ? de Carter Brown
1977
Mavis Seidlitz (13)
Carter Brown
Policier
2½ h
Mon cher patron, Johnny Rio, avait décidé de me faire “doubler” une grande vedette de la chanson. Moi, Mavis Seidlitz, l’as des détectives femelles.
D’accord, je ne sais pas chanter, mais j’ai de la silhouette, croyez-moi ! Si j’avais su que pour ma peine, on me ferait faire la connaissance d’un affreux zombie un tantinet sado, et qu’en plus on me tatouerait, sur une fesse, l’image d’une sinistre araignée, j’y aurais réfléchi à deux fois. Mais je ne réfléchis jamais. Personne ne m’a appris.
Banco bidon de Carter Brown
1978
Mike Farrell (1)
Carter Brown
Policier
2½ h
Faites vos jeux !... Rien ne va plus du tout ! Mike Farrell, flambeur professionnel, compte trop sur sa chance et, bien imprudemment, il consent à jouer les doublures en vue de faucher un million de dollars au détriment du Syndicat. Folle entreprise ! Mais il parviendra tout de même à sauver sa chemise... avec une mignonne dedans.
Carte forcée de Carter Brown
1964
Mike Farrell (2)
Carter Brown
Policier
2½ h
Comme je tenais encore un peu à la vie, j’ai dû accepter leur combine : me substituer au dénommé Kluger, un type gonflé qui venait de tirer sept ans de taule pour un vol de diamants dont personne n’avait pu lui faire révéler la cachette. But de l’opération : attendre qu’on me contacte et mener Arndt et sa bande au magot, sans éveiller les soupçons des flics de la compagnie d’assurances, et des petits copains de Kluger, particulièrement empressés.
Mais ils avaient compté sans ma femme, pardon, Mme Kluger, une créature douce, inoffensive et rongée par un obscur désir de vengeance.
Le Don Quichotte des canapés de Carter Brown
1977
Paul Donavan (1)
Carter Brown
Policier
2½ h
Un play-boy milliardaire, à quoi ça joue ?
En général, ça claque son fric en calembredaines. Pas moi. Moi, Donavan, Don Quichotte du XXe siècle, j’aide les révolutionnaires, les sous-développés, les paumés de la Terre. Qui, la plupart du temps, m’en remercient en tâchant de me flinguer. Ce qui ne me laisse guère de temps pour courir la gueuse. Mais, ce peu de temps, croyez-moi, je le mets à profit. Si on décernait une Médaille du Parfait Paillard, je la décrocherais à tous les coups !
Croupe Suzette de Carter Brown
1977
Paul Donavan (2)
Carter Brown
Policier
2 h
Me re-voici, Donavan. play-boy, milliardaire et protecteur des pauvres et des opprimés. Pour venir à bout de Fischer, mon ennemi du jour, un franc salaud qui dirigeait une organisation internationale de terroristes à gages, j’ai flanqué le feu à sa baraque, en me servant... d’allumettes, bien sûr, mais aussi de cognac et du... heu... derrière chaleureux d’une jolie femme. Faut l’faire !
Magouilles à Macao de Carter Brown
1978
Paul Donovan (3)
Carter Brown
Policier
2½ h
Donavan, play-boy, milliardaire et Don Quichotte (mais si, ça arrive !) se prélassait sur une jonque chinoise en compagnie de ravissantes créatures. Cependant, diverses bandes de gangsters dont il avait contrecarré les plans l’attendaient au tournant... c’est-à-dire à Macao, l’Enfer du Jeu”, comme disaient nos grands-pères. Et Donavan se préparait à en découdre, un sein dans une main, un pistolet dans l’autre !
A saute-jarretelle de Carter Brown
1978
Paul Donovan (4)
Carter Brown
Policier
2½ h
Non, franchement non, moi Donavan qui passe ma vie à rigoler, il faut que, lors d’un séjour en Angleterre, on vienne m’importuner en voulant à tout prix me coller dans les pattes le cadavre d’une fille que je n’avais vue qu’une fois, courant toute nue en pleine campagne, poursuivie par un type à cheval, une cravache à la main. Les méthodes de cosaques, je n’apprécie pas du tout. Quand on est chevalier d’industrie, autant être entouré de jolies filles, histoire de vivre en beauté, en cavalier seul.
La fête d'une mère de Carter Brown
1972
Randy Roberts (1)
Carter Brown
Policier
2 h
En tant qu’avocat, je suis toujours prêt à défendre les intérêts de mes clientes et je ne renâcle pas à payer de ma personne. J’ai les idées larges et pas de préjugés... sauf contre les brunes “piquantes” que leur tempérament de feu incite à m’influencer à l’aide d’un... couteau de cuisine ! Alors là, clientes ou pas, croyez-moi, je préfère les blondes.
