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Cinquante nuances de Grey de E.L. James
Date origine :
2012.10.17
Editeur :
ISBN :
9782709641920

Cinquante nuances de Grey

2012
Lecture conseillée à partir de 18 ans (si l'âge conseillé ne vous semble pas correcte, vous pouvez le signaler avec le triangle jaune, à droite quand vous êtes connectés)
9½ h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 9½ h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

4 %26 %47 %68 %89 %
9 h7 h5 h3 h1 h
 
 
Romantique, libérateur et totalement addictif, ce roman vous obsédera, vous possédera et vous marquera à jamais.
Lorsqu’Anastasia Steele, étudiante en littérature, interviewe le richissime jeune chef d’entreprise Christian Grey, elle le trouve très séduisant mais profondément intimidant. Convaincue que leur rencontre a été désastreuse, elle tente de l’oublier – jusqu’à ce qu’il débarque dans le magasin où elle travaille et l’invite à un rendez-vous en tête-à-tête.
Naïve et innocente, Ana ne se reconnait pas dans son désir pour cet homme. Quand il la prévient de garder ses distances, cela ne fait que raviver son trouble.
Mais Grey est tourmenté par des démons intérieurs, et consumé par le besoin de tout contrôler. Lorsqu’ils entament une liaison passionnée, Ana découvre ses propres désirs, ainsi que les secrets obscurs que Grey tient à dissimuler aux regards indiscrets…

Si vous avez aimé ce livre, ceux-ci peuvent vous plaire : Ces livres vous sont proposés car les lecteurs de NousLisons.fr qui ont aimé Cinquante nuances de Grey les ont également appréciés.

Les commentaires :

 
J’ai adoré ! Belle présentation du monde du SM, ou plutôt d’un certain SM. Malgré le coté SM, la trame de l’histoire est à l’eau de rose, mais les deux vont bien ensemble. Juste un peu déçu par la fin :
D’une part elle arrive trop vite, je me suis retrouvé tout bête devant le “Remerciement”.
D’autre part, la dernière scène dans la chambre rouge ne colle pas au personnage de Grey. La réaction d’Ana est prévisible et incontournable. Elle n’aime pas la douleur en tant que telle, seulement la douleur mesurée qui amène au plaisir. Et là il lui fait mal “gratuitement” sans faire monter la pression avant, ni l’atténuer après. Jusque là il était beaucoup plus réfléchi et attentif comme tout Dominant doit l’être. J’ai l’impression que l’auteur a trouvé ce truc pour conclure le livre.

Heureusement deux autres tomes doivent arriver.
Dernier livre lu : (aucun)
 
Et voilà, j’ai lu ce roman en moins de 48 heures. J’en entendais beaucoup parler, en bien et surtout en mal par la presse notamment. Je voulais me faire une opinion rapidement, avant d’être spoilée sur internet. Cinquante nuances de Grey me laisse perplexe, je suis passée par tellement d’émotions différentes au cours de ma lecture mais je peux déjà vous dire que j’ai adoré!

Dès le début, on entre directement dans l’action puisque nous découvrons les deux personnages principaux. On suit l’histoire d’une jeune fille : Anastasia, une nouvelle Bella en somme. J’ai appris qu’à la base, il s’agissait d’une fan fiction de Twilight. On voit que l’auteure s’est inspirée de Bella Swan pour créer son héroïne. Comme elle, Ana est maladroite, gaffeuse et n’a jamais connu d’homme (à presque 22 ans!). La jeune fille est exaspérante, je l’ai trouvé horriblement nunuche. Pendant les premiers chapitres, elle ne cesse de répéter que Christian Grey est beau, riche et séduisant. C’est vite pénible et redondant. Pourtant, j’ai commencé à l’apprécier au fur et à mesure (on passe 560 pages dans sa tête, alors autant faire un effort!). Au début, elle est vierge, complètement inexpérimentée et immature à certains moments. Puis nous découvrons sa vrai personnalité : impulsive, curieuse et même insolente! J’ai également trouvé étrange mais intéressante l’idée de faire parler sa “déesse intérieure” et sa “conscience”. Je m’explique. Tout au long du tome, on a l’impression qu’un duel féroce se joue dans la tête d’Ana entre son innocence et sa libido. C’est assez drôle et ça m’a bien plu, ça met du punch et de la fraicheur dans le récit.

Cinquante nuances de Grey est avant tout une histoire d’amour. Ce n’est pas un roman érotique c’est une romance érotique, nuance. Il faut aimer ce genre pour adhérer car tout est centré sur leur relation. Il y a des personnages secondaires bien sûr, mais à part la meilleure amie qui sort un peu du lot, les autres ne sont pas importants. Je lis de plus en plus de romances et je dois avouer que celle-ci est particulièrement prenante. Je n’ai pas pu lâcher le roman, j’avais besoin de connaître la suite et là, je suis horriblement frustrée par cette fin!

Revenons aux personnages, je n’ai pas encore parlé de Christian Grey. Au début, je l’ai trouvé charmant et j’ai vite craqué pour lui. Pourtant, quand on découvre que c’est un adepte du BDSM, ça nous refroidi aussitôt... On le sait, on l’a lu dans le résumé, mais quand même. A partir de ce moment là, je l’ai trouvé trop autoritaire, égoïste et même effrayant parfois. Il a comme une double personnalité, il peut être un coup adorable et l’autre froid comme la glace. J’ai eu du mal à le cerner, tout comme Ana. Je n’ai toujours pas réussi d’ailleurs. En tout cas, j’ai commencé à l’apprécier dans le dernier tiers du roman, lorsqu’on commence à en savoir plus sur lui et sur son passé. Le roman ne nous en dévoile pas trop non plus, il ne faut pas oublier qu’il reste encore deux tomes, mais suffisamment pour commencer à le comprendre et à l’aimer.

Bien sûr, on s’est tous posé la question. Quel est le niveau d’érotisme dans Cinquante nuances de Grey ? Le BDSM ça fait peur avouons-le. J’ai déjà lu plusieurs romans avec des scènes de sexe, je ne suis pas facilement choquable, mais je ne voyais pas comment concilier romance et sado-maso. Honnêtement, les scènes hot sont nombreuses, certes mais très soft. Le roman n’est pas à mettre entre tous les mains évidemment, il est d’ailleurs interdit aux mineurs, mais il n’est pas non plus choquant.

Concernant le style de l’auteure, je suis moins contente. A certains passages, c’est très bien. Le décor est là, les émotions aussi, bref c’est parfait. Pourtant, des répétitions et des phrases maladroites gâchent un peu l’ensemble. Par exemple, presque tous les personnages “penchent la tête sur leur épaule”. Ce n’est pas très naturel comme posture...
C’est de la littérature populaire OK, mais c’est vraiment dommage car ça entache le reste qui lui, se lit bien. J’aurais pu avoir un coup de coeur si ces petits détails ne m’avaient pas choqué.
Par contre, j’ai particulièrement aimé les passages d’échange de mails entre Ana et Christian. Leur titre et leur contenu m’ont fait sourire, je trouve ces passages bien écrit et croustillants à souhait! Là encore ça ajoute une note d’humour dans cette histoire d’amour dominée par les règles, l’obéissance et les punitions.

