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Bilbo le Hobbit de J.R.R. Tolkien
Titre origine :
The Hobbit, There and Back Again
Date origine :
1937
Traducteur :
Francis Ledoux

Bilbo le Hobbit

1937
7 h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 7 h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

13 %28 %42 %57 %71 %86 %
6 h5 h4 h3 h2 h1 h
 
 
On a beau avoir dans sa lignée quelques ancêtres aventuriers, quand on est hobbit, on préfère rester dans son trou ! Et Bilbo Baggins entend bien y passer des jours tranquilles. C’est sans compter avec ce vieillard à la barbe blanche et au chapeau bleu qu’il croise un matin. Son nom ? Gandalf (là, ça doit vous rappeler quelque chose). Sa proposition ? Partir à l’aventure, récupérer un trésor volé à treize nains par le dragon Smaug. Et en avant pour un long périple à travers les Terres du Milieu, où ils croiseront la route, entre autres, d’un certain Gollum « aussi ténébreux que les ténèbres » et d’un anneau magique qui n’a pas fini de faire parler de lui.
Antérieur au Seigneur des anneaux d’une vingtaine d’années, Bilbo le Hobbit pose la première pierre de l’œuvre incontournable de J.R.R. Tolkien. Initialement écrit pour les enfants, il constitue une entrée dans l’univers de l’auteur plus accessible pour les très jeunes lecteurs.

Si vous avez aimé ce livre, ceux-ci peuvent vous plaire : Ces livres vous sont proposés car les lecteurs de NousLisons.fr qui ont aimé Bilbo le Hobbit les ont également appréciés.

Les commentaires :

 
Quand j’étais ado, j’avais lu le Seigneur des Anneaux du même auteur et j’avais vraiment adoré, mais l’histoire de Bilbo ne m’attirais pas du tout, en fait je me disais que lire ce qu’il s’était passé avant n’était pas intéressant dans la mesure où je savais ce qui allait se passer par la suite. Bref, j’étais convaincue que je n’apprécierais pas cette lecture et je n’ai jamais lu le livre. En fait, c’est tout récemment que j’ai finalement voulu lire ce livre et j’avoue que la bande-annonce du film et le journal du tournage de Peter Jackson (en video sur youtube) ne sont pas étrangers à cette envie. Bilbo Baggins va être embarqué dans une aventure extraordinaire alors qu’il est tranquillement chez lui et qu’il n’a rien demandé à personne, et ceci est dû au vieux magicien Gandalf (un personnage que j’adore toujours autant) qui débarque un jour sans prévenir en invitant 13 nains ! Ces derniers ont besoin d’un cambrioleur pour récupérer le trésor de leur peuple volé par Smaug, un terrible dragon cracheur de feu et le magicien est convaincu que Bilbo est la personne qui convient. Bien sûr en bon hobbit qu’il est, il refuse immédiatement de quitter sa tranquillité mais son côté Took va le pousser à suivre la troupe dans cette folle aventure semée d’embûches. Il va se découvrir un courage qu’il ne se connaissait pas et va étonner les nains plus d’une fois. Au cours de ce long voyage ils rencontreront plusieurs créatures différentes (souvent pas franchement sympathiques), et Bilbo va croiser le chemin de Gollum auquel il dérobera le fameux anneau qui lui sera plus qu’utile au cours de son aventure. J’ai été surprise de la manière dont Bilbo entre en possession de l’anneau, je parle vraiment du moment où il “tombe” dessus, je crois que je m’attendais à quelque chose de plus originale, j’étais presque déçue mais j’ai beaucoup aimé la partie de jeu d’énigmes avec Gollum que j’ai trouvé très amusante (dans le film aussi, cette scène est excellente) et ça m’a vite fait oublier la manière dont l’anneau atterrit dans la poche de Bilbo. Par contre, j’ai été déçue de la façon dont Smaug est éliminé ou plutôt par qui, je m’attendais tellement à ce que se soit Bilbo et je m’attendais à ce que se soit moins “facile”, ceux qui ont lu le livre comprendront je pense. J’ai passé un excellent moment en lisant les aventures de ce cher Bilbo Baggins, c’est un classique de la Fantasy à côté duquel il aurait été dommage que je passe. Ça faisait longtemps que je n’avais pas lu du J.R.R. Tolkien, j’avais oublié son écriture que j’appréciais étant adolescente et que j’apprécie toujours, et j’avais oublié aussi ses longues descriptions qui peuvent rebuter certains mais qui permettent de mieux s’immerger dans l’univers qu’il a créé, j’avoue que parfois j’en ai zappé mais pas ici. Ce que j’ai aimé dans ce livre outre l’aventure bien sûr, c’est l’humour et le fait que le lecteur par moment soit interpelé par le narrateur, on a vraiment l’impression d’avoir quelqu’un en face de soi qui nous raconte l’histoire de Bilbo (ce qui est logique puisqu’à l’origine ce livre est destiné à la jeunesse et pour être plus précise, J.R.R. Tolkien avait écrit cette histoire pour ses enfants).  J.R.R. Tolkien est un auteur qui en a inspiré beaucoup d’autres et qui je crois en inspirera encore. Si vous voulez découvrir une oeuvre de cet auteur mais que la lecture du Seigneur des Anneaux vous fait peur, n’hésitez pas et lisez Bilbo le Hobbit, peut être qu’à la fin vous aurez envie de lire la fameuse trilogie et même plus qui sait !?
 