On se défonce de Carter Brown
1974
Randy Roberts (4)
Carter Brown
Policier
2½ h
D’accord, je gagne ma vie comme avocat, et je suis du côté des caves. D’accord, une orgie ou deux, par-ci par-là, avec les hippies et les amateurs de marie-jeanne, je ne suis pas contre. Mais lorsque les hippies en question s’entretuent à l’héroïne et que je constate que du côté des caves, il y en a qui investissent dans l’industrie bordelière, alors là, je me demande où va le monde et je réagis comme un cave… mais un cave honnête. Ça existe ?
Sombrerotico de Carter Brown
2014
Randy Roberts (5)
Carter Brown
Policier
2½ h
En Amérique du Sud, on ne fait pas les choses à moitié. Pour vous enlever les amygdales, on emploie le bazooka: Rien de moins. Alors, pensez, quand on est chargé, comme Randall Roberts, ténor du barreau de San Francisco, d’aller récupérer la fille du président de la république de Santango, kidnappée par des révolutionnaires, on risque à coup sûr sa peau. Quant aux os, s’il en reste, les fauves de la politique s’en chargent.
Se méfier des contrefaçons de Carter Brown
1963
Rick Holman (3)
Carter Brown
Policier
3 h
Le diamant qu’on lui a serti dans le nombril se met à projeter mille feux.
-C’est moi, Paula, qui vais être votre houri pour la soirée... Qu’est-ce que vous buvez ?
En attendant que je me décide, elle dépose devant le «sultan» du Harem Club une vodka au poivre.
II la remercie d’une petite tape sur les fesses.
- Mignonne, hein ?
Ça n’a que dix-neuf ans et ça arrive à se faire régulièrement ses deux cents dollars par semaine !
Un tueur parmi nous de Carter Brown
1962
Rick Holman (4)
Carter Brown
Policier
3 h
« Ce bon vieux papa Charlie! Ce vieux pote Hoyt! Voilà bientôt vingt ans qu’ils se faisaient des farces débonnaires : se fauchant mutuellement leurs femmes, tentant de se tuer l’un l’autre en auto, de se ruiner en affaires, comme ça pour le plaisir.
Et puis moi, Rick Holman, le fameux privé de Hollywood, je suis arrivé. Et j’ai commencé à me demander lequel de ces deux vieux fous allait inventer la farce définitive, sanglante, mortelle. J’ai bien failli me tromper d’assassin. »
Une blonde à l'eau de Carter Brown
1964
Rick Holman (5)
Carter Brown
Policier
2½ h
Depuis la mort de Rod Blaue, le grand espoir du cinéma américain, Hollywood ressemble à une vallée de larmes. Mais pour Rick Holman, le problème est de savoir qui le pleure vraiment, car si, dans la capitale du cinéma, tout est factice, on y meurt parfois pour de bon.
Eclipse d'étoile de Carter Brown
1964
Rick Holman (6)
Carter Brown
Policier
2½ h
Rick Holman est le prive que les gens d’Hollywood appellent à la rescousse en cas de bobo. Cette fois, il s’agit d’une soi-disant vedette italienne qui - soi-disant - se livre aux joies de l’adultère avec un acteur célèbre, marie et soi-disant fidèle. D’où préjudice à la morale des peuples et atteinte à l’intégrité du tiroir-caisse si les journaux s’en mêlent.
Sans compter les entourloupes du producteur, de la Directrice des Relations Publiques et d’un couple de respectables gangsters. Quel boulot !
On demande une victime de Carter Brown
1965
Rick Holman (9)
Carter Brown
Policier
2½ h
Ils affirmaient tous qu’il était tombé ivre-mort sur le coup (le quatre heures du matin, mais Robert Giles, acteur shakespearien, n’en demordait pas. Non, il n’avait pas rêvé ; si, il y avait bien eu à cette soirée une splendide fille blonde. Elle avait même exécuté une danse d’amour païenne, puis elle avait emmené l’acteur sur la plage. Et alors... Là, le rêve tournait subitement au cauchemar.
Rieti Holman est chargé de démêler l’imbroglio en prenant bien soin de ne pas marcher sur trop de pieds influents.
Sens interdits ! de Carter Brown
1965
Rick Holman (11)
Carter Brown
Policier
2½ h
Hou, le vilain psychanalyste !
Quand ses patients, les illustres vedettes de Hollywood, lui confiaient leurs angoisses et lui relataient, avec tous les détails, leurs exploits amoureux - généralement collectifs - lui, il branchait son magnétophone. Et le soir, à la chandelle, il se repassait les enregistrements. Il en bichait comme un pou.
Il en est mort. Mais les enregistrements n’ont pas été perdus pour tout le monde. Vu ?
