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Le cueilleur de fraises de Monika Feth
Date france :
2011.06.26
Titre origine :
Der Erdbeerpflücker
Traducteur :
Sabine Wyckaert-Fetick
Editeur :
Collection :
ISBN :
9782013229524

Le cueilleur de fraises

2011
Lecture conseillée à partir de 12 ans (si l'âge conseillé ne vous semble pas correcte, vous pouvez le signaler avec le triangle jaune, à droite quand vous êtes connectés)
5 h
D'après votre vitesse de lecture (15 000 mots à l'heure), il devrait vous falloir environ 5 h pour lire ce livre.

Temps restant en fonction de l'avancement :

3 %22 %42 %61 %81 %
5 h4 h3 h2 h1 h
 
 
Lorsque sa meilleure amie Caro est retrouvée assassinée, Jette jure publiquement de la venger, attirant ainsi sur elle l’attention du meurtrier.
Chaque jour, Jette essaie de se reconstruire et d’oublier. Elle fait bientôt la connaissance d’un garçon qui semble pouvoir lui redonner le goût de vivre, et tombe éperdument amoureuse. Une rencontre qui pourrait l’aider à surmonter la mort de son amie.
Peut-être...

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Les commentaires :

 
e ne sais pas vraiment comment débuter ma chronique étant donner que le résumé en dévoile vraiment beaucoup... pour ne pas dire quasiment TOUT...... Nous avons 3 personnages centraux, Jette, une jeune fille indépendante et fille d’une auteure célèbre pour ses polars (et qui n’aime pas que môman intervienne dans sa vie à tout va... je pense que c’est en partie pour ça qu’elle m’a séduite), Caro sa meilleure amie, qui vient d’une famille vraiment pauvre mais qui fait tout pour s’en sortir malgré les coups dur de la vie (et surtout de sa famille... je déteste ses parents !!!) et on peut le dire, elle cherche en quelques sortes le réconfort dans “l’amour”, ce n’est pas une fille volage, elle cherche juste LE grand Amour de sa vie. Et enfin Merle, qui vient d’une famille un peu bourgeoise et qui est une extrême militante (et qui a un foutu caractère) En même temps, on rencontre Imke, la mère de Jette qui projette dans ses romans (une partie de sa vie) ses frayeurs, ses espoirs etc et aussi Bert le commissaire en charge de l’affaire (je l’aime bien lui) il a un vécu douloureux et on voit bien que son métier ne lui rend pas la tâche facile (bon évidemment puisqu’il est flic), il ne voit pas les victimes uniquement en “victime” il les reconnaît, se sont des filles, fils, frère, soeur, père, mère, amis, bref, le mot victime banalise la chose et il n’aime pas ça et c’est ce qui m’a fait aimer ce personnage : son humanité. Durant tout le récit, l’auteure nous balade d’un point de vue à l’autre, ce qui peut, au début, rendre le récit très long et lent, mais au final, avec le recul ce n’est pas plus mal car on s’attache un beaucoup aux personnages, autant aux gentils qu’au “méchant”. J’ai eu beaucoup de mal sur le début du roman, à m’accrocher, mais une fois que l’enquête commencer le reste du livre se déroule à une vitesse folle !
Le fait qu’il y est un roulement de point de vue fait aussi qu’on sait ce que tout les personnages pensent, ressente, autant Jette que le tueur. Et je vous avoue qu’être dans la tête du tueur m’a beaucoup perturber. x)

Tout comme Aurore, j’ai penser que le résumé avait spoiler tout le roman... ce n’est sans compte la finesse que l’auteure emploi pour nous garder en haleine, même si on connait grosso-modo ce qui va se passer, la tournure des événements, les sentiments, tout le reste du schéma nous laisse littéralement sur le cul. De plus, au début quand on entre dans la tête du “tueur”, forcément on ne le sent pas, on se dit “punaise le psychopathe” et j’y ai réfléchit. J’ai relu certain passage plusieurs fois en me disant “arrête de le voir comme LE tueur, essaie de le voir comme un homme, juste un homme” et ça change la donne.

Arrivé à la fin de la lecture je me suis dis “bah merde alors...” (oui c’est tout XD) j’étais clouer, scier. J’ai même faillit pleurer, j’avais les larmes aux yeux. Un peu après je me suis dis “oui bon... pas vraiment convaincue quoi” mais avec le recul, je me rends compte que j’ai vraiment aimé.
Dernier livre Lu : (aucun)
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