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Soie de Alessandro Baricco
Date france :
1997
Titre origine :
Seta
Date origine :
1996
Traducteur :
Françoise Brun
Editeur :
ISBN :
2226088814

Soie

1997
1 h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 1 h pour lire ce livre.
 
 
Plus que le mortel ennui d’une vie répétitive, c’est une indifférence, une absence de résistance à la vie que Baricco suggère en ouvrant son roman par quelques phrases laconiques, purement énonciatives. Au début, Hervé Joncour fait penser à un spectateur repu qui se refuserait à intervenir dans la pièce qui se joue, et qui pourtant parle de lui. Voyageur en quête d’œufs de vers à soie, il se voit contraint, pour sauver les industriels de son village, d’effectuer une expédition “jusqu’au bout du monde”. Or, en 1861, la fin du monde, c’est un Japon qui sort à peine de son isolationnisme, et, qui plus est, de mauvaise grâce. Et c’est au Japon que la vie du héros prend un tour nouveau en croisant celle d’une femme mystérieuse. À la fin du roman, plusieurs années se sont écoulées, qui ont paru un battement de cils raconté en douceur par une voix neutre qui a fait défiler sous nos yeux, tels des panneaux de papier de riz, les séquences successives de cette vie impalpable traversée par des personnages d’ombre subtile.

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Les commentaires :

 
On m’avait fait des merveilles de ce petit livre, on m’en avait parlé avec exaltation, avec admiration. C’est un livre qui porte bien son nom: délicat, doux et un peu précieux. Les figures de style rendent la lecture particulière, les répétitions lui donnent un rythme particulier. L’histoire n’est pas très originale, bien qu’agréable. Je trouve que les personnages manquent un peu de consistance, ils ont un petit quelque chose de détaché, de lent, qui fait leur charme certes, mais qui manque un peu d’énergie et de caractère pour moi. Très peu de description... pourtant soie et Japon, il y avait de quoi faire!!Un peu court aussi à mon goût, je l’aurais souhaité plus développé, ça aurait pu, je pense! Seule la lettre de la fin m’a émue, m’a chamboulée.... si plusieurs passages avaient été ponctués de la même force, de la même verve, ça aurait pu donner une autre dynamique à ce joli livre. un peu sur ma faim donc... ça aurait pu être un grand livre, mais pour moi, il reste un peu court, un peu limité, mais en polissant un peu la pierre, on aurait pu la rendre précieuse.
 
L’Avis de Laeti Mon histoire avec le livre : Il m’a été conseillé par ma libraire, je ne connaissais pas du tout cet auteur, elle m’en a vanté du bien donc je me suis laissée tenter. Mes impressions : Je n’étais pas emballée plus que ça au départ. Ce n’est pas forcément le genre de quatrième de couverture qui m’interpelle, à la base. Puis finalement des trois livres qui m’ont été conseillé par ma libraire, c’est celui que j’ai ouvert en premier. Malgré ça je n’ai pas accroché plus que ça. Au début nous sommes portés par cet homme qui tombe amoureux en un regard d’une femme japonaise, on imagine une suite potentielle, une histoire d’amour forte car cet amour semble impossible dans un premier temps...
Je suis restée sur ma faim, la fin en elle-même ne m’a pas plu mais ce ne sont que mes goûts personnels, peut-être que vous pourriez accrochés car en deça, l’auteur a une très belle écriture, c’est fluide et ça se lit tout seul. Je l’ai lu dans l’avion alors que j’ai peur en avion et j’ai été porté par l’histoire au point de ne pas sentir de turbulences :) alors pourquoi ne pas se laisser tenter et faire votre propre avis? L’extrait que je retiens:
C’était au reste un de ces hommes qui aiment assister à leur propre vie, considérant comme déplacée toute ambition de la vivre.
On aura remarqué que ceux-là contemplent leur destin à la façon dont la plupart des autres contemplent une journée de pluie.
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