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Bazaar de Stephen King
Date france :
1992
Titre origine :
Needful things
Date origine :
1991
Traducteur :
William Olivier Desmond
Editeur :
ISBN :
2226059474

Bazaar

1992
Lecture conseillée à partir de 16 ans (si l'âge conseillé ne vous semble pas correcte, vous pouvez le signaler avec le triangle jaune, à droite quand vous êtes connectés)
18 h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 18 h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

3 %15 %26 %38 %49 %60 %72 %83 %94 %
17 h15 h13 h11 h9 h7 h5 h3 h1 h
 
 
Événement à Castle Rock, petite ville très provinciale où les nouveautés sont rares et où tout le monde se connait : un nouveau magasin, “Le Bazar des Rêves”, va ouvrir. Son propriétaire, Leland Gaunt, se révèle un homme charmant et charismatique. Le magasin connaît vite un grand succès, car chacun y trouve exactement ce qu’il désirait profondément depuis longtemps, même s’il ne savait pas ce que c’était quelques minutes avant d’entrer dans le magasin... On y trouve des objets bizarres, de la photo originale d’Elvis Presley à l’amulette qui guérit l’arthrite en passant par la carte de baseball dédicacée par un joueur mythique.
Leland demande souvent un petit service à la personne au lieu d’argent, mais le prix à payer est peut-être plus élevé qu’il n’y paraît...
La ville commence à devenir folle...

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Les commentaires :

 
Oui très bonne question.
Qu’est-ce que je pense de ce livre.
Et bien en fait pas grand-chose. Comme dans tous les King le début est super lent.
Et c’est vrai qu’à certain moment je me suis demandé s’il ne fallait pas que j’arrête.
Mais je l’est quand même continuer.
Et je saurais pas dire si j’ai bien fait ou pas. C’est vrai que King ne me déçoit jamais.
Et je crois que ce n’est pas prêt de changer.
Même si, c’est vrai, je n’est pas tellement accrochée à ce livre. On commence donc l’histoire le jour où “le bazaar des rêves” ouvre ses portes.
On fait la découverte de Lauland Gunt, le propriétaire de l’établissement, qui est au premier abord très sympathique.
Mais surtout, méfier vous des apparences. C’est bizarre mais les 2 choses qui m’ont marqué dans ce livre sont le début quand on nous dit que nous sommes déjà venus ici.
Je sais pas pourquoi mais ça m’a un peu angoissée.
Et les yeux de Gunt.
Pourquoi certain les voit bleu, d’autres marrons ou même noir ?
Etrange. Dans ce livre, ce n’est pas la terreur qui règne.
Mais plutôt l’angoisse.
Et c’est vrai que je me suis sentie angoisser du début à la fin. Et, OMG.
Je ne m’attendais pas du tout à cette fin là.
Je sais pas trop à quoi je m’attendais mais pas du tout à ça.
Elle conclu très bien et je me suis dit “oufffffffff”. Donc, même si ce n’est pas un livre qui me marquera j’ai passé un bon moment.
 