Pour conclure, je dois avouer que j’ai pris un immense plaisir à lire ce roman et ce malgré ses défauts. Cinquante nuances de Grey est une romance totalement addictive que je n’ai pas pu lâcher avant la dernière page. Je répéte qu’il ne s’agit pas d’un chef-d’oeuvre de la littérature. Il faut prendre ce roman pour ce qu’il est : une belle romance érotique, divertissante, parfois drôle et chargée d’émotions. J’attends 2013 avec impatience pour découvre les deux autres tomes de la trilogie.
Blog de chroniques littéraires.
Après avoir rencontré Gideon, il y a quelques semaines, j’avais très envie de rencontrer Christian Grey. Lire ces deux livres aussi proches l’un de l’autre était un peu risquer mais j’avais envie de ce genre de lecture. En effet, pendant les premiers chapitres, j’ai comparé les deux livres. Je trouvais celui-ci moins bien écrit, il est bien moins réaliste que l’autre... Honnêtement, je n’ai encore jamais croisé d’homme qui veut me faire signer un contrat avant de commencer une relation (et j’espère bien ne jamais en croiser). Et puis, j’ai fini par me laisser aller dans cette histoire, à m’attacher à Anastasia et à Christian au point que j’ai dévoré ce livre en une soirée et une nuit. Et oui, je n’ai refermé ma kobo qu’à cinq heures du matin une fois le livre terminé (cela m’a permis de confirmer mon premier ressenti, le numérique ne gâche pas le plaisir de lire). Il faut dire aussi que à part le fait que dans les deux il soit question d’une rencontre entre deux personnes qui vont finir par coucher ensemble, il n’y a pas vraiment de ressemblance.
Anastasia est une jeune fille d’une vingtaine d’année qui est entrain de terminer ces études. Elle est de nature très timide et très studieuse ce qui fait les hommes elle ne connaît pas. Elle vit en colocation avec une amie rencontrée à la fac qui est tout le contraire d’elle. Au vu de ce que j’avais lu sur elle, je m’attendais à être agacé par son comportement mais dans l’ensemble ça a été. Evidemment, certaines de ses réactions m’ont saoulé mais pour d’autres j’ai vraiment eu envie d’applaudir.
Christian Grey ne m’a pas plu dés le début. Je le trouvais imbu de sa personne, parfois irrespectueux mais en même temps, un homme qui traverse le pays pour vous inviter à boire un café ça fait rêver. C’est un homme vraiment surprenant, parler contrat avant de sortir avec une jeune fille c’est quand même hallucinant tout comme le fait d’établir des règles bien précises à la relation. Paradoxalement, l’attachement qu’il porte à Anastasia fait vraiment envie. On sent qu’il a envie de faire des efforts pour lui permettre d’être heureuse. Au fur et à mesure de ma lecture, je me suis attachée à lui, j’ai eu envie d’en apprendre plus sur lui et là je reste sur ma faim... Juste pour ça, lire le second tome est très tentant.
Les deux personnages ont donc des personnalités bien construite ainsi qu’un passé même si celui d’Anastasia n’est pas très intriguant.
Côté scène de sexe, au vu du thème du livre, je m’attendais à plus de scènes choquantes mais finalement, il n’y a que trois ou quatre m’ont choqué (c’est un peu fort mais je ne sais pas quoi mettre comme autre mot). Le sexe est évidemment très présent mais il est utile à l’histoire, il n’est pas là juste parce qu’il en fallait. L’auteure a su faire varier les plaisirs à nos deux amants ce qui fait que je n’ai pas eu l’impression de relire plusieurs fois le même passage. Une chose que je ne comprend pas dans ce type de roman, c’est pourquoi les demoiselles qui attendent si longtemps pour découvrir l’acte sexuel craque aussi rapidement avec le héros du livre ?
Pour conclure, j’ai bien envie de dire que c’est un coup de cœur. En effet, rare sont les livres que je dévore aussi rapidement. Si vous n’avez pas peur d’être choqué lancez-vous, vous ne serez pas déçus.
 
« Avant de lire le livre, j’ai lu quelques morceaux d’avis par-ci, par-là. J’ai souvent lu qu’il y avait beaucoup de répétitions, et j’avoue que j’ai trouvé ça très lourd également. Entre la tête penchée sur le côté, les sourires ironiques (l’auteure ne doit d’ailleurs pas bien connaître la signification de ce mot...), les gros mots à tout bout de champ (merde, putain, bordel, voire quelques mixes de tout ça) et d’autres choses que je n’ai pas forcément relevées, on est servi en terme de redondance. Sans parler de ce contrat qu’on peut lire, relire et rerelire ! Déjà qu’une fois c’est chiant, mais alors trois, j’avais juste envie de passer les pages. »
Edenia, site de partage de connaissances et d'avis sur les livres, films et jeux en tous genres.
 
Hou la la.. il y a tellement de choses qui me viennent à l’esprit : par où commencer ce billet ? Tout d’abord, les critiques ont surtout pointé du doigt les nombreuses répétitions de l’auteur. Pour vous en donner une idée plus précise, je me suis lancée dans une sorte d’inventaire à la Bridget Jones, vu que le personnage d’Ana s’en inspire largement (mais s’en éloigne fortement) :  - nombre de fois où Ana rougit : 898
- nombre de fois où Ana se pince les lèvres : 732
- nombre de fois où Christian lui demande d’arrêter de se pincer les lèvres parce que ça l’excite : 732
- nombre de fois où Ana s’extasie sur la beauté de Christian : 432
- nombre de fois où Ana a l’appétit coupé : 341
- nombre de fois où Christian lui ordonne de manger alors qu’elle a l’appétit coupé : 338
- nombre de jurons prononcés par Ana (étudiante en littérature, je le rappelle) : 987
- nombre de changements d’avis d’Ana (oui, j’accepte.. non, ça va me faire souffrir.. ah, mais je risque de le perdre.. oh, c’est bon.. non, c’est mal) : 42
- nombre de scènes sado-maso : 3
- nombre de scènes d’amour de sexe : 15
- nombre de « oh oui, jouis pour moi bébé » (avec une variante : « oh oui, crie mon nom bébé ») : 8
- nombre de fois où le lecteur a baillé : 24
- nombre de fois où le lecteur a ri : 48
- oups, je m’égare là.. Par conséquent, on peut considérer que ce livre contient quelques menues redondances. Concernant l’histoire en elle-même, vous l’aurez compris, elle ne casse pas quatre pattes à une sado-maso. On pourrait presque parler d’un mélange entre « 9 semaines ½ » et un harlequin bas de gamme qui aurait viré.. au gris !  D’ailleurs, pour un roman soi-disant SM, je n’ai pas trouvé beaucoup de scènes de ce type. En réalité, ce qui prend toute la place, ce sont les pensées des personnages.. Donc, attaquons-nous aux personnages. Commençons par notre vierge préférée, Ana. Sachez qu’Ana est un personnage tout à fait exceptionnel, que l’on ne rencontre que peu de fois dans sa vie de lecteur.  Tout d’abord, Ana a 21 ans, vit aux Etats-Unis de nos jours, et est toujours vierge, même de simples baisers (mais oui, bien sûr on y croit).  D’ailleurs, Ana est tellement vierge qu’elle réussit (âmes sensibles s’abstenir) à pratiquer la technique des avaleurs de sabre lors de sa première fellation sans jamais avoir envie de vomir: alors, vous y croyez toujours ?
Il faut savoir aussi qu’Ana est schizophrène. Elle entend des voix émanant de sa conscience et de sa déesse intérieure avec qui elle dialoguera pendant tout le roman. Si sa conscience est une vraie rabat-joie et la ramène au sens des réalités, sa déesse intérieure, quant à elle, danse la samba, fait des saltos arrière ou du saut à la perche ou alors boude dans son coin quand elle n’est pas contente (oui… je sais). Ana n’est donc pas une, mais trois personnages en même temps (vous me suivez là ?). Ana se décrit comme une fille très moche et insipide (autant que les « fausses moches » des films d’ado américains). Il faudra donc m’expliquer pourquoi tous ses amis garçons sont tous tombés amoureux d’elle et lui font un rentre-dedans du feu de dieu. Sans compter le beau Grey qu’elle a également attiré dans ses filets. Bon, c’est décidé, demain, je me fais moche et insipide !  Passons maintenant à Monsieur Gris, euhhh.. Grey, pardon. Christian est beau, intelligent, sait jouer du piano à la perfection et il est immensément riche. Ben oui, Christian a réussi dans les affaires : à son âge (27 ans), il dirige une multinationale de 40.000 salariés (normal, non ?). Il passe la plupart de son temps avec Ana et semble travailler en ayant passé un unique coup de téléphone dans la journée. Et là, tenez-vous bien mais Christian, avec sa super boite, lutte contre la faim dans le monde : n’est-il pas parfait ? Quoi, comment ça, vous avez dit cliché ?  Sinon Monsieur Gris habite dans un appartement gris, porte des costumes gris, fais joujou avec des cravates grises et a les yeux.. gris bien sûr !  Ah oui, j’oubliais un détail. Christian est sado-maso et ne peut ressentir le plaisir qu’à travers la douleur. Il a été initié à cette pratique par une amie de sa mère alors qu’il n’avait que 15 ans (non, non, ne riez pas !). Il possède dans son appartement une « chambre rouge de la douleur » dans laquelle il ne faut pas le regarder dans les yeux et où il faut l’appeler « Monsieur » : « oui qui ? oui, Monsieur ». 
Enfin, Christian possède un lourd secret qu’il ne peut pas dévoiler à Ana tellement ses démons intérieurs le perturbent. Mais il va quand même lui avouer que sa mère biologique était une prostituée accro au crack et qu’il a été adopté à l’âge de 4 ans. Pas étonnant qu’il soit tourmenté ce garçon !
 Que penser de « cinquante nuance de Grey » de manière générale ? Pour moi, ce livre est un croisement entre un conte de fées de l’an 2000 et un porno pour mémères. Je m’explique.  Christian représente incontestablement LE prince charmant de l’an 2000 : beau, intelligent, mystérieux, caractériel et.. riche surtout ! Ce livre est un temple du consumérisme et de l’idée qu’être riche c’est avoir la belle vie. Quand ton mec t’offre des fleurs, Christian offre à Ana une voiture, et quand ton mec t’emmène au cinéma, Christian, lui, amène Ana faire du planeur. Normal, non ? Ana culpabilise d’ailleurs à plusieurs reprises de tous ces petits cadeaux : « suis-je une pute ? », « oh non, il a travaillé dur pour pouvoir m’offrir ces cadeaux, bon d’accord, je les accepte ». Bon Ana, décide-toi à les accepter, sinon, je vais prendre tous ces cadeaux à ta place ! Les films pornographiques constituent un fantasme masculin indéniable. La plupart d’entre eux rêvent de voir leur femmes ressembler aux actrices (ouais, bah, qu’ils continuent à rêver, hein !).  Et bien, ce livre constitue, à mon avis, un fantasme féminin indéniable. En effet, toutes les mémères qui n’ont pas souvent de rapports sexuels (tout comme les hommes qui matent des pornos), meurent d’envie de se retrouver à la place d’Ana, d’avoir une vie facile parce qu’elles auront pleins de cadeaux, de ne plus avoir à réfléchir puisque Christian le fera à leur place, d’avoir des orgasmes à répétition et surtout avoir été choisie, elles si moches et insipides (la boucle est bouclée) par le célibataire le plus en vue de tout le pays. Les mots que Christian dit à Ana (même les plus osés), ce sont les mots qu’elles fantasment d’entendre ; les gestes de Christian envers Ana (même les plus osés), ce sont les gestes qu’elles fantasment de connaitre. Enfin, j’ai quand même vu une petite dimension philosophique dans ce livre (eh oui, une toute petite). L’histoire illustre tout à fait la théorie de Hegel sur le maitre et l’esclave. Au fur et à mesure de leur relation, c’est le maitre qui devient esclave de son esclave tant la dépendance s’est installée entre eux. Exactement comme nos deux amants terribles. Malgré tout cela, je dois quand même avouer que ce livre est addictif et que je l’ai dévoré telle la mémère qui s’ignore que je suis. Cela m’a d’ailleurs fait penser à mon addiction pour « les feux de l’amour ». Je sais que l’histoire est peu crédible voire ridicule, je sais que c’est « gnangnan », et pourtant, je meurs d’envie de savoir ce qui se passera au prochain épisode. Alors, si vous me demandez si je lirai le deuxième tome ? Je vous répondrai oui (oui qui ? oui, Monsieur). Je dois être finalement moi aussi un peu sado-maso.
MademoiselleChristelle
 