La star d'outre-monde de Carter Brown
1966
Rick Holman (13)
Carter Brown
Policier
3 h
Si vous tenez à visiter le Palais de l’Illusion, des frères Kroos, faites d’abord vérifier l’état de votre coeur par un spécialiste. Car vous y rencontrerez des vampires, des ogres, des squelettes et des ectoplasmes animés des intentions les plus bizarres. Sans compter les starlettes séquestrées, les ingénieurs sadiques et les cadavres authentiques !
Parasitectomie de Carter Brown
1967
Rick Holman (15)
Carter Brown
Policier
3 h
Re-voici Rick Holman, le détective privé qui s’occupe des affaires des stars à Hollywood. Cette fois, ce sont les intérêts d’un célèbre auteur dramatique accusé de plagiat qu’il a pris en mains.
Un bien joli monde : escrocs, nymphomaniaques, poètes ratés, acteurs tombés, pique-assiettes et gigolos super-musclés. De quoi y perdre le latin qu’au demeurant Holman n’a jamais appris!
La veuve aux yeux secs de Carter Brown
1967
Rick Holman (16)
Carter Brown
Policier
3 h
Infernale, l’existence de Rick Holman! Passe encore pour les veuves qui n’arrivent pas à rattacher leur soutien-gorge toutes seules ou les gros bras qu’il faut coincer sous un canapé… Mais quand il s’agit d’aller fouiller dans le passé d’un gars comme Lloyd Carlyle, la super-vedette de la Stellar, face au producteur Joe Rather et à son armée d’esclaves en minijupe, là ça devient un vrai travail d’Hercule ?
Orages inter-lopes de Carter Brown
1968
Rick Holman (17)
Carter Brown
Policier
3 h
Leonard Reid a deux passions dans la vie : les petits chats bourrés de complexes... mais quand les grands minets fous commencent à le quitter les uns après les autres, pour aller se suicider dans la nature, Leonard commence à s’inquiéter.
Ajoutez deux tigresses blondes, un roquet italien qui se prend pour le Marquis de Sade, et un gorille au front bas... et vous comprendrez pourquoi Rick Holman doit s’avancer sur l’extrême pointe des pieds dans cette dangereuse ménagerie...
La blonde éruptive de Carter Brown
1968
Rick Holman (18)
Carter Brown
Policier
3½ h
Elle était rapace, coriace et adorable. Elle n’avait qu’un défaut. Quand elle mangeait trop de bonbons ou faisait trop de folies de son corps, il lui venait une crise d’urticaire.
Rick Holman, le distingué “dépanneur de choc” du Tout-Hollywood, en sut quelque chose. Mais comme il venait, quelques jours plus tôt, de creuser sa propre tombe, il n’en était plus à une déception près!
Où es-tu, Charity ? de Carter Brown
1971
Rick Holman (24)
Carter Brown
Policier
2½ h
C’est dur de se retrouver au bas de l’échelle quand on a eté une des vedettes les plus cotées d’Hollywood. Mais Earl Raymond avait trouvé un moyen infaillible pour regagner sa popularité. Un truc qui, malheureusement, coûta la vie à Johnny Legarto parce qu’il portait la même robe que sa petite amie Charity, et qui expédia Rick Holman à poil dans une source d’eau sulfureuse en pleine séance de thérapeutique de groupe.
Flamini l'invisible de Carter Brown
1972
Rick Holman (26)
Carter Brown
Policier
2½ h
Aucune des clauses du contrat qui lie la super-vedette Anna Flamini à son producteur n’a prévu qu’elle jouerait un jour la fille de l’air et quand elle s’adjuge ce rôle, le marché dont elle est l’objet entre ledit producteur et un misanthrope pas misogyne collectionneur de jolies femmes, est bien compromis. Et quand Rick Holman accepte de partir à sa recherche, il ne se doute pas que son chemin va être semé des embûches les plus variées, qui vont du tueur professionnel à la brune (ou la blonde) époustouflante en mini-bikini.
Maître, fais-moi peur de Carter Brown
1974
Rick Holman (28)
Carter Brown
Policier
2½ h
Ils étaient prisonniers de la volonté du Maître. Ils participaient à la confection d’une monstrueuse tapisserie dont le “noyau vital” serait le corps d’une vraie vierge... Vous me connaissez : Rick Holman, débrouilleur d’embrouilles en tous genres. Je ne suis pas particulièrement impressionnable. Mais quand je suis arrivé dans la cave de ce dément d’Horace Chase et que le vampire géant s’est détaché du mur pour me serrer le kiki, j’ai bien cru que la dernière parcelle de raison qui me restait allait faire le grand floc !