Par où commencer ? Humm... Quel soulagement d’en être venue à bout, j’ai rarement eu entre les mains lecture plus soporifique ! J’ai de nombreux griefs envers cette “fameuse” préquelle au Seigneur des anneaux. Le récit, tout d’abord, est clairement tourné vers un public jeune, à tel point que j’ai vu des ressemblances narratives avec Narnia, ce qui n’est pas un compliment. Qui est ce narrateur insupportable au discours didactique qui répète sans cesse des phrases du type “Mais cela, il ne pourrait s’en rendre compte que trois semaines plus tard”, ou “Vous comme moi savons que ce n’est pas vrai”, ou encore “Heureusement pour lui, cet argument était faux, comme on le verra”, à la page 215 ?? Ces phrases infantilisent à outrance le lecteur adulte, qui constitue, rappelons-le, le nerf du lectorat de Tolkien.
L’histoire en elle-même n’a que peu d’attraits face à l’un des romans les plus lus de tous les temps. Bilbo et ses treize nains qui traversent la moitié de la planète juste pour de l’or, ça m’a fait penser aux footballeurs qui courent après la baballe on ne sait trop pourquoi. D’autant plus qu’à la fin, on se fait totalement arnaquer sur la marchandise puisque, contrairement à ce que la couverture (maintes fois reproduite pour diverses éditions depuis 10 ans) pourrait nous faire espérer, ce n’est même pas Bilbo qui tue le méchant dragon !
Bilbo d’ailleurs est assez fatigant, à toujours se tirer des mauvais pas grâce à la chance et à un surdosage de maladresse. Et que dire des treize nains dont on ne se souvient jamais des noms tant ils se ressemblent, certains n’étant en outre là que pour faire de la figuration ?
Ensuite, les repères temporels sont extrêmement mal faits : les personnages font état d’un voyage de plusieurs mois alors que le poids des mots de Tolkien n’équivaut pas à un dixième de ce qu’ils peuvent vivre. En d’autres termes : l’histoire s’étale sur plus d’un an, mais on a très vivement l’impression que les évènements s’enchaînent sur quelques semaines.
Enfin, m’est apparue absolument nécessaire et bienvenue cette nouvelle traduction annoncée chez Christian Bourgois. Visiblement le français du début du siècle avait encore quelques atomes crochus avec le québécois d’aujourd’hui, Ledoux faisant “courir la chance” à nos héros ou les faisant “retourner” au lieu de “rentrer”... Le vocabulaire est lourd, plus du tout d’actualité, et n’a même pas ce charme épique qu’on trouve à la traduction du Seigneur des anneaux (ce qui en toute honnêteté est sans doute normal puisque cette traduction-là a 30 ans de moins que celle de Bilbo...).
Cette lecture est une énorme déception, je n’ai pas retrouvé l’intensité du monde du Seigneur des anneaux, lu il y a 10 ans. Peut-être ne suis-je tout simplement plus dans “l’humeur Tolkien” de mon adolescence...
Tout ça pour dire qu’en film, avec de bons acteurs, une belle musique et une rythmique accélérée, il doit être bien. Mais d’ailleurs, 3 films pour ce si petit livre ?? Y en a qui ne cherchent pas du tout à exploiter le filon à fond...
http://livriotheque.free.fr/
http://www.facebook.com/malivriotheque
https://www.youtube.com/channel/UC3O1fss1MLBb5l_M85Z809A
 