Je viens de terminer ce roman qui divise les esprits depuis un certain temps. J’avoue que pour ma part, même s’il est vrai que l’écriture n’est pas fameuse, j’ai bien aimé ce roman. J’ai d’ailleurs hate de lire la suite quand je le pourrais !   L’histoire ? Anastasia Steele rencontre le grand Christian Grey et tombe sous son charme. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il a des pratiques sexuelles déviantes....   Beaucoup m’ont dit : “c’est quand même choquant”... Après avoir lu le marquis de Sade et Lautréamont plus rien ne peut me choquer. Beaucoup ont dit “Anastasia est trop naîve et idiote” : je trouve que ses réactions au fil du roman sont quand même raisonnées. Après il est vrai qu’elle est allée loin et qu’elle se laisse peut être trop influencer mais n’est-ce pas justement le pouvoir de Christian ??   Voilà je pense que pour donner son avis il faut le lire et puis n’hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé !!
Les critiques françaises ont descendu ce livre, mais quand vont elles comprendre que nous, Madame Tout-le-monde, avons besoin de ce genre d’évasion, parfois dans nos vies ?
Ce n’est pas de la grande littérature, mais quand on lit c’est pour se réfugier dans un monde, un univers… J’ai aimé et ce n’est pas pour autant que je suis une idiote inculte…
Je ne lirais pas du Tolstoï tous les jours…
50 nuances de Grey est Erotique « OUI », mais ça reste gentil. Quand on est une amatrice de Bit-Lit, on a lu plus Gore, plus porno, je prends pour exemple certain tome de la série Riley Jenson. Christian Grey est un amateur de Sado-Maso, « très gentil », il fait dans le SM soft on va dire… Mais j’aime son côté ténébreux, mystérieux, martyr… J’aime sa passion pour Ana ! L’histoire d’amour est belle… C’est un pur Fantasme transformé en livre… Malgré les critiques des ces pseudo-intellectuelles, Mesdames si comme moi vous êtes : romantiques, fleures Bleues. Lisez-Le !
Il me semble que dans les 50 premières pages j’avais déjà versé ma première larme, j’avais le cœur qui battait aussi fort que celui d’Ana… Et la Fin m’a toute retourné…
Celle qui aimait son pyjama
Bon je ne suis pas vraiment très friande de ce genre littéraire mais j’ai beaucoup entendu parler de cette saga, je me suis donc dit allez pourquoi pas et finalement je n’ai pas été déçue. C’est l’histoire d’une jeune étudiante Anastasia Steel qui rencontre le mystérieux Christian Grey l’homme le plus riche de seattle leur relation au fur à mesure du temps va s’avérer beaucoup plus compliqué que prévu. Leur rencontre est un pur hasard, Kate la meilleure amie d’Ana travaille pour le journal de l’université, elle a mis des mois pour réussir à obtenir une interview du PDG de GREY Entreprises Holdings et malheureusement Kate tombe malade le jour de son interview et c’est tout naturellement qu’elle demande à Anastasia de la remplacer. L’heure du rendez-vous a sonné et lorsqu’Ana rencontre Mr Grey elle tombe sous le charme de ce bel homme humm, Christian ne sera lui aussi pas insensible à celle-ci quelque chose en elle l’attire irrésistiblement. Le comportement d’Ana va lui laisser entrevoir qu’elle serait pour lui la personne qui lui faut. Suite à cette rencontre la seule idée de Christian c’est d’avoir Anastasia et il va se montrer très entreprenant, il va très vite lui faire part de ce qu’il souhaite d’elle. Mais la situation va très vite se retourner contre lui Anastasia est amusante, fraîche, pétillante et elle n’a pas froid aux yeux. Sa rencontre avec Christian va complètement la transformer avec lui elle va connaître les joies du S… bip lol. Elle va accepter beaucoup de choses de lui à ses dépens. Mais Ana à du caractère j’aime la façon qu’elle a de défier constamment Christian et elle finit toujours par obtenir ce qu’elle souhaite. Christian quant à lui ne peut s’empêcher de tout contrôler, très autoritaire ce qui n’est pas vraiment du goût d’Ana et sans oublier qu’il a des penchants sexuelles très mais très particuliers. Mais l’arrivée d’Ana dans sa vie va radicalement le chambouler, avec elle il va y avoir beaucoup de première fois. Finalement on s’attache très vite à ce personnage énigmatique. Ce premier tome a vraiment été agréable à lire et aussi chaud chaud bouillant lol mais c’est surtout le fond de l’histoire qui m’a plu sur l’évolution de la relation entre Ana et Christian cela montre que l’amour peut faire des miracles. Je me lancerais dans le tome 2 sans hésiter :D qui est prévu le 2 Janvier 2012.
 