La sirène au ciné de Carter Brown
1977
Rick Holman (29)
Carter Brown
Policier
2½ h
Il y a des acteurs, des producteurs, des réalisateurs à Hollywood. II y a aussi des maquereaux, des call-girls, des P.-D.G. vicelards qui se servent des call-girls à des fins immorales; celles-ci, à leur tour, se servent des P-D.G. pour tâcher de devenir stars. Et puis. à Hollywood, il y a moi : Rick Dolman, dépanneur de choc, qui navigue dans les hautes eaux de ce beau demi-monde, en essayant de faire mon beurre sans trop d’effusions.. de sang !
Hollywood bazar de Carter Brown
1977
Rick Holman (30)
Carter Brown
Policier
2 h
Cette chère Amanda n’avait pas de veine Grande star tombée dans la débine, la drogue et la dinguerie, elle cherchait en vain à ressusciter, à guérir et à tourner. Des voix anonymes la menaçaient au bout du fil, et elle m’a chargé, moi, Rick Holman, dépanneur de choc à Hollywood, d’identifier ces salopards. Ça m’a pris tant de peine, de sueur et de sang que c’est à peine si j’ai eu le temps de m’envoyer en l’air avec deux ou trois douzaines de ses copines !
La reine des soiffardes de Carter Brown
1977
Rick Holman (31)
Carter Brown
Policier
2½ h
C’est très embêtant, un film interrompu à la moitié du tournage parce que la vedette féminine est morte. Même si on la remplace par une doublure, elle-même grande vedette, mais hélas reine des soiffarde, et plus capable de jouer la comédie. Et quand, à tous ces ennuis viennent s’ajouter des producteurs marrons, des obsédes, sexuels et des sadiques, alors, moi, Rick Holman, dépanneur de choc à Hollywood, je vous le dis - “II n’y a plus qu’à tirer l’échelle et aller se coucher. Pas seul, si possible !”.
Le scorpion indiscret de Carter Brown
1977
Rick Holman (32)
Carter Brown
Policier
2½ h
Samantha Pike, la reine du rock, a des ennuis sérieux, De son dernier week-end, elle ne se rappelle rien.
Le seul souvenir qu’elle en garde est un mignon petit scorpion tatoué sur sa fesse. Vision charmante pour Rick Holman mais c’est bien peu de chose pour entreprendre une enquête dans le milieu du spectacle où rôdent requins aux dents longues, trafiquants de drogue, etc. Tout ça, crapules et compagnie qui méritent mille fois la mort. Pour certains, remarquez, c’est déjà fait, et du premier coup !
Ne pensez donc pas qu'à ça ! de Carter Brown
1978
Rick Holman (33)
Carter Brown
Policier
2½ h
Point n’est besoin d’être vedette ne cinéma pour avoir pas mal de succès féminins. Un simple détective privé, sévissant à Hollywood. a autant de chances qu’une star de connaître de bonnes fortunes. Il faut simplement qu’il s’appelle Rick Holman. accepte des boulots plus ou moins dégueulasses qu’on lui propose, pour avoir. bizarrement. quelquefois la possibilité de se conduire en gentilhomme et faire le bonheur des vivants. Pour les morts, c’est déjà fait !
Au voyeur ! de Carter Brown
1979
Rick Holman (34)
Carter Brown
Policier
2½ h
Samantha, la belle actrice, s’était fait naguère vitrioler et elle en avait perdu la vue. Mais moi, Rick Holman, le privé le plus cher et le plus chic du Tout-Hollywood, je ne perds jamais le nord. En deux temps trois mouvements - sans compter les galipettes - je te vous lui ai trouvé le (ou la) coupable, et la raison de sa mauvaise action. Ça ne lui a pas rendu ses yeux, mais ça a rudement enquiquiné divers escrocs et satyres hollywoodiens.
Dansons la camisole ! de Carter Brown
1981
Rick Holman (36)
Carter Brown
Policier
2½ h
Bienvenue au club des fêtards ! On rigole, on boit, on organise de joyeuses partouzes. Mais certains initiés de fraîche date se trouvent vite coincés. Impossible de songer à quitter le clan une fois qu’on y est introduit. Et Rick Holman, bonne âme, va tenter de sauver Kate Brill, la nouvelle P.D.G. des studios Stellar. Une fille très bien sous tous les rapports. Rick saura apprécier, en connaisseur. Mais les autres sont tous plus tarés les uns que les autres. Et il y en a du monde !
Du beau monde au balcon de Carter Brown
1983
Rick Holman (37)
Carter Brown
Policier
2½ h
Rick Holman, toujours sur la brèche, est chargé d’enquêter sur-le meurtre d’une chanteuse. Il fait ainsi la connaissance d’un gangster devenu vertueux, de maîtres chanteurs qui se servent de bandes vidéo, de plusieurs jolies dames aux goûts ambigus en matière d’amour, et d’une couturière ultramoderne qui aime bien s’amuser sur sa terrasse. Avec des messieurs.
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