J’ai mis très longtemps (environ 1 mois) à finir ce livre, ayant vu le film je savais ce qu’il se passait dans le premier 1/3 du livre, et ce que l’on peut dire c’est que le livre est bien moins rythmé. Tolkien a un style d’écriture très particulier, auquel je n’ai pas accroché au début. Cependant une fois cette partie finie, nous rentrons enfin dans le vif de l’action avec l’entrée de Bilbo et la Compagnie à Mirkwood. Et c’est donc à partir du milieu du récit que je suis vraiment rentrée dans l’histoire et que je l’ai appréciée. On s’accroche très vite à Bilbo et aux Nains et leurs aventures s’intensifient au fur et à mesure. J’ai été très agréablement surprise à la fin, je ne m’attendais pas du tout à la tournure des choses. Je m’attendais à une fin basique, vite expédiée, avec en héros Bilbo et les Nains, une fin prévisible et réellement heureuse. Ce n’est pas le cas, Tolkien a réussi à me surprendre, de nouveaux héros sont apparus, d’autres ont été déchus. Je ne fus pas déçue de ma première lecture d’un livre de Tolkien. Cependant son style d’écriture peut déconcerté, dans Bilbo l’auteur nous raconte une histoire. On ne vit pas le point de vue d’un personnage. Même si ce n’est pas un coup de cœur, je garderai un bon souvenir de ce livre. Maintenant que je connais l’histoire, je suis très pressée de voir les deux films suivants, je fais une confiance aveugle à Peter Jackson et je sais qu’il réussira à intensifier ce récit.
 