L’histoire. Un roman que j’appréhendais de commencer car je suis rarement de l’avis général sur ce genre de littérature. Cela se vérifie une nouvelle fois avec cette saga. La relation entre nos deux protagonistes se met en place assez rapidement, le roman se déroule sur deux semaines environ. Les événements s’enchainent à une vitesse folle, j’ai donc eu du mal à réaliser tout ce qui se passe. Beaucoup de revirement de situation, de passages que j’aurais voulu voir plus développés, cette histoire est trop décousue à mon goût. Si on omet le côté sado-maso de Christian, ce tome aurait pu être une romance plutôt attirante, cependant les scènes érotiques rendent le tout vulgaire, incohérent et surtout sans intérêt. Il n’y a pas une once de romantisme, de sensualité, le tout est très brute, trop brute. Les mots employés sont réducteurs, les relations sexuelles s’enchainent à une vitesse folle qu’on finirait par croire qu’il n’y a pas d’histoire à ce roman. Pourtant elle est là et concerne la signature d’un contrat. Ce contrat nous est présenté en long, en large et en travers et pourtant plus l’histoire avance plus je le trouve totalement inutile et plus je pense que c’est une excuse pour combler le vide. De plus, l’auteur nous place en plein milieu de roman une explication totalement décousue sur les raisons du titre de cette saga. Cette raison est assez bizarre et inutile à souhait. Seul point positif à tout cela, j’ai beaucoup aimé les e-mails que s’échangent nos deux personnages principaux. Je les ai trouvé subtils, cohérents, drôles et sensés. Ils m’ont fait sourire plus d’une fois et ce n’a pas été de trop dans cette lecture. Anastasia. Notre “héroïne” est une fille que l’on pourrait définir comme intelligente, simple, ordinaire et pourtant, j’ai trouvé ses réactions totalement incongrues. Dès qu’elle est en présence de Christian, son cerveau se ramolli et elle se retrouve quasiment à baver pour rien. C’est assez réducteur et m’a totalement empêché de m’identifier à ce personnage. Elle doute énormément d’elle même et n’arrive pas mettre en place ses pensées, change d’avis très souvent et se laisse totalement manipuler par les charmes de Christian. Seul réaction cohérente de sa part: la fin du roman. Christian. Beau, riche et séducteur, on pouvait s’attendre à ce que je le trouve intéressant. Cependant, son côté maniaque du contrôle m’a totalement agacée. Pas moyen d’avoir une vie privée avec ce genre de personne. L’argent lui donne tous les droits et il ne se gène pas pour le faire comprendre. Toutefois, un côté assez secret de sa personnalité a piqué ma curiosité, je souhaite en savoir plus sur son enfance. Il est très mystérieux et cela rend le tout plus intéressant. Les autres personnages. J’ai beaucoup apprécié Kate et Elliot qui ont un comportement que je comprend mieux. L’un des personnages qui m’intrigue le plus reste Taylor, l’homme à tout faire. Cet homme doit savoir énormément de choses et cela pourrait amener pas mal de piment à cette histoire que j’ai trouvé des plus fade. Comme vous avez pu le comprendre, je n’ai pas apprécié ce roman et je ne le conseille pas. Toutefois, beaucoup d’avis positifs ont été émis sur la blogosphère, donc je vous invite à vous faire votre propre opinion. 
 
Je vais tout d’abord commencer par le pourquoi de cette lecture parce qu’a priori ce n’est pas le style de livre que j’aime. Eh bien, c’est tout simplement la curiosité qui m’a poussé vers cet achat. Il faut dire que ce livre suscite beaucoup d’avis et, la plupart du temps, assez contradictoires. Je voulais donc me faire ma propre opinion en espérant être agréablement surprise. Au final, je sors très mitigée de cette lecture. Pourquoi? Parce que d’un côté, le livre est d’une qualité plus que médiocre et que d’un autre, j’ai eu du mal à le lâcher. Je vais commencer par les aspects négatifs de mon ressenti. Comme je le disais, au niveau de la qualité d’écriture, cela laisse à désirer et le mot est faible. Le pire étant la répétition incessante de certaines expressions comme par exemple quand Christian “penche la tête sur son épaule”. En lisant ça, j’ai l’impression qu’il a un torticolis en permanence en plus. Je vous ferez grâce du reste. Le texte manque cruellement de synonymes et surtout d’expérience. Il ne faut pas oublier qu’au départ ce livre est une fanfiction sur Twilight et c’est exactement ce qu’on a l’impression de lire. On retrouve dans Ana et Christian des traits de caractère de Bella et Edward et même dans leur relation, les parallèles sont assez faciles à faire. Néanmoins, j’ai lu des fanfictions sur Twilight bien meilleures que celle-ci et pourtant elles n’ont jamais été publié. Tout ça pour dire que j’ai eu l’impression de lire un texte amateur peu retravaillé, mais ceci n’est que mon sentiment. J’imagine que le succès de cette trilogie tient à l’aspect érotique de l’histoire. C’est ce que je redoutais le plus dans cette lecture surtout quand je lisais des termes comme “Momporn” ou SM (pas besoin que je traduise, hein). Au final, c’est moins hard que ce à quoi je m’attendais mais trop de scènes érotiques tuent les scènes érotiques. Quand y en a trop, ça m’exaspère et c’est ce qui s’est passé ici. Et puis c’est un genre littéraire qui ne me correspond absolument pas. Autant ça ne me gêne pas dans la bit-lit ou dans certaines romances quand c’est bien dosé, autant là je trouve ça lourd et répétitif. J’ai toutefois apprécié que le sado-maso ne soit pas présenté comme une pratique normale des relations sexuelles et que ces penchants éprouvés par Christian soient remis en question.
Je me dis que j’aurais pu apprécier ces scènes si cela avait été écrit de manière plus...subtile. J’ai en effet trouvé ces scènes écrites de manière plutôt vulgaire et je pense que la littérature érotique, ou même le SM, n’est pas incompatible avec une plume plus fine, au contraire. Or, là, on tombe dans une vulgarité absolue par moment, notamment de la part de Christian qui fait preuve d’un vocabulaire plus que douteux. Parlons maintenant de l’histoire et des personnages. Au niveau de l’histoire, c’est assez vide, il faut bien le dire. Eh oui, pas facile de faire une intrigue avec deux protagonistes qui passent leur temps au lit (ou ailleurs). Le résumé présente bien la situation donc pas la peine que j’en dise plus.
Là où ça devient plus intéressant c’est au niveau des personnages.
Concernant Ana, elle est assez inintéressante car en plus d’être naïve, elle est idiote. A sa place, je me serais barrée à la vue de la jolie pièce de Grey mais chacun son truc, hein. Mais le désir est plus fort que la raison et on peut pas dire qu’elle soit très farouche bien que de temps en temps elle essaye de nous faire croire qu’elle n’est pas soumise.
C’est le personnage de Christian Grey qui fait l’intérêt du livre en réalité. Et oui, sacré poids sur les épaules d’un seul personnage et pour ma part, sans lui j’aurais rapidement arrêté. Il ne faut pas se voiler la face, Christian a de gros soucis dans sa jolie tête de milliardaire et surtout des traumatismes non résolus. Mais même à la fin de ce tome 1, on ne sait toujours pas ce qui l’a poussé à avoir ce type de comportements.
Malgré son petit côté psychopathe, Christian est un personnage complexe qui intrigue le lecteur. J’avoue que sans cette part de mystère, je ne prendrais même pas la peine de lire la suite.  Le positif de mon avis réside donc dans le personnage de Christian mais pas seulement. En effet, j’ai été assez sévère avec l’écriture de l’auteur mais pourtant je me suis laissée embarquer par ma lecture puisqu’il m’a été difficile de lâcher le livre et je l’ai lu en très peu de temps. Je pense que c’est principalement du à l’évolution de la relation entre les deux personnages. Ils exercent une sorte de fascination (non, le jeu de mot n’est pas volontaire) l’un sur l’autre et je crois que le lecteur aussi est fasciné par cette relation improbable et surtout on se demande quelle en sera l’issue. En effet, pendant tout le livre, ils se voilent la face en pensant qu’ils arriveront à surmonter leurs différences mais ils restent trop campés sur leur position et Christian est trop secret pour que ça marche. La fin du livre promet enfin une histoire intéressante et je sais que je lirais la suite parce que j’ai envie de savoir ce qu’il va advenir de nos deux héros. J’espère tout de même que le niveau sera plus élevé dans les deux prochains tomes. En résumé, il y a eu du bon et du beaucoup moins bon dans cette lecture. Ce n’est pas le type de livre que je recommanderais autour d’un café et encore moins à un public non adulte, ni en dessous d’un certain degré de maturité. Je crois qu’avec ce genre de lecture, chaque lecteur ressent les choses différemment et qu’il est très facile de détester ou d’aimer, sans plus de nuance au milieu (encore un jeu de mot involontaire! Ou presque). Pour ma part, j’ai été en grande partie victime de ma curiosité et je sais que j’oublierais vite cette lecture qui au final ne m’a pas vraiment marquée.
 