17/20  À Castle Rock, petite ville qui se trouve régulièrement être le théâtre de drames en tout genre, un nouveau commerce est sur le point d’ouvrir, un type de commerce qui se dit révolutionnaire. Leland Gaunt en est l’intrigant gérant et possède une façon bien à lui de faire des affaires, il vous vend l’objet de vos rêves pour un prix qui vous considérerez comme dérisoire et vous demande en contrepartie de jouer un tour à un autre habitant de la ville. Rien de bien dangereux en soi, sauf quand ces blagues ne sont pas prises à la légère par ceux qui en sont les victimes, blagues qui peuvent très vite dégénérer, alors la situation pourrait devenir ingérable et... dévastatrice.  Bazaar est un roman qui compte un nombre conséquent de pages (889 en poche) alors autant le dire, deux points sont primordiaux pour que tout se passe pour le mieux avec ce type de roman: l’écriture de l’auteur et une intrigue au rythme maîtrisé pour que le lecteur ne lâche pas en chemin. J’ai beaucoup aimé ma lecture même si je déplore néanmoins quelques points négatifs qui, même s’ils n’ont pas freiné ni gâché ma lecture, pourraient gêner votre progression dans le récit.  Stephen King est un auteur que j’aime beaucoup et qui possède une plume bien à part et reconnaissable. Une plume très riche et un vocabulaire développé rendent le récit plus approfondi, travaillé et surtout un récit que l’auteur maîtrise du début à la fin sans jamais laissé place au hasard, sans se perdre ni perdre le lecteur en route pour peu que celui-ci affectionne les descriptions. Car Stephen King utilise énormément de descriptions très poussées dans lesquelles il inclue aussi parfois quelques flashbacks, si cela peut parfois faire un peu perdre le fil de l’intrigue, l’auteur réussit habilement à resituer le lecteur dans le contexte. Une écriture vraiment très plaisante et très travaillée qui excelle aussi bien dans la narration des scènes de la vie que dans les descriptions, les actions ou encore les scènes plus teintées d’horreur qui sont parsemées dans le récit. Comme d’habitude, j’ai beaucoup aimé l’écriture de Stephen King, qui parvient à m’emporter totalement dans le récit et à me rendre accro à l’intrigue mise en place malgré les longues descriptions.  La mise en place des, très nombreux, personnages et de leur passé, leur caractère, mais aussi de l’intrigue, des différents conflits qui peuvent exister au sein de la petite ville de Castle Rock, est lente et donc par conséquent très longue. Dans la première partie, à chaque début de chapitre, Stephen King nous présente un nouveau personnage, son passé et tout ce que celui-ci implique dans la vie de la ville, ce qui prend un temps et donc un nombre de pages assez conséquent. Néanmoins, l’auteur a eu la bonne idée d’inclure en même temps un début d’action concernant la nouvelle boutique, “Le Bazar des Rêves”. Un certain nombre de questions se mettent alors en place, quelles sortes d’objets seront en vente dans cette boutique? Comment sera le gérant? Les nouvelles vont vite dans une aussi petite ville et cette nouvelle boutique ne laissera personne indifférent. J’ai beaucoup aimé cette mise en place qui, bien que longue, est très intéressante et intrigante, c’est le pilier de toute l’histoire et c’est aussi ici que Stephen King exprime tout son talent, dans sa capacité étonnante à mettre en place une ville entière, avec beaucoup de personnages, d’histoires entre eux, le tout avec assez de fluidité et de rapidité pour ne pas perdre le lecteur pendant les descriptions des lieux, événements ou très nombreux personnages.  Dans Bazaar, l’auteur jongle avec énormément de personnages, tous très différents et approfondis, il prend le temps nécessaire pour présenter chacun de ses personnages et approfondir leur caractères et leur passé en utilisant des flashbacks très bien intégrés au récit. Les personnages sont tous très complexes et très humains, c’est vraiment un point très positif du roman, j’ai parfois oublié que je lisait de la fiction et c’est vraiment quelque chose que j’ai aimé. Certains personnages m’ont évidemment plus marqués que d’autres: le shérif Alan Pangborn est, à mon avis, le personnage pilier de toute l’histoire, c’est un personnage vraiment gentil, dévoué à sa ville et ses habitants, courageux et sensible, la vie n’a pas épargné ce personnage, qui en devient encore plus attachant. Brian, le premier client du Bazar des Rêves, est un personnage qui m’a énormément émue, un enfant qui va être pris dans un tourbillon d’événements qui vont le dépasser et qui est vraiment très émouvant. Leland Gaunt, le propriétaire et gérant de la boutique, est un personnage intrigant et dérangeant, qui mets mal à l’aise autant qu’il attire les autres personnages, c’est un être étrange et mystérieux qui fait parfois frémir, un personnage que l’on déteste dès sa première apparition dans le roman. Autre personnage qui m’a marquée, il s’agit de Polly Chalmers, compagne d’Alan, c’est un personnage doux et affectueux, affectée par l’arthrite, la douleur est son lot quotidien et on se prend vite d’affection pour elle. Beaucoup de personnages parmi lesquels il ne faut pas se perdre, heureusement, l’auteur arrive à glisser quelques petits rappels aux bons moments pour ne pas semer son lecteur en route. J’ai beaucoup aimé certains de ces personnages, d’autres un peu moins et j’ai vraiment détesté Leland Gaunt pour ce qu’il faisait subir aux habitants de cette petite ville.  Une fois la mise en place effectuée, l’intrigue devient encore plus présente et l’action s’accélère, de nombreuses interrogations s’ajoutent aux mystères planant déjà sur Castle Rock. Les blagues que Leland Gaunt a demander à ses clients de faire aux autres habitants de gèrent à une vitesse folle et prennent des proportions inimaginables. Les scènes d’action, d’angoisse ou même d’horreur se multiplient alors au fil des pages et deviennent plus fréquentes, les scènes d’horreur sont présentes mais bien éparpillées dans le récit et l’auteur nous évite certains détails trop intenables, j’ai donc trouvé que l’horreur était néanmoins mesurée dans ce roman et que la terreur repose surtout sur l’aspect psychologique et sur le fait qu’un seul homme arrive à manipuler toute une ville. Mais est-il vraiment un homme? La haine et la violence s’accumulent et se propagent dans toute la ville, distillées par Leland Gaunt qui n’hésite pas à les exploiter et les condenser pour arriver à ses fins. Le chaos est proche....  La fin est assez spéciale, elle m’a un peu déconcertée, l’auteur utilise des éléments très fantastiques et, bien que celui-ci soit indéniablement présent tout au cours du roman, j’ai trouvé la solution qu’il utilise ici un peu trop facile. De plus, j’ai trouvé la fin un peu trop rapide et j’aurai aimé en savoir plus sur ce que les survivants deviennent. Néanmoins, j’ai aimé savoir ce que Leland Gaunt devient, la façon dont la boucle se boucle. Les +: l’intrigue, l’écriture de l’auteur et son talent pour créer de toutes pièces une ville entière, les personnages, l’action
Les -: une mise en place un peu longue, une fin un peu trop rapide  Stephen King nous raconte ici une nouvelle histoire qui se déroule à Castle Rock (comme Cujo, La part des ténèbres ou les Tommyknockers, mais pas d’inquiétudes vous pouvez lire Bazaar sans avoir lu les trois précédents). Bien que la mise en place soit un peu longue, le nombre très élevé de personnages l’impose et on ne peut que saluer le talent d’écriture de Stephen King qui met en place une ville entière et ses habitants et qui maîtrise totalement son récit et son intrigue. Celle-ci est très bien menée et très addictive et l’action devient ensuite vite effrénée. Néanmoins, la fin est un peu trop rapide et m’a semblé un peu trop fantastique.
À lire si vous n’avez pas peur des pavés et si une longue mise en place ne vous freine pas.
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