Après une première tentative de lecture infructueuse, il y a très longtemps, j’ai décidé de me lancer à l’occasion de la sortie du film. J’ai bien aimé mais il ne me laissera pas un souvenir impérissable ou de pur enthousiasme.  Tout d’abord, un mot sur l’histoire. Bilbo le Hobbit est un conte pour enfant et cela se ressent dans le scénario mais aussi dans la manière d’écrire. Ce sont donc treize nains, un hobbit et un magicien qui partent à l’aventure pour récupérer la demeure de leur ancêtre qu’un dragon leur a volé. Une grande quête épique donc pour de petits héros puisque Gandalf n’est pas présent pour une grande partie de l’aventure.  Comme dans beaucoup de contes, le héros est souvent celui qui sauve de toutes les situations ses compagnons ou lui même et Bilbo n’échappe pas à la règle. Cependant la fin marque un bel effort d’originalité et de réalisme. L’écriture donc est très influencée par le fait du conte. En effet, on trouve souvent des parenthèses qui commentent ou justifie les actions des personnages mais contrairement à Alice au pays des merveilles, cela ne m’a pas gêné puisque le narrateur est présent mais de façon humoristique et toute suite défini dès le début du texte : il est clair qu’il nous raconte l’histoire du Hobbit. D’ailleurs, loin d’être agaçantes, les incises de l’auteur sont bien placées, pertinentes et remplies d’humour. J’aime particulièrement l’humour de répétition qu’il faisait sur Bilbo, qui pense à son trou de hobbit quand il lui arrive une aventure malheureuse, ponctué du commentaire « ce n’était pas la dernière fois », qu’on voit apparaître plus d’une fois tout au long du livre. Les personnages sont intéressants. Bilbo est un hobbit, par définition donc il recherche la paix et le calme, pourtant il se laisse convaincre de partir à l’aventure en tant que cambrioleur. Plus d’une fois, il fera des choses à l’encontre de sa nature profonde qui m’ont d’abord fait penser qu’il était le héros cliché différend des siens et totalement classique. Mais Tolkien détrompe avec art et par des petites touches de subtilité tout au long du livre (notamment les repas) pour finalement nous le confirmer dans les dernières pages du roman : Bilbo Baggins est un vrai hobbit qui veut être tranquille. J’ai été légèrement déçue par les nains, ayant vu les trois films du Seigneur des Anneaux récemment je suis restée sur le rude Gimli, qui n’étaient pas vraiment d’humeur … naine. Ils partent à l’aventure à l’aveuglette très clairement : ils ne savent pas comment traverser la forêt de Mirkwood, n’ont aucune idée de comment vaincre le dragon, ni même de ce qui les attend avant. Pire, ils n’ont rien de guerriers, ils sont patauds. Quand je vois les affiches de Thorïn un peu partout dans le métro, je me rends bien compte qu’il ne cadre pas avec l’image que renvoie les nains et me demande sceptiquement ce que Peter Jackson va en faire. Quant à Gandalf, il reste égal à lui-même, magicien mystérieux mais bien loin d’être invincible, en proie aux doutes comme tout le monde.

En somme, j’ai bien aimé le livre si ce n’est la fin qui m’a déçue, cependant je le recommande à tout fan de fantastique, il s’agit d’un classique incontournable.
 
Bilbo le hobbit... une de mes lectures préférées de mon adolescence. L’adaptation au cinéma m’a donné envie de redécouvrir le roman originale, et une nouvelle fois, je n’ai pas été déçu.
Bilbo le hobbit est un roman de fantasy avec de l’aventure, des combats, de la peur, de la magie. Thorin, un nain descendant du Roi sous la montagne monte une expédition pour récupérer son trône, volé par Smaug le dragon. Gandalf réunit cette troupe de nains chez Bilbo, un hobbit, une sorte de semi-homme. Bilbo est un être gentil, qui souhaite vivre paisiblement, loin de toute agitation. Mais Gandalf le magicien reconnaît en lui potentiel énorme.
Comment un être d’une race pacifiste, sans valeur au combat ni dans la magie, va changer la face du monde, par son grand coeur ?
Bilbo le hobbit, c’est le commencement du Seigneur des Anneaux, parce que sans Bilbo, il n’y a pas d’anneau, pas de dragon tué, pas de communauté de l’anneau...
Le roman est écrit de manière presque enfantine, ce qui explique pourquoi il a été classé pendant longtemps dans la littérature jeunesse, mais il ne faut pas s’y méprendre. Autant Bilbo est facile et rapide à lire, autant le SdA est plus compliqué et complexe. L’écriture de Tolkien est à la mesure de l’être dont il raconte l’histoire, simple et au coeur énorme. Mais malgré ce style enfantin, il reste des nains se battant contre des gobelins, du sang et des armes qui s’entrechoquent, des morts et des cadavres pourrissants, un dragon horrible tuant femmes et enfants...
Le roman est court, comparé au SdA, mais bien rempli, puisque la troupe n’a pas de répit tout au long du récit. Il n’existe aucune lourdeur ni longueur dans le récit, faisant de cette histoire une quête passionnante pleine d’actions et de rebondissements.
Bilbo le hobbit, c’est un être presque insignifiant qui change la face du monde. L’un des meilleurs romans de fantasy jamais écrit, à lire absolument...
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