Halala Cinquante nuances de Grey, le livre dont tout le monde parle, le best-seller mondial du moment. Un livre qui en a fait chavirer plus d’une et qui est qualifié d’une très belle romance addictive... ... Est ce que ce livre est une blague?  
Avant de commencer à parler de cette œuvre de toute beauté, j’aimerais pousser une gueulante. Est ce que vous trouvez la médiatisation de ce livre normale? En sommes nous vraiment arrivés à une société qui incite les gens à plonger leur nez dans un mauvais bouquin érotique? Au point de l’exposer dans chaque magasin, sur toutes les devantures, y concerner carrément un espace... ? C’est comme si à la FNAC par exemple, un film pornographique était sur chaque étalage avec : “REGARDEZ LE!"
Alors oui, certains me diront " Mais la couverture n’est pas suggestive " ... Le problème est aussi dans ce point là... Le résumé aussi n’est pas suggestif. N’importe qui, et j’insiste bien sur cela, pourrait fourrer son nez dans ce truc là. Je n’ai AUCUNE envie que des gosses de 14 ans ouvrent ce livre qui semble être une jolie romance pour se retrouver avec une femme se faire soumettre aussi horriblement. Je ne souhaite à personne de penser que le sexe c’est CA.
Alors oui, vous allez aussi me dire " Mais les films porno que les enfants finissent par voir! “J’en ai strictement rien à battre. Il ne faut pas en rajouter pour autant et surtout pas comme ça! Le problème est de mon point de vue TRÈS grave. On en vient à un stade complètement ahurissant. Certaines m’ont dit” Pas la peine de dramatiser. Et bien je pense que sincèrement, il faut, et que c’est carrément honteux. Le problème n’est pas dans le fait que ce livre est sortit. La pornographie est bien là et chacun fait ce qu’il veut. Le problème est la médiatisation malsaine du livre et l’enjouement qu’il procure.  Je vous annonce que ce qui ont aimés ce livre devrait s’arrêter là. Car, je n’ai trouvé aucun point positif à ce livre et je vais passer le reste de ma chronique à le casser.   Que contient donc ce livre? Une jolie romance? Des personnages attachants? Une écriture joliment menée? La blague.
La chose la plus frappante en ouvrant ce livre, c’est le style de l’auteur. Une horreur. Des répétition en voulez vous en voilà! Des métaphores juste... Pitoyables et très peu recherchées tel que : “Ma conscience, encore une fois, ressemble au Cri d’Edward Munch” " Comme si j’étais Icare volant trop près du soleil " Cette dernière est d’ailleurs partout dans le roman... Et d’autres que j’ai un peu la flemme de reporter. Alors en plus qu’elles soient vraiment bancales, l’auteur à un sérieux manque d’imagination car elle utilise toujours les mêmes!
L’écriture est simpliste, à la portée de tout le monde. Je crois que demain je vais me mettre à écrire un roman “érotique” moi aussi ;) Franchement... Et dire qu’il y a de merveilleux auteurs passés à la trappe ou que d’autre galère à ce faire éditer et que CA,ça marche O___O Et puis... Mon dieu que c’est vulgaire! Entre les " bordel de merde” " putain” et " merde " on a de quoi faire une apogée de l’obscène! J’ai compté, il y a dans le roman 168 fois le mot merde. Soit 1 fois toutes les 3 pages. De la littérature ça? Haha. Et encore, j’ai pas compté les putain :’)

Passons maintenant à l’intrigue. Alors donc, une jeune femme, Anastasia, rencontre le magnifique, sexy, sublimissime, richissime et érotique ( hihiii. ) Christian Grey. J’ai lu beaucoup de choses qualifiant Christian d’homme parfait. Sérieusement? SÉRIEUSEMENT? Les seules choses qui vous intéressent chez un homme c’est CAAAAA ?! Et... Vous en faites quoi qu’il ait des délires aussi... BIZARRE  :’) Ca constitue l’homme parfait? Parce que, en plus d’avoir tout ça, MONSIEUR est sado-maso et initie la jeune Anastasia. Et puis... Tout le long du bouquin on a le droit à des éloges incessantes d’Ana. C’est bon, on a comprit. Christian est Érotique, sexy, beau comme un dieu blablablabla.
Alors là, fff je sais même pas quoi vous dire. C’est pitoyable, hallucinant, choquant. Je suis pas du genre petite nature mais ce livre m’a choquée. Ce n’est que cul, à chaque 2 pages. Du cul bien cru, et faut arrêter, ce livre n’a rien d’érotique. C’est de la pure pornographie. Un livre seulement écrit pour y intégrer des scènes de cul à mon goût. C’est même pas du sexe, même pas du sexe par amour pour moi. Parce que, ce qui attire premièrement Ana - et presque pendant les 3/4 du roman - c’est le physique de dieu de Christian... L’amour ne repose pas sur ce facteur à mon goût. Super valeur qu’apporte ce livre (y) Non, pour moi il n’a rien d’une romance. Par contre, il marcherait vachement bien en scénario de film pornographique (y) La fille toute soumise, cruche et l’homme mystérieux, dominant. Que demande le peuple? Scénario de film porno je vous dis.
J’ai aussi souvent vu qu’il était additif... Vraiment? Je me suis ennuyée, effroyablement. J’ai rythmé ma lecture de soupir. Les scène “chaudes” sont entrecoupées de la vie complètement plate, banale, ennuyeuse d’Ana... Scène chaudes encore plus mornes, plates, nulles  Ana, Ana , Ana... que dire d’elle? Je n’ai jamais vu de personnage aussi cliché et barbant à ce point... C’est une fille sans cervelle je crois, complètement schizophrène. Oui oui, schizophrène. Elle partage son esprit avec sa conscience qui la traite de pute ( Enfin quelqu’un de censé que diable! ) et sa déesse intérieure ( Wtf me direz vous? ) qui danse la samba quand Mr Grey approche trop son kiki de sa foufounette. Ou qu’il touche son bras? Très étrange oui... Sa déesse intérieure fait aussi des bras d’honneur ou danse en jupe Hawaïenne... Oui, elle aime danser.
Christian hum... Stéréotype d’une fausse image de l’homme parfait. L’image populaire, l’image qui fait que les filles sont toutes choses. J’ai rien à dire dessus. Un tordu, avec un passé trop énigmatique de la mort qui tue. Non non, j’ai rien à dire tellement ça m’a gavé.

Sinon ce livre recèle un tas de scènes mais complètements ridicules! Alors d’abord, il y a Ana qui manque de se faire écraser par un vélo et OOOOH ! CHRISTIAN ! Il l’a sauve de justesse : O Quel héros. Oui oui, vous avez bien lu. Un méchant vélo maléfique tout plein. Traumatisme qu’elle a du avoir pauvre jeune vierge.
Ensuite, il y a ça... Qui me laisse encore énoooormément perplexe : De retour dans la salle de bains, je trouve le sèche-cheveux dans un tiroir. Après avoir improvisé un brushing avec mes doigts, je lorgne la brosse à dents de Christian. Ce serait comme si je l’avais dans la bouche. Hum... En jetant un coup d’oeil coupable par-dessus mon épaule, je passe le doigt sur les poils. Ils sont humides. Il l’a utilisée. Je m’en empare, mets du dentifrice dessus et me brosse les dents à toute vitesse. J’ai l’impression d’être une vilaine petite fille. Ça m’excite.
Alors là je me suis vraiment demandée si ce livre n’était pas une grosse blague. Y a du niveau hein!
Y a ça aussi : Eh merde ! Il m’attrape le pied gauche et le porte à sa bouche. Tout en observant la moindre de mes réactions, il embrasse tendrement chaque orteil, puis en mord doucement le bout. Quand il atteint le dernier, il le mord plus fort et je me convulsé en poussant un petit cri. Il fait glisser sa langue le long de la cambrure de mon pied - je ne peux plus le regarder, c’est trop érotique. ( Oui oui, tout est “trop érotique” dans ce roman. Qui pendant l’acte pense ça franchement? - J’ai d’ailleurs trouvé les pensées d’Ana très irréalistes pendant leurs moments intimes! )
Ca: Il sourit et prend une olive qu’il glisse dans sa bouche ; mes yeux s’attardent sur cette bouche qui a été sur mon corps... toutes les parties de mon corps. Je rougis. ( Je crois que la couleur de peau naturelle d’Ana est le rouge. )
Par exemple.   Alors, désolée, je me suis égarée. Donc l’intrigue, en plus précis, Anastasia est donc très attirée par ce jeune homme qui lui avoue qui est adepte de BDSM. Il finit par lui donner un contrat... Un contrat qu’elle doit signer pour qu’elle devienne son esclave sexuelle. Ou esclave tout court hein! Un gars que je connais à peine me donne ça, je me casse hein. J’appelle la police, je change de pays! Anastasia ne cesse de le qualifier de maniaque du contrôle - Chiant hein? - et d’harceleur... Je pense que ça veut tout dire. Et également sur le personnage d’Ana complètement fracassée de la tête.   Mais, ce qui me sidère vraiment dans ce roman, c’est son succès... Pourquoi? Je comprend pas, plus. Je n’ai pas l’impression d’avoir lu la même chose que toutes ces filles. Je ne sais pas... Il aurait été un livre discret dans un rayon érotique je comprendrais que certaines s’y tournent, si c’est ce qu’elles recherchent blabla. Mais là? Best-seller merde! Best-seller!!!! Je n’ai très sincèrement jamais lu autant de connerie, de niaiserie, de sexe et de bêtise. Passez votre chemin, il ne vaut même pas un regard. J’ai sûrement oublié la plupart des choses que je voulais dire. Non je n’exagère pas. J’ai aussi souvent vu, comme quoi, " facile à lire " " fluide " " style simple et abordable " ... Je ne considère pas la littérature comme tel. Je ne considère pas que n’importe qui peut se faire publier, surtout quand c’est ce niveau d’écriture. Aimeriez vous aller au cinéma pour voir un film fait par des amateurs, avec un téléphone portable et une intrigue complètement banale? Je suis amoureuse de la littérature, et je trouve que ce livre n’y rend vraiment pas hommage.
Et puis, personne ne remarque que le Christian tant adoré est cliché au plus au point? Des personnages énigmatiques, avec de lourds secrets, tortueux, tordus et j’en passe, il y en a des centaines. J’ai l’impression que les lecteurs découvrent ce genre de protagoniste!
Par contre, j’ai beaucoup ris! En effet, je n’ai pas cessé de rire tout le long du bouquin tellement ça frôlait le ridicule. Ana se laisse faire, sans broncher face à des choses que j’ai trouvé quelques fois assez rude. Ce livre est bizarre, les pratiques qu’il décrit aussi. Surtout bizarre qu’autant de gens aime. Bref, j’ai détesté. 
Ce livre, on en a tellement entendu parler que le lire avec un certain recul était indispensable. J’ai tout entendu comme critiques, bonnes ou mauvaises, j’ai donc fait abstraction de tout cela pour me plonger dans ce roman. Et je dois dire que j’y ai sombré tant l’histoire est… attachante. Et romantique aussi ! Oui, c’est un roman érotique, mais à dire vrai, les scènes vraiment hot sont rares. Du moins, pas aussi nombreuses que je m’y attendais. A tout casser, elles doivent se compter sur les doigts d’une main. Il y en a des moins hot, évidemment, mais la critique qui disait que le livre était truffé de scènes à tendance sado-maso, loin de là. Après, tout est question de point de vue. Donc, si je devais donner une limite, je dirais que l’on peut le lire à partir de 16/17 ans. L’écriture de l’auteur : oui, nous ne sommes pas dans de la grande littérature, mais qu’est-ce que la grande littérature aujourd’hui ?! E.L. James a un style qui lui est propre et j’adhère. Elle a su construire une intrigue à laquelle on ne peut se soustraire. Dès les premières pages, le ton est donné : on sait ce qui va se passer, on veut seulement savoir comment. Bon, à la rigueur, je peux noter quelques expressions redondantes. Mais, tout ne peut pas être parfait ! Coup de cœur ? Pas coup de cœur ?... Je pense qu’il est un coup de cœur ! Cette sorte d’histoire d’amour interdit (presque un Roméo et Juliette moderne !) est passionnante.
Blog: Les mots de Gwen
 
Attention Mesdames voici une chronique d’un livre érotique faite par un homme. Je me suis enfin décidé à lire ce fameux “Cinquante nuances de Grey” dont tout le monde parlait et qui a fait sensation; c’est avec joie que je vous livre mon avis. L’histoire est celle d’une jeune étudiante, Anastasia Steele, qui fait la rencontre du richissime et énigmatique Christian Grey. Leur histoire va se transformer en torride relation sadomasochiste qui va changer leurs vies. L’histoire n’a rien d’original mais je me suis pris au jeu. J’ai dévoré le livre. L’histoire est agréable à suivre et il y a assez de suspense pour nous empêcher de laisser tomber ce livre. L’écriture est fluide et c’est très bien écrit. Les passages crus sont assez excitants, ce qui est le but, je pense, mais je n’ai pas la même libido qu’une femme et je n’ai pas pu me mettre à la place du personnage d’Anastasia et ressentir ses émotions au niveau sexuel.  On s’attache rapidement au deux personnages. Ana pour son inexpérience et son caractère, et Christian pour son côté énigmatique et son extrême gentillesse. Il nous font vivre cette histoire et j’ai pu ressentir certains de leurs sentiments. Les deux personnages nous font vivre leur histoire et on a qu’une envie, c’est de savoir comment cela va se terminer. D’ailleurs la fin nous réserve son lot d’émotions. Au final, c’est un livre que j’ai adoré et dont il me tarde de lire la suite pour découvrir ce qu’il va arriver à nos deux amants.
 
Que dire de Cinquante nuances de Grey, déjà que ce livre m’a stressée. Le personnage de Christian est tellement... imprévisible. Je serrai les dents pendant les trois quarts des dialogues.
Soit dit en passant, le livre est à la base une fanfiction de Twilight, et pour le coup je trouve que l’auteur a plutôt bien rendu justice aux caractères des personnages de Twilight. Edward aussi m’avait beaucoup stressée, mais étonnamment j’étais moins inquiète du fait qu’il soit un vampire que du fait que Christian soit un Dominant Toutefois, le personnage de Christian cache une véritable vulnérabilité qui m’a beaucoup touchée, même s’il m’a un peu mise sur les nerfs. Pour ce qui est d’Ana, je l’ai trouvée cruche et vraiment naïve. Peut-être un peu trop pour une jeune femme de son âge. Je trouve qu’elle accepte le contrat que Christian lui propose un peu trop facilement, surtout pour une jeune femme innocente.
Les allusions à sa déesse intérieure et à sa conscience sont plutôt marrantes, mais parfois un peu trop nombreuses. Dans l’ensemble l’histoire m’a plutôt captivée, j’avais envie de voir comment les choses allaient évoluer, même si certaines scènes ont failli me faire lâcher le livre plus d’une fois. Des passages m’ont mise mal à l’aise, même si je m’attendais à bien pire d’un livre classé dans la catégorie BDSM. J’ai juste adoré la fin. J’avais envie de crier “ENFIN !!”, pas parce que c’était fini, mais parce qu’Ana avait enfin compris ce que voulait vraiment Christian, ce dont il avait vraiment besoin. À la fin de ma lecture, j’avais envie d’en apprendre plus sur Christian et de savoir comment allaient évoluer les choses entre Ana et lui.
 
Quoi de neuf dans le monde merveilleux des best-seller ? Réponse : rien ! Car oui, il ne se passe absolument rien dans “50 nuances”, ou plutôt toujours la même chose (ils ont faim : ils baisent ; ils se frôlent : ils baisent ; il fait jour : ils baisent...), racontée inexorablement dans le même ordre avec un vocabulaire d’une pauvreté affligeante et des tournures syntaxiques dignes d’une rédac de fin de cours moyen (et c’est salaud pour les élèves de CM !). Ou alors j’ai été victime du syndrome “lost in translation” (étant une buse dans la langue de Shakespeare, je ne l’ai donc pas lu en anglais). Et là, soit la traduction a été confiée à un lamantin poliopathe bourré (ce dont je doute mais qui expliquerait bien des choses), soit je félicite chaleureusement la personne qui s’est attelée à cette lourde tâche car l’expérience a dû être terriblement douloureuse... Ou l’art de traduire, sans se tirer une balle / sombrer dans la dépendance aux narcotiques / traquer l’auteure pour la séquestrer dans une cave (en gardant à l’esprit que la fin justifie les moyens et qu’il faut bien bouffer), le journal intime d’une grosse pucelle, qui n’a plus ni l’âge ni les convictions pour l’être... Et qui, pour quelqu’un ayant obtenu un diplôme supérieur de littérature, manque cruellement de lettres justement ! Où l’on comprend donc l’importance du travail d’éditeur. En effet, à la lecture du roman, on se demande très souvent si l’auteure n’est pas complètement en roues libres tant il y a de redites et d’incohérences ! Où l’on comprend aussi à quel point il est difficile d’écrire un livre ! Je demeure tout de même curieuse (même si je ne m’y précipiterai pas comme une furie, la culotte à la main) de voir ce qu’ils vont bien pouvoir en faire au ciné... Car, s’ils veulent rentrer dans leurs ronds, ils seront forcés de censurer les scènes de f*on. Il ne restera alors que les “réflexions” d’Ana et franchement, pour le coup, ça peut être encore plus (involontairement) drôle que l’adaptation de Twilight !
 
Ce qu’il raconte… 1er tome de la saga. On commence à en entendre parler : Eh : tu l’as lu ??? Tu devrais… C’est top ! C’est chaud ! OK, OK. Une histoire torride, un homme riche, de pouvoir, il est beau à en tomber raide. Il respire la sensualité (purée ! on n’en rencontre pas dans le métro des hommes comme ça !!!). Bref, je reprends. Elle le fait fondre de plaisir et lui fait tourner la tête. Le rêve de toutes les femmes… On penserait à une simple histoire de “fesses"… Peut-être pas. Mon avis sur tout…ou presque tout… A lire absolument, véritable drogue. Vous ne pourrez plus vous en passer
 
Je dois dire que l’intrigue m’a passionné : Anastasia jeune et innocente face à un multimillionnaire chef d’entreprise, Christian Grey, qui souhaite tout contrôler (notamment sexuellement, puisque c’est un livre érotique). Toute l’histoire tourne autour de leur relation, du point de vue d’Anastasia, et j’ai bien aimé la voir se poser des tonnes de questions par rapport à ce qu’elle ressent, ce qu’elle veut, mais aussi les plaisirs auxquels elle succombe. Je l’ai ressenti comme une personne “normale”, alors que j’ai détesté Christian Grey, sa façon de voir la vie va à l’encontre de ce qui me motive dans la vie. Mais, heureusement, les personnages évoluent au fur et à mesure, donc j’ai quand même réussi à trouver du plaisir à lire ce livre malgré ce personnage qui m’horripile. Malgré les petits défauts de ce livre, j’ai envie de connaître la suite. J’ai vu beaucoup de personnes le dire, mais c’est vrai que le style de l’auteur est très répétitif (je n’ai plus envie de savoir qu’Anastasia se mordiller la lèvre et que ça excite Christian, c’est écrit dans ce livre un nombre incalculable de fois...). Et c’est ça le plus dingue, il y a des choses répétitives, un personnage que j’ai envie d’étrangler mais j’ai envie de savoir la suite... Je crois que je me suis laissée prendre au jeu, même si je n’approuve pas tout... Je comprends pourquoi c’est un best-seller et je comprends aussi pourquoi certains n’apprécient pas.
Mon blog : Un livre peut en cacher un autre
Dernier livre lu : Celle qui a tous les dons de M.R. Carey
Mon objectif pour l'année : 100 (0% atteint)
 
L’avis d’Elsa  Mon histoire avec le livre : J’ai pu lire les deux premiers tomes numériquement grâce à Justine, et le dernier tome grâce à Mimi. Mes impressions : Si je vous dis que Christian me manque déjà ? On retrouve tout au long de la trilogie Christian Grey, un jeune et riche PDG adepte des pratiques sadomasochistes, qui fait la connaissance d’Anastasia Steele. Ils vont tomber amoureux l’un de l’autre et Christian va initier Anastasia à son monde. Mon tome préféré restera le deuxième, sûrement dû au fait qu’on en apprend beaucoup plus sur Christian Grey, et son vécu. Anastasia m’a agacé durant les deux premiers tomes, mais m’a bien plu dans le dernier. Pour moi, la trilogie se termine bien. Elle se lit rapidement, et on en devient vite accro ! La phrase que je retiens :
Vous satisfaire est notre priorité
 Le petit plus : l’adaptation cinématographique est prévue pour août 2014.
Alors je viens de le finir et j’ai adoré !
A la base, j’ai lu ce livre plus par curiosité que par réelle envie, mais je ne regrette pas. Je m’attendais à beaucoup de sexe (voir quasi que ça) et en fait non, donc pour ceux ou celles qui ne le savent pas c’est avant tout une romance.
J’ai accroché tout de suite et je me suis beaucoup reconnue dans le personnage de Anastasia. Et puis je suis arrivé à la scène où Ana découvre la “Chambre Rouge” et là je me suis dit que ça allait pas le faire (pas le faire du tout) ! Du coup, ça m’a rembrunit et j’avais plus trop envie de le lire. J’ai finalement dépassé ça et je ne le regrette pas.
Leur relation est plutôt compliquée, au départ, je trouvais que la manière qu’avait Christian de traiter les femmes était un peu dégradante mais ça m’a beaucoup moins choqué par la suite, peut-être parce que j’ai mieux compris son personnage car il faut le dire, j’ai fini par adoré le personnage de Christian.
J’ai vraiment aimé le dernier chapitre qui m’a même fait pleurer car je l’ai trouvé touchant et vrai. Le fait que je ne m’attende pas du tout à cette fin y a sûrement contribué aussi car je m’attendais vraiment à une fin “standard”.
 
12/20  Anastasia Steele est une simple étudiante comme les autres. Peut-être un peu trop gentille.... C’est donc presque sans rechigner qu’elle remplace son amie Katherine au pied levé et se rend à Seattle pour interviewer un certain Christian Grey. Si cette rencontre ne se passe pas tout à fait comme prévu, Anastasia trouve au moins du réconfort dans le fait qu’elle ne reverra plus jamais cet homme. Il s’avère qu’elle avait tort, Christian Grey a apprécié leur rencontre et il compte bien amener leur relation dans une nouvelle direction. Seulement, Monsieur Grey cache bien des secrets qu’Ana n’est peut-être pas prête à découvrir. C’est ainsi que démarre une relation tumultueuse, faite de mystères, de non-dits, de sexe et peut-être aussi d’une part d’amour?  Qui ne connait pas Fifty Shades of Grey? Entre le très grand nombre d’avis disponibles sur internet concernant les romans qui composent cette trilogie et la large couverture médiatique du film adapté de ce premier tome, impossible de passer à côté. Alors j’avoue la curiosité l’a emportée et j’ai enfin lu Cinquante nuances de Grey. J’avoue que je ne m’attendais pas à grand chose donc, dans ses conditions, impossible d’être déçue.... Néanmoins, je n’ai pas été surprise non plus puisque cette lecture fut tout juste divertissante bien qu’elle comporte de nombreux points négatifs à mon avis. L’écriture est assez bonne, entraînante mais parfois assez crue de par le sujet. Les personnages sont assez intéressants, mais ils peuvent aussi se montrer exaspérants. Néanmoins, le gros point faible du roman reste, selon moi, la lenteur de l’intrigue, le fait que les scènes de sexe empiètent sur le récit et donc les répétitions qui en découlent.  Dès les premières pages, nous rencontrons Anastasia en route pour l’interview de Christian Grey. On peut dire que l’auteur ne s’encombre pas de détails inutiles, elle va droit au but: la rencontre et le coup de foudre entre Ana et Christian. Le lecteur, plongé dans les pensées d’Ana, découvre peu à peu le caractère de cette dernière tout en essayant, de par ses réflexions et ses questionnements, de lever le voile sur les nombreux secrets que cache Christian Grey. Si au premier abord, l’univers peut sembler on ne peut plus banal, la révélation de l’un des secrets de Christian permet alors à l’auteur d’approfondir son univers et de dynamiser un peu plus son récit. La mise en place se fait donc très rapidement de telle sorte que nous sommes immédiatement plongé dans l’histoire, cela donne le ton ainsi qu’un rythme assez bon au récit.  L’écriture de l’auteur se prête très bien au récit et permet donc une lecture rapide et facile. La plume fluide et parfois minimaliste se révèle à d’autres moments plus descriptive et parvient à mobiliser avec facilité les sens du lecteur. Bien sûr, ce sont les scènes plus intimes entre les personnages qui sont le plus approfondies au détriment parfois des personnages ou même tout simplement du reste du récit. E.L. James nous livre donc ici une plume facile à lire qui réussit à éveiller les sens du lecteur. Malheureusement, l’abondance de scènes de sexe apporte une certaine répétitivité et parfois une lassitude lors de la lecture. Autre problème, le langage parfois cru et déplacé, bien que cela soit inhérent au sujet du roman, m’a dérangé et cela m’a semblé être de “trop”, à la limite du caricatural. En somme, une écriture assez agréable, fluide et très bien adapté à son récit. Malgré quelques points négatifs, la plume sert néanmoins bien le récit et lui permet de se lire rapidement.  Avec Cinquante nuances de Grey, nous sommes en présence d’un roman dont toute l’intrigue, ou presque, repose sur la relation sentimentale entre les deux protagonistes principaux. Ce type d’intrigue est extrêmement compliqué à entretenir, le rythme doit vraiment être bien maîtriser pour ne pas lasser ou ennuyé le lecteur. Dans la première partie du récit, l’intrigue est assez intéressante à découvrir, de même que les personnages qui la porte, les questionnements sont nombreux, les nouveautés et rebondissements bien présents. Comme Ana, nous nous interrogeons sur les véritables intentions, les véritables sentiments de Christian à son égard et nous sommes intrigués par les découvertes que l’on fait au fil des pages et de l’avancée de la relation entre Ana et Christian. Malheureusement, tout cela devient très vite redondant, très répétitif et les révélations se font moins présentes et moins impressionnantes. Le rythme retombe et devient assez lent par moment, ce qui permet néanmoins de découvrir un peu plus profondément les personnages sur qui repose vraiment tout le récit.  Tout d’abord, il y a Anastasia, que nous suivons tout au long de notre lecture. Dès les premières pages, nous apprenons à la découvrir, à découvrir son caractère, ses forces et ses faiblesses, ses peurs et ses doutes. Bien que faisant parfois preuve de naïveté, Ana est un personnage auquel je n’ai pas eu de mal à m’attacher, je l’ai trouvée intéressante dès le début et j’avais envie de découvrir de quelle façon elle allait appréhender l’univers particulier de Christian. C’est un personnage que j’ai trouvé assez attendrissant et que j’ai pris plaisir à suivre. Néanmoins, au fil des pages, son attachement pour Christian en devient presque exaspérant et cela la pousse à prendre des décisions qui m’ont déplues. Un personnage avec du potentiel donc mais celui-ci est gâché par la relation trop envahissante qu’entretiennent Ana et Christian.
Christian est un personnage très difficile à comprendre, aux multiples personnalités et aux réactions imprévisibles. S’il a parfois su me toucher, j’ai surtout ressenti beaucoup d’incompréhension face à lui. Il peut parfois se montrer doux et prévenant, et d’autres arrogant et violent. Si j’ai apprécié de découvrir son univers, je ne saurai dire si j’ai apprécier ce personnage qui m’a parfois paru trop dans l’excès, trop surfait. Et ce n’est pas l’admiration que lui voue Ana qui arrange le portrait de ce personnage.
Leur relation peut être à certains moments et par certains aspects intéressante et presque “normale” mais la plupart de leur rapports s’avèrent être purement sexuels et quasiment à sens unique. Je n’ai pas été transportée par leur relation qui m’est apparue plus malsaine que romantique.
En ce qui concerne les personnages secondaires, je les ai malheureusement trouvés trop peu approfondis et trop peu présents de par la place conséquente qu’occupe l’intimité des personnages principaux. C’est dommage étant donné qu’ils présentent beaucoup d’intérêt et auraient permis de connaitre et comprendre davantage Ana et Christian. J’ai trouvé Kate, la mère d’Ana ou même les frères et soeurs de Christian très intéressants et j’aurai aimé qu’ils apparaissent plus. Espérons que cet aspect sera plus développé dans le deuxième tome.  La première partie du récit avec la découverte des personnages, de leurs caractères et univers respectifs est la partie la plus intéressante du roman. Pleine de découvertes et de nouveautés, elle est vraiment bien menée et très bien équilibrée entre approfondissement des personnages et de l’univers de Christian Grey. Il est vraiment très plaisant de découvrir cette part “cachée” du personnage masculin et de plonger dans cette ambiance tamisée et mettant nos sens en éveil. Néanmoins, passée cette première partie, les scènes de sexe deviennent omniprésentes et presque répétitives. Les découvertes se font plus rares, les scènes autres qu’intimes sont trop vite expédiées, comme si Ana n’était pas assez intéressante ou n’était plus apte à vivre sans Christian. Cette seconde partie m’a exaspérée et j’ai parfois eu plus l’impression de lire un catalogue énumérant différentes techniques de BDSM qu’une romance érotique. Pas du tout convaincue par la tournure que prenait le récit, j’attendais donc que la fin relève le niveau....  La fin continue dans la ligne descente du récit, elle est abrupte et laisse le lecteur avec de nombreuses interrogations concernant la possible suite de la relation entre les personnages, ce qui pourrait être un point intéressant nous donnant envie de poursuivre directement avec le deuxième tome. Néanmoins, j’ai surtout trouvé cette fin assez bête en fait. Ana essaye de comprendre toujours un peu mieux Christian et pour cela elle est prête à faire des concessions, quitte à se brûler. J’ai vraiment eu beaucoup de mal à la comprendre, à comprendre une de ses décisions qui entraine une ribambelle de situations toutes plus bizarres et insensées les unes que les autres. En définitive, je n’ai vraiment pas aimé cette fin, que j’ai trouvé un peu bête et improbable, bien qu’elle soit un cliffhanger qui aurait pu être encore plus intéressant. Les +: Une mise en place rapide, une écriture fluide, un roman qui se lit assez rapidement, l’intrigue assez intéressante à découvrir au départ
Les -: Des personnages en demi-teinte, des longueurs, des répétitions, une intrigue qui n’évolue pas assez, la fin  Si je ne m’attendais à rien de spécial de cette lecture, j’ai néanmoins été agréablement surprise d’apprécier la première moitié du récit. La mise en place est rapide et nous plonge immédiatement dans un univers que l’on prend plaisir à découvrir. Seulement, au fil des pages l’intrigue stagne et cela se ressent sur le rythme qui présente de nombreuses longueurs. La relation entre les personnages prend énormément de place et celle-ci ne m’a pas convaincue, ponctuée de répétitions et portée par des personnages en demi-teinte, elle rend la seconde moitié du récit laborieuse. Et la fin ne relève pas le niveau selon moi. Heureusement, l’écriture fluide et simple de l’auteur sauve le tout et ce roman se lit finalement assez rapidement